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L’IFA 2013 : un petit tour du salon européen de l’électronique

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L’IFA (Internationale Funkausstellung Berlin) est un énorme salon dédié à l’électronique, qui a lieu chaque année à Berlin. Les constructeurs, qu’ils soient des géants internationaux ou des sociétés plus modestes, s’y retrouvent pour présenter leurs produits et leurs projets, dans des domaines tels que le high-tech, l’électricité, la domotique…

Cette année, événementiel avait lieu du 4 au 10 septembre 2013 (à partir du 6 pour le grand public) dans une surface de  145 000 m² répartie sur plus de 20 bâtiments. L’équipe d’Evertygo y était présente (à l’occasion d’un Hackaton organisé par Sony pour l’annonce de la SmartWatch2), et nous a proposé un petit tour d’horizon, que nous partageons avec vous !

Il n’y aura pas dans cet article que de la domotique pure, car nous nous intéresserons aussi beaucoup aux différents produits mobiles présentés dans ce salon… En gardant à l’esprit que la montre intelligente d’aujourd’hui peut devenir la télécommande domotique de demain !

Intro_1

Intro_2

Le Flower Power de Parrot et le futur selon Koubachi

Nous commençons par un stand français, celui de Parrot, un constructeur connu pour le célèbre AR.Drone (présent ici dans sa version 2.0 Power Edition) et ses accessoires Bluetooth.

Parrot_1

Un nouveau produit était mis en avant : le Flower Power. Un peu à l’image des sondes Koubachi, il s’agit d’un capteur destiné à surveiller l’environnement direct d’une plante.

Le Flower Power dispose de 4 capteurs : luminosité, humidité du sol, fertilisation et température.

Ce capteur se veut discret (proposé en vert et en noir) et autonome (alimenté par une pile lui permettant de tenir environ 6 mois). Et c’est donc un accessoire Bluetooth compatible avec les Smartphones utilisant le Bluetooth 4.0LE (les plus récents d’entre eux). Les données sont envoyées à une application sur le Smartphone qui, grâce à une base de données très fournie, vous indiquera des éventuels changements dont la plante a besoin pour grandir de façon optimale.

Parrot_2

Pour l’instant, il n’y a pas d’API prévu et l’application liée au Flower Power sortira d’abord sur iOs avant Android. Aucune date de sortie n’est officiellement annoncée, mais on peut s’attendre à une sortie d’ici la fin de cette année.

Au passage, l’équipe d’Evertygo a également eu le plaisir de rencontrer le staff de Koubachi, dont l’intégration dans ImperiHome est encore toute fraiche.

Koubachi présentait la version « Pro » de sa sonde Wi-Fi pour les plantes, complétant ainsi sa gamme après les modèles intérieur et extérieur. Ce qui est proposé par la sonde pro : des mesures très précises, des fonctionnalités supplémentaire, un rythme élevé de relevés…

Koubachi

Et il était également question d’un concept d’arrosage intelligent des plantes pour compléter la sonde. Un concept qui pourrait être très intéressant pour les fans de domotique et de jardinage, et que nous suivrons de près !

Logitech et des designs originaux

Logitech, le célèbre fabricant d’accessoires informatique, avait de nombreux périphériques à montrer.

Notamment : une mini-souris très compacte qui ne déplaira pas aux fans des designs d’Apple :

Logitech_1

Et également les enceintes ue-Boom, hauts parleurs sans fil qui diffusent le son à 360°, et qui peuvent être configurés selon leur position dans la pièce avec votre smartphone.

Logitech_2

Enfin, des claviers tout-en-un ultra fins ainsi que des claviers destinés aux tablettes.

Logitech_3

Belkin présente la solution domotique WeMo

Sur le stand de Belkin, le vélo était à l’honneur (notamment parce qu’ils sponsorisent une équipe de cyclisme).

Belkin_1

Mais ce qui nous intéresse le plus, c’est la solution domotique WiFi que Belkin présentait à ce salon : Belkin WeMo.  Le principe est d’avoir une solution qui fonctionne entièrement par WiFi et configurable via un smartphone ou une tablette.

Belkin_2

Outre les produits WiFi déjà existant de Wemo, tels que le Baby Monitor, la prise WeMo et le détecteur de mouvement, quelques nouveautés étaient aussi présenté : une prise avec mesure de consommation électrique et une caméra IP grand angle, capable d’interagir avec d’autres objets connectés de WeMo – cette caméra n’était pas encore totalement implémentée.

Belkin_3

Cerise sur le gâteau, Belkin a annoncé des partenariats à venir avec des constructeurs d’électroménager, pour intégrer directement cette connectivité dans les appareils de cuisson, et pourquoi pas les réfrigérateurs, les cafetières… Les marques qui bénéficieront de ce système en premier ne seront pas forcément très présente en France, mais gageons que si le système fonctionne bien, les marques de notre quotidien seront elles aussi concernées, un jour !

Sony : les Xperia, la Smartwatch 2 et les Caméras

Sony faisait partie des grands incontournables du salon, ayant un stand monumental et de nombreux produits à présenter.

Commençons par les appareils mobiles : tout d’abord, la Xperia Tablet Z, une belle tablette, très fine et très légère, fonctionnant sous Android.

Sony_1_XperiaTablet

Puis le tout nouveau smartphone Xperia Z1. Un écran triluminos très agréable à utiliser, un objectif pour l’appareil photo de 20mpx, et un appareil entièrement étanche, avec les deux faces faites de verre.

Sony_2_XperiaPlay

Des accessoires pour le Xpedia Z1 étaient présentés : enceintes sans fils, docks, la smarwatch 2 et le QX100 (nous allons revenir sur le sujet).

Sony_3_AccessoiresXperia

Deux appareils photos particuliers : QX10 et QX100. Ils ont la forme d’un objectif et peuvent fonctionner à la fois de manière autonome et en Wifi direct avec un Smartphone (association via tag NFC), ils peuvent aussi être carrément fixé au smarphone. La qualité photo est au rendez-vous (optique Carl Zeiss à grande ouverture) et ils sont adaptables sur d’autres smarphones Android.

Sony_4_QX10

Côté photographie, on trouvait aussi le Smart Image stand (ci-dessous à gauche), un dock motorisé pour smartphone qui prend des photos de façons autonome. Il est donc utile pour photographier un panorama ou prendre des photos spontanées, lors de soirées par exemple.

Sony_5_Stand_ActionCam

Tout une gamme d’Action-Cams était également présentée (ci-dessus, à droite). Dans la lignée de la GoPro, ces caméras ont pour but d’être utilisées et de conserver une excellente qualité d’image dans des conditions extrêmes, pour du sport, de la chute libre, et de manière générale, toutes les activités très rapides. Des accessoires étaient proposés comme un bracelet avec un écran montrant en direct ce que filme la caméra ou un harnais pour la fixer au dos de son chien.

Le 4K (résolution correspondant environ à 4 fois la résolution d’un téléviseur HD actuel) était un sujet majeur de l’IFA. Aussi Sony présentait des téléviseurs 4K avec la technologie Triluminos (ci-dessous à gauche), ainsi que divers moyens de jouer du 4K sur ces téléviseurs : un média center, un service en ligne de vidéo en 4K.

Sony_6_4K_PS4

La Playstation 4, prochaine console de jeux vidéo de salon, était évidemment présente sur le stand (ci-dessus à droite), brassant pas mal de monde. Elle sera en concurrence directe avec la Xbox One de Microsoft, toutes deux étant axées sur les aspects « Media Center » et « Fonctions communautaires ». Peut-être verrons nous des applications domotiques dérivées apparaître sur cette PS4 dont l’architecture se rapproche beaucoup d’un PC !

Pour conclure le très riche stand de Sony, deux animations amusantes :

Sony_7_Ludiques

À gauche, en partenariat avec LEGO, un robot en Lego Mindstorm contrôlable à distance.

À droite, une animation amusante autour de l’étanchéité des téléphones : une grande cuve pleine d’eau avec des téléphones au fond, des factices et des vrais téléphones. Les visiteurs pouvaient sauter dans la cuve pour récupérer un téléphone, et si c’était un vrai téléphone qui s’allumait à la sortie de l’eau, ils avaient gagné ce téléphone. Et oui, pour avoir gratuitement un téléphone de chez Sony, il fallait mouiller sa chemise !

Samsung, une gamme complète d’appareils mobiles

Le stand de Samsung était un autre grand incontournable du salon (à grand renfort du logo placardé un peu partout à l’entrée de l’exposition).

Plusieurs nouveaux objets mobiles étaient présentés :

Le Galaxy Note 3, fameux Smartphone grand écran avec un stylet. Plutôt joli mais très similaire aux deux précédents. La finition de la coque arrière, type cuir, est assez agréable à prendre en main.

Samsung_1_GalaxyNote3

Un des produits très attendus : la montre Galaxy Gear. Un design au final assez agréable, un grand écran clair et accessible. La version portée sur un poignet était munie d’un antivol ce qui rend la montre un peu plus « massive » sur la photo, regardez la photo avec les différentes montre exposées pour vous faire une idée plus juste.

Samsung_2_Gwatch

La voici comparée avec la montre de Sony, la SmartWatch 2 :

Samsung_3_Comparaison

Samsung présentait également sa tablette avec style, le Galaxy note 10.1 edition 2014. Plus fine et plus légère que la version précédent, et surtout avec un écran d’une très bonne résolution, égalant la Nexus 10 de Google qui était alors la seule à proposer une aussi bonne résolution en 10″.

Samsung_4_GNoteTab

Enfin, Samsung montrait divers écrans de haute technologie : un écran avec des bords très fin, un énorme écran 4K de 85″, et des téléviseurs à écrans incurvés.

Samsung_5_ecrans

MyKronos : l’autre montre intelligente

Outre les montres intelligentes présentées par les deux « géants » que sont Samsung et Sony, le fabricant suisse MyKronos présentait aussi sa propre vision de cet objet connecté. Déjà deux modèles existent : des montres bluetooth permettant d’agir par exemple comme une télécommande Bluetooth (comme les commandes sur un casque Bluetooth : répondre aux appels, contrôler les médias…).

MyKronos

Mais MyKronos proposait aussi un tout nouveau modèle, plus élaboré : une montre intelligente, capable comme les précédentes de consulter et d’envoyer SMS, emails…, avec un port jack audio pour écouter de la musique, la possibilité de détacher la montre du bracelet pour la mettre sur un clip à accrocher partout… Cette montre dispose de son propre système d’exploitation propriétaire, ce qui a été néfaste à plusieurs objets connectés avant elle (je pense au cas WebOS, notamment), cependant, ça sera peut-être moins gênant pour une montre que ça l’a été pour des smartphones ou des tablettes.

Thomson / Avidsen et la gamme T-Connect

Sur ce stand, on pouvait voir la nouvelle gamme domotique  de Thomson / Avidsen qui devient petit à petit disponible dans les magasins de bricolage. La solution est basée sur une box fabriquée par Zipato et des périphériques d’Avidsen. Elle utilise un protocole RF spécifique, mais de nombreux périphériques sont prévu, et la box a des emplacement pour accueillir d’éventuels modules d’extension (donc le Z-Wave pourrait être intégré à ce système un jour, qui sait ! ).

Thomson_Avidsen

Le Stick-n-Find, retrouvez vos objets où qu’ils soient !

Un stand était dédié au système Stick-n-Find, un système de localisation d’objets basé sur des petits tags (le projet a été financé par crowdfunding début 2013).

Ces tags Bluetooth 4.0LE se collent sur les objets importants (valise, portefeuille, etc.), on les associe à son téléphone, et l’application dédiée est ensuite capable d’indiquer la distance à chacun des tags, donc à chacun des objets où des tags sont collés, dans un rayon d’environ 45 m.

StickNFind

Chaque tag dispose d’une autonomie d’environ 1 an et envoie un signal en permanence. Il y a quelques fonctions supplémentaires comme des notifications quand un objet taggué sort ou rentre du rayon de détection du téléphone, retrouver la position où l’objet a été détecté en dernier, et appairer un tag avec plusieurs personnes.

Un passage rapide sur quelques autres stands…

Sonos présentait ses solutions de multiroom audio, démontrant la qualité de ses produits, qui restent cependant des produits relativement haut de gamme, et donc à gros budget !

D1_Sonos

Pure, fabricant de produits audio et radios connectées, présentait des radios au look sympathique (radio qui peuvent streamer de la musique depuis un ordinateur et depuis Internet), ainsi qu’une gamme d’enceintes sans fil très design.

D2_Pure

Devolo, spécialisé dans les CPL, présentait une solution avec des relais WiFi par CPL très rapides (500 Mbps), et une caméra IP directement en CPL.

D3_Devolo

Clin d’œil du côté du stand de T-Mobile, un stand pas lié directement à la domotique ou aux technologies mobiles, mais époustouflant de par sa présentation : c’était une petite maison elle-même à l’intérieur du bâtiment, avec une scène et une présentation spectaculaires.

D4_Tmobile

Ecovacs, constructeur de robots de nettoyage, présentait ses aspirateurs automatiques et également des robots pour laver des vitres de toutes sortes (pour vitres avec ou sans bordures, télécommandables…)

D5_Ecovacs

Enfin, Philips présentait de nombreux système d’éclairage : quelques lampes, mais aussi le système d’éclairage télécommandable HUE, ainsi qu’un miroir éclairé dont les lumières s’éteignent pour faire place au miroir lorsqu’on s’en approche.

Philips

Une bonne idée de ce que le futur nous réserve…

Voilà qui conclut la visite très intense de ce salon, où finalement, on peut voir beaucoup de technologies prometteuses. Les montres intelligentes ou Smartwatch arrivent en grandes pompes, mais difficile aujourd’hui de savoir s’ils auront le même succès que les smartphones et tablettes. Peut-être aussi que la version carrée de l’iPod Nano n’a pas déjà pris la place d’une telle montre chez beaucoup de gens !

La domotique n’est pas en reste, de plus en plus de constructeurs s’y mettent. Le projet qu’a Belkin de s’associer aux fabricants pour proposer des objets électroménagers déjà « connectés » d’office pourrait prendre beaucoup d’importance et faire découvrir la domotique à beaucoup de non-initiés. Espérons juste que cela ne sera pas trop fermé et que les futurs appareils équipés puissent interagir d’une manière ou d’une autre avec les box domotiques courantes…

Nous tenons à remercier encore une fois l’équipe d’EvertyGo d’avoir partagé leur périple avec nous.

À vous la parole maintenant : lesquels de ces objets vous font rêver ? Est-ce que vous vous précipiterez sur certains d’entre eux à la sortie ? Est-ce qu’il y en a qui vous paraissent indispensable, ou au contraire, somme toute peu utile ?


Mise à jour de l’eeDomus : module RGBW de Fibaro et nombreuses améliorations

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Mad eeDomus octobre 2013Comme chaque mois, Connected Objects nous gratifie d’une mise à jour pour l’eeDomus. La mise à jour de septembre était riche en ajout de nouveau périphériques Z-Wave, cette mise à jour d’octobre 2013 en ajoute certes moins, mais vous verrez que l’un d’entre eux vaut quasiment pour plusieurs, tant son pilotage via l’eeDomus est complet et précis !

Pèle-mèle, on va aussi retrouver de nouveaux périphériques supportés, et tout un tas d’améliorations dans la gestion des périphériques et des scénarios. Sans plus attendre, commençons notre passage en revue de cette mise à jour !

Nouveaux périphériques

Deux périphériques Z-Wave

On commence par l’ajout du Flood Sensor de Fibaro, dernier module en date de la firme polonaise. Un petit capteur complet et compact, muni de plein de fonctionnalités additionnelles (sonde de température, LED d’état, alerte en cas de déplacement ou de tentative de sabotage).

Nouveaux périphériques Z-Wave

Il y a aussi l’ajout d’un produit tout récent, le variateur BeNext. Un module variateur avec mesure d’énergie, auquel on relie une charge et un interrupteur (ce dernier est indispensable pour le configurer). L’eeDomus est directement capable de gérer la variation et de récupérer les mesures d’énergie.

Zoom sur le module RGBW de Fibaro

Module RGBW de Fibaro Mais la grande star de cette mise à jour, c’est sans conteste le module RGBW de Fibaro. Un module Z-Wave dont le principe est de piloter des bandeaux de LED RGB et RGBW (donc des bandeaux de LED où on peut mettre la couleur de son choix, la version RGBW ajoute un canal blanc qui permet d’obtenir des couleurs pastel).

C’est une belle réalisation de la part d’eeDomus, car on pensait que la Home Center 2 de Fibaro allait pendant un bon moment rester la seule box domotique capable de piloter entièrement ce module.

L’intégration d’un module RGBW ajoute 3 blocs dans l’interface eeDomus : la mesure de consommation, un bloc permettant de choisir la teinte, et un bloc permettant de changer l’intensité générale du ruban de LED.

Eedomus RGBW(image tirée de la documentation eeDomus en ligne)

Le bloc « couleur prédéfinie » propose par défaut plusieurs réglages correspondant aux couleurs courantes, mais en allant dans l’onglet « Valeurs », vous pourrez modifier ces valeurs et en ajouter d’autres, sachant que chaque couleur est définie par le pourcentage (de 0 à 100, donc) des couleurs qui le composent, dans l’ordre : rouge, vert, bleu et blanc. Donc il suffit de cliquer sur « ajouter » pour personnaliser vos couleurs !

Cerise sur le gâteau, l’eeDomus vous permet également d’utiliser le module RGBW  d’une autre façon : brancher 1 ruban de LED monochrome sur chacune des quatre sorties du module et les piloter indépendamment. Là, on désactive l’affichage des canaux « Couleurs prédéfinie » et « Lampe » au profit de chaque canal, chacun étant identifié par sa lettre : R, G, B ou W (afficher et masquer des canaux est une nouvelle fonction, voir plus loin dans cet article).

Eedomus RGBW
(image tirée de la documentation eeDomus en ligne)

Finalement, il manque une seule chose à cette intégration : le module RGBW dipose de 4 entrées analogiques 0 à 10V, elles ne sont pas encore implémentées à l’heure actuelle. Mais l’essentiel y est pour profiter du module RGBW.

Autres nouveautés en terme de périphériques

L’eeDomus est désormais capable de recevoir le retour d’état des Onduleurs USB, avec trois états : onduleur éteint, alimentation secteur ou ondulation (ce dernier état permet de détecter une coupure de courant à distance). Pour l’instant, la fonction est en Béta et supporte l’onduleur Eaton Protection Station 650, onduleur muni de prise USB.

L’eeDomus est déjà compatible avec de nombreux périphériques non Z-Wave via le RFXCom USB, le protocole Atlantic’s vient s’ajouter aux compatibilités (encore en Béta pour l’instant).

On note aussi le support du dongle USB « ADTEK » pour la téléinformation.

Ajouts et améliorations dans l’interface

Gestion des périphériques : canaux, valeurs…

 Masquer/Afficher rapidement les canaux de vos périphériques

Eedomus cacher les canaux

Il suffit d’aller dans la configuration du périphérique et de cliquer sur l’icone à droite d’un canal pour qu’il soit affiché (crosse verte) ou masqué (X rouge).

 Les valeurs masquées des actionneurs peuvent désormais être éditées (Mode Expert)

Eedomus afficher valeurs cachées

Pour les dimmers, dans l’onglet « Valeurs », la boite à cocher « Afficher les actions masquées » fait apparaître la colonne « Visible » et les actions cachées.

 Avec ceci, certains modules volets roulants peuvent être stoppés pendant leur mouvement : activez la valeur 240 après avoir cliqué sur Afficher les actions masquées dans l’onglet Valeurs.

 Les modules x10.security xPL peuvent désormais être ajoutés en tant que capteur ou actionneur

 Pour la fonction WOL (Wake On Lan, réveiller un appareil en lui envoyant un signal réseau) : ajout d’un commande alternative (wol2) pour les périphériques qui ne se laisseraient pas réveiller par la méthode principale.

Programmation et règles

 Ajout d’actions sur désactivation dans la programmation Surveillance intrusion

 Il est désormais possible d’avoir plusieurs programmations avec le même nom si elle ne sont pas dans la même pièce

 Ajout d’un contrôle de cohérence lors de la sauvegarde des règles de type « n’a pas »

Autres améliorations :

Choix de la consommation et le thermomètre utilisé dans le graphe d’efficacité thermique.

Eedomus efficacité thermique

Sur cet écran, « Consommation » et « Température » sont tous deux des menus qui vous permettent de choisir entre les capteurs de consommation et mesures de température disponibles.

Meilleure gestion des actions répétées sur les interrupteurs monostables Chacon (Sélection l’usage Interrupteur monostable)

Pour finir, quelques corrections diverses :

Correction d’un bug sur le calcul de la consommation en € pour les prises avec consommètre

L’ordre alphabétique n’était pas toujours respecté avec les caractères accentués

Les actions HTTP réussies ne génèrent plus de notification inutile

Correction d’un bug lorsque l’expression XPATH d’un capteur HTTP valait 0

Correction d’un bug lors d’une exclusion Z-Wave depuis les apps pour Smartphone

Une mise à jour certes mineure pour ce mois ci, mais elle montre une nouvelle fois l’évolution permanente de la box eedomus et l’écoute de l’équipe de développement par rapport aux demandes des utilisateurs.

N’hésitez pas si vous avez des commentaires que nous pourrons remonter à l’équipe de Connected Object :) !

 

 

Armer/désarmer le système d’alarme de la Zibase avec plusieurs télécommandes

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Zibase : système d'alarme avec plusieurs télécommandesLa ZiBase offre, dans sa batterie d’actions, la possibilité de mettre très simplement en place un système d’alarme.

On a juste à sélectionner les temporisations, une sirène et un buzzer, une série de détecteurs qui déclenchent l’alarme, et voilà, le système d’alarme est en place ! On peut même créer jusqu’à 10 instances d’alarmes indépendantes. Cela dit, le système à tout de même un défaut , il n’accepte qu’une seule télécommande capable d’armer et désarmer l’alarme.

Qu’à cela ne tienne ! Il y a une façon de contourner cette limitation, qui nécessite juste la création d’une télécommande virtuelle et de quelques scénarios.

Mettons que nous souhaitons piloter le système avec 3 télécommandes, qu’on appellera A, B et C. Le bloc « Mettre en place un système d’alarme » n’accepte qu’une télécommande, dont le bouton 1 arme et le bouton 2 désarme l’alarme. Le problème est que si on active l’alarme avec une télécommande A, on ne pourra pas la désactiver avec les télécommandes B et C.

Dans un premier temps, nous allons créer une télécommande virtuelle dont le but est juste d’allumer ou d’éteindre l’alarme.

On définit comme VR1001 et VR1002 les ID radio « bouton 1″ et « bouton 2″ (VR pour Virtual Remote, les nombres sont arbitraires, mais doivent être différents l’un de l’autre).

Zibase, Alarme, télécommande virtuelle

Rappel : on doit donc activer le bouton 1 pour armer l’alarme et activer le bouton 2 pour la désarmer.

Dans notre scénario où on a choisi et configuré l’action « Mettre en place le système d’alarme« , on peut mettre directement cette télécommande dans le champ « Télécommande » du bloc Alarme.

Zibase, Alarme, télécommande virtuelle

Maintenant, il nous reste à faire les scénarios pour changer l’état de la télécommande.

Prenons notre première télécommande réelle (télécommande A) et créons 2 scénarios :

Un scénario avec comme stimuli le bouton [1] de cette télécommande A,
où l’action est : Exécuter un script, et le script « sev 2 VR1001«  (cela simule un signal radio VR1001, donc un appui sur le bouton 1 de notre télécommande virtuelle).

Zibase, Alarme, télécommande virtuelle

Puis un scénario où le stimuli est le bouton [2] et où on exécute le script « sev 2 VR1002« , pour activer le bouton 2 de la télécommande virtuelle.

Donc, si j’appuie sur le bouton 1 de ma télécommande A, la télécommande virtuelle aura aussi son bouton 1 activé, et idem pour le bouton 2 « réel », il activera le bouton 2 virtuel.

Ceci est à réaliser pour chacune des télécommandes qui devra armer et désarmer l’alarme, toujours avec :

  • « sev 2 VR1001 » pour activer l’alarme
  • et « sev 2 VR1002 » pour désactiver l’alarme.

Vous pourrez ainsi utiliser autant de télécommandes différentes que vous le souhaiter pour armer et désarmer une même alarme, chaque télécommande réelle ayant besoin de 2 scénarios.

Dans l’action « Mettre en place un système d’alarme » il est possible de définir une LED témoin parmi les 5 LED de la Zibase, n’hésitez pas à vous en servir pour vérifier que les télécommandes sont bien toutes configurées comme vous le souhaitez !

Avec une télécommande à 4 boutons, on peut aller plus loin, par exemple :

  • Les boutons 1 et 2 serviront à activer et désactiver l’instance d’alarme « 1″ qui correspond à une alarme dans toute la maison (absence)
  • Les boutons 3 et 4 serviront à activer et désactiver l’instance d’alarme « 2″ qui correspond à une alarme seulement dans certaines salles (présence partielle, typiquement la nuit où on active la détection de mouvement partout sauf dans la chambre et la salle de bain).

Attention, dans ce deuxième cas il faudra créer une autre télécommande virtuelle, et faire correspondre [3] au bouton 1 de cette télécommande virtuel, et [4] au bouton 2.

Bouton sur la télécommande réelle Télécommande virtuelle Action sur l’alarme Résultat
Bouton 1 Téléco. Virtuelle 1, bouton 1 Activer l’alarme d’instance 1 Armement alarme « Absence »
Bouton 2 Téléco. Virtuelle 1, bouton 2 Désactiver l’alarme d’instance 1 Désarmement alarme « Absence »
Bouton 3 Téléco. Virtuelle 2, bouton 1 Activer l’alarme d’instance 2 Armement alarme « Partielle »
Bouton 4 Téléco. Virtuelle 2, bouton 2 Désactiver l’alarme d’instance 2 Désarmement alarme « Partielle »

Exemple de domotisation : double commande d’un rideau métallique avec box domotique et clavier à code

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Nous vous proposons depuis peu plusieurs produits de la gamme Avidsen sur la boutique, parmi lesquels les deux produits suivants :

Actionneur 2 canaux pour éclairage de jardin
+ télécommande 4 boutons
Actionneur Avidsen
Clavier à codes sans fil – Avidsen
Clavier à codes

C’est une bonne occasion pour faire une illustration concrète de ce qu’on peut mettre en place avec ces produits !

Nous voulons domotiser un rideau métallique pour un commerce. L’idée est de pouvoir actionner le rideau métallique par deux méthodes :

  • soit en utilisant l’app d’une box domotique sur son iPhone ou Smartphone,
  • soit en rentrant un code d’accès sur un clavier.

Installation du circuit

Nous partons du principe que le rideau métallique a un moteur (pas encore commandé par radio) qui fonctionne tout simplement comme un volet roulant : une phase pour la montée, une phase pour la descente et un neutre général. Donc tout module volet roulant pourra faire l’affaire.

Vu qu’une des finalités est de commander le volet roulant via une box, on va prendre un grand classique, le module Volet Roulant de Fibaro FGR-221.

Il a tout ce qu’il nous faut :

  • Il a un contrôle de volets roulants (phase montée / phase descente).
  • Étant en Z-Wave, il sera compatible avec les box domotiques courantes.
  • Il dispose d’une entrée pour interrupteur, sur lequel on peut aussi envoyer des impulsions pour commander la montée et la descente.

On commence donc par relier notre module Fibaro à la motorisation de volet roulant, de manière classique. On laisse cependant les borniers S1 et S2 complètement libres (on n’y place pas d’interrupteur).

Maintenant regardons de plus près l’actionneur Avidsen :

Il dispose de deux bornes pour l’alimentation (phase et neutre) et surtout, de ses deux relais en sortie. On peut utiliser trois types de fonctionnement :

  • Monostable (type bouton poussoir) : tant qu’on appuie  sur un bouton, le relai est activé. Il se désactive dès que le bouton est relâché.
  • Temporisé : lorsqu’on appuie sur un bouton, le relai est activé pendant un temps défini (30 réglages disponibles allant de 1 secondes à 7,5 minutes). On peut simuler une impulsion de cette manière
  • Bistable : l’appui initial sur un bouton active le le relai, l’appui suivant désactive le relai.

Nous relions le module au courant, et nous allons ensuite relier les sorties L1 et L2 sur les borniers interrupteurs du module FGR, S1 et S2. De cette façon, l’actionneur Avidsen pilotera aussi les volets roulants, par l’intermédiaire du module Fibaro.

Schema Avidsen et Fibaro FGR

La boite du module Avidsen est étanche et permet en plus de mettre le module volet directement à l’intérieur :

Photo du circuit
La moitié du chemin est déjà faite car on peut déjà envoyer des ordres sur le module via une box domotique, donc par le biais de l’application dédiée ou de l’interface web de la box en question.

Et comme cet actionneur est un récepteur radio compatible avec le protocole propre à Avidsen, on pourra le commander par les télécommandes Avidsen compatibles, et surtout par le clavier à code !

Photo Clavier et Télécommande

Association entre le clavier à codes et l’actionneur Avidsen

L’intérieur du boitier récepteur/actionneur est muni d’un interrupteur « SW1″ qui permet de gérer l’association entre une télécommande Avidsen et le déclenchement des sorties de l’actionneur. Il y a deux LED, marquées CH1 et CH2, qui correspondent aux deux canaux de sortie, soit respectivement les borniers L1 et L2.

Principe de l’association avec l’actionneur Avidsen

En appuyant sur cet interrupteur, on a le choix d’ajouter une télécommande sur le canal, selon un des trois modes indiqués plus haut (monostable, temporisé, bistable). On peut déjà faire un test en appuyant une fois sur le bouton SW1 : cela a pour effet d’allumer la diode CH1, on est donc en mode de programmation du canal 1 qui pilote le bornier L1. Si on appuie sur un bouton de la télécommande, cela enregistrera ce bouton et il contrôlera désormais le canal CH1.

Bouton d'association et LEDs de l'actionneur

Création des codes sur le clavier Avidsen

Tout d’abord, il faut comprendre le principe du code d’installation. C’est un code à 6 chiffres qui permet d’accéder à la programmation du clavier à codes sans fil.

Au niveau de la sécurité, il vaut mieux le personnaliser, mais il ne faut surtout pas oublier le code personnalisé, sinon le système sera bloqué.

Par défaut, le code est de 999999. Vous pouvez le personnaliser en suivant les étapes suivantes :

  • Appuyez sur ENTER, puis tapez 999999, et à nouveau ENTER. Les deux LED s’allument en bippant pendant 3 secondes, puis s’éteignent.
  • Appuyez sur 1 puis ENTER. La LED de gauche s’allume avec un bip court. Saisissez à nouveau 999999 puis « ENTER »
  • Vousp pouvez taper votre code personnalisé à 6 chiffres puis appuyez sur ENTER.
  • Répétez l’étape précédente pour confirmer le code (votre code personnel puis ENTER).
  • Les deux LED vont rester allumées pendant 4 secondes tout en émettant un bip.

Ensuite, pour les codes d’accès, vous avez 9 emplacements, les codes peuvent faire de 1 à 8 chiffres. Une seule obligation : le premier chiffre doit correspondre à celui du canal (autrement dit, le code du canal 1 commence par 1, le code du canal 2 commence par 2, etc.). Par défaut, il y a un code préprogrammé : 1111 sur le Canal 1.

Voici comment personnaliser un code sur un canal :

  • Appuyez sur ENTER, saisissez le code d’installation (voir ci-dessus) puis à nouveau ENTER. Les deux LED s’allument en bippant pendant 3 secondes, puis s’éteignent.
  • Appuyez sur 2 puis ENTER. La LED de droite reste allumée
  • Entrez le numéro du canal que vous voulez programmer, puis ENTER. Vous entendrez un bip court, la LED de droite reste allumée.
  • Rentrez votre code pour ce canal : 1 à 8 chiffres commençant par le numéro du canal. Puis appuyez sur ENTER. La LED de droite doit encore être allumée.
  • Confirmez le code en le saisissant à nouveau à l’identique puis appuyez sur ENTER. Les deux LED resteront allumées pendant 4 secondes tout en émettant un bip.

Ici nous avons besoin de deux codes. Nous allons créer un code pour l’ouverture, que nous mettrons sur le canal 1 : 101010, et un code pour la fermeture, par exemple : 24242.

N.B. : Il faut impérativement qu’un code soit enregistré sur un canal du clavier à code pour pouvoir ensuite l’associer à un canal sur l’actionneur.

Maintenant, côté actionneur, appuyez sur le bouton SW1 pour que la LED CH1 s’allume, et tapez immédiatement le code d’accès correspondant (101010) dans notre cas. Pas besoin d’appuyer sur ENTER, dès l’instant ou le code d’accès est saisi, il agit comme le bouton d’une télécommande.

Ensuite, appuyez sur le bouton SW1 deux fois, et c’est cette fois-ci la LED CH2 qui s’allume (canal 2 pour la sortie 2). Il n’y a plus qu’à composer le code qu’on veut pour l’action correspondante (24242).

Miniature article Avidsen

Vous pouvez essayer : maintenant 101010 ouvre le rideau métallique et 24242 le ferme (ou inversement, selon les branchements entre la motorisation et les borniers). Et bien sûr, comme la commande de la motorisation passe par le module Fibaro, on conserve le retour d’état sur la box.

En bonus, on a le choix d’utiliser ou non la télécommande. Il est possible de ne pas du tout l’associer à l’actionneur si on n’a pas besoin de s’en servir (elle reste compatible avec d’autres produits Avidsen).

Comme quoi, même un clavier qui n’est pas Z-Wave du tout peut proposer ses services à une installation basée sur du Z-Wave ;)

ImperiHome version 2.0 : plein de nouveautés et la version pro

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Depuis samedi 26 octobre 2013, et avec 30 heures d’avance sur le planning prévu, EvertyGo a lancé la nouvelle version d’ImperiHome !

Pour rappel, ImperiHome est une application mobile sur Android, permettant de centraliser sur son appareil mobile le fonctionnement d’appareils domotiques (box domotique, mais aussi cartes réseaux élaborées comme l’ipx800, station Netatmo…). C’est une application puissante qui se pose en bonne alternative des appli mobiles parfois déjà existantes, ajoutant même des possibilités, des fonctionnalités, une interface complète et personnalisable…

Fin août, l’équipe à l’origine d’ImperiHome annonçait qu’ils créaient l’entreprise EvertyGo et que la version 2.0 allait bientôt débarquer. C’est désormais chose faite, et nous pouvons nous pencher sur cette nouvelle version. Evertygo a travaillé avec une vingtaine de béta-testeurs afin de tester l’application dans tous ses recoins.

Les Dashboards

Grande nouveauté de cette version : la présence de Dashboards ou Tableaux de Bords. Nous les avons présentés dans le précédent article sur ImperiHome, mais pour rappel, il s’agit de la possibilité de personnaliser la façon dont s’affichent les différents écrans de l’application.

Consultez notre article sur la présentation des tableaux de bords

Avec des formats paysage optimisés pour les tablettes et des formats portraits pour les smartphone, on peut personnaliser complètement son expérience de l’application. Ils sont notamment pensés pour les tablettes murales où l’objectif sera d’avoir sur un même écran une information et le moyen de réagir (une caméra et deux actionneurs pour activer/désactiver une alarme et verrouiller/déverrouiller une porte, par exemple).

Écran ImperiHome Volet roulant Écran ImperiHome dashboard

Écran ImperiHome tablette multi icones

Images © EvertyGo

Version standard et version Pro

Autre grande nouveauté, à partir de cette version 2.0, ImperiHome existe désormais en deux formules : la version Standard et la version Pro. La version Standard est complètement gratuite, tandis que la version Pro coûte 4,90 € tout en proposant quelques fonctionnalités supplémentaires.

EvertyGo a été très raisonnable sur les limites de la version standard car on peut retrouver toutes les fonctionnalités nécessaires à une utilisation courante. Les limitations portent d’ailleurs principalement sur la nouvelle fonctionnalité, les Dashboard : sur la version Standard, on sera limité à 2 tableaux de bords et à un choix entre deux modèles différents, tandis que sur la version Pro, on peut créer autant de tableaux de bords que souhaité et utiliser l’ensemble des modèles mis à disposition.

Voyez le tableau comparatif des deux versions :

Version Standard Version Pro
Version Standard Version Pro
Prix Gratuit 4,90 Euros
Nombre de connecteurs actifs simultanément 3 Illimité
Vue Liste Oui Oui
Vue Dashboard Oui Oui
Nombre de pages en vue Dashboard 2 Illimité
Formats de page disponibles 2 Tous
Reconnaissance vocale Oui Oui
Tags NFC Oui Oui
Personnalisation Oui Oui
Graphiques Oui Oui
Raccourcis Android Oui Oui
Intégration Sony Smartwatch 2 Oui Oui
Import/Export de configuration Non Oui

Bref, l’arrivée de cette version pro ne pénalise personne, elle offre juste de nouvelles possibilités à ceux qui en ont besoin, ou même ceux qui souhaitent soutenir EvertyGo dans leur développement de l’application tout en étant récompensé par des fonctionnalités supplémentaires. Notez que dans tous les cas, il faut télécharger la version standard, et l’achat de la version pro déverrouille les fonctionnalités de cette version. Donc si vous utilisez la version standard, vous pouvez à tout moment passer sur la version pro : vous conserverez tout ce que vous avez déjà et pourrez profiter des fonctionnalités pro sans avoir à recommencer la configuration de zéro.

Au passage, on notera aussi l’intégration de la Smartwatch 2 dans les nouvelles possibiltiés d’ImperiHome.

Voici les liens sur Google Play vous permettant de télécharger la version de votre choix :

Version standard
(gratuite, à télécharger en premier même si vous prenez la version pro)
Disponible sur Google Play

Achat de la version pro
(déverrouille les fonctionnalités sur la version standard)
Disponible sur Google Play

Félicitations à EvertyGo pour ce lancement de la version 2.0. Et ce n’est pas la dernière fois que vous entendez parler d’ImperiHome, car l’équipe a encore plein d’idées d’intégrations à leur application et va continuer à développer le programme et à y ajouter plein de possibilités. Et si vous appréciez leur travail, n’hésitez pas à acheter la version pro pour leur témoigner votre soutien :)

48 heures pour inventer les applications domotiques de demain : le Hackaton Direct Energie

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Direct Energie, fournisseur privé de gaz et d’électricité, organise en ce mois de novembre un Hackaton, évènement sur trois jours, où il est proposé à tous les participants de concevoir une application mobile innovante autour de la gestion d’énergie.

Hackaton Direct Energie

L’objectif ? Concevoir un prototype d’application mobile simple, attractive et originale. Le but : maîtriser la consommation d’énergie.

Il faut que l’application soit sur un de ces trois OS mobiles : iOS, Android, Windows Phone 8 (il est donc demandé aux candidats de savoir programmer sur ces systèmes).

Une dotation totale de 15 000 € est prévue pour récompenser les meilleures équipes à l’issue du Hackaton.

Direct Energie

Ouvert à qui ? Pour tous les développeurs, étudiants, ingénieurs, ergonomes, designers, marketeurs, en équipe ou invidiuel. Les candidats individuels seront répartis en équipes formées au départ du Hackaton, de manière à avoir 12 équipes de 4.

Avec qui ? Le Hackaton est organisé par Direct Énergie, avec des partenaires connus du monde des nouvelles technologies et objets connectés : Orange Partner, Parrot, pebble, Withings, netatmo, Windows Phone…

De nombreux partenaires présents pour faire profiter les concurrents du hackaton de leur expérience, leurs moyen techniques (API, etc.), bref une expérience qui peut être très enrichissante.

Les candidats seront départagés par un jury de journalistes et de grands noms du monde de l’énergie et des nouvelles technologies. Entre autres, on y retrouve :

  • Rafi Haladjian (Co-inventeur du Nabaztag, Fondateur de France, Ozone, Sen.se…)
  • Bruno Lechevin (président du Conseil d’administration de l’ADEME – l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie)
  • Jérôme Bonaldi (qu’on ne présente plus, le fameux animateur de radio et télévision spécialiste des sciences, technologies et innovation)

Quand ? Du vendredi 22 novembre à 14h au dimanche 24 novembre à 22h.

Le concours en lui-même démarrera le vendredi à 16h pour finir le dimanche à 16h (soit un temps total de 48h exactement). Il sera précédé d’un brief de démarrage (par le président de Direct Energie, les partenaires…)

Les concurrents passeront les deux nuits sur place et tout le nécessaire leur sera fourni pour qu’ils puissent se concentrer sur leur projet. À l’issue des 48 h, chaque équipe présentera son projet, puis le jury attribuera les prix.

La Cantine à Paris

Où ? Le Hackaton aura lieu à Paris, à la Cantine, un espace dédié aux projets autour de la technologie et de l’innovation, situé dans le 2e arrondissement (Réaumur – Sébastopol). Un tout nouvel espace de Coworking vient d’y ouvrir. Ce lieu est donc plutôt propice à l’inspiration et à la création !

Un évènement à suivre, gageons que les créateurs sauront nous surprendre et avoir de réelles bonnes idées d’innovation.

Pour retrouver toutes les informations, le réglement et vous inscrire au Hackaton, rendez-vous sur le site officiel : Hackaton Direct Energie.

L’envoi d’e-mails via la Vera Lite : méthode basique et méthode avancée

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La Vera Lite a une particularité : elle n’inclue pas directement d’évènement permettant d’envoyer un e-mail, comme le font beaucoup de box.

La fonctionnalité existe, mais avec une logique différente. Il y a même deux façons de le faire, dont l’une permet une personnalisation assez libre des messages envoyés. Cela valait le coup de se pencher sur la question en vous présentant les deux méthodes !

Les alertes incluses dans l’interface

Pour pouvoir recevoir un e-mail sur la Vera Lite, il faut au préalable que votre e-mail soit bien configuré
Dans Account > My Contact Info (en principe vous faites cela à la première configuration de la box). Notez que si vous changez cet e-mail principal, il vous faudra saisir un code de validation reçu sur le nouveau email.

Toujours sur cet écran « My Contact Info », vous pouvez dans un premier lieu vous assurer que les notifications fonctionnent bien en allant dans l’onglet « Test Notifications ». Envoyez un e-mail de test et vous pourrez vérifier au bout de quelques minutes si vous l’avez bien reçu.

Vera e-mails configuration

Une spécificité de la Vera : l’envoi d’alerte par e-mail ne se configure pas comme paramètre d’un scénario ou comme conséquence du déclenchement d’un scénario : l’envoi d’e-mail se configure au niveau des déclencheurs d’un scénario.

Donc en créant votre scène, dans l’onglets « Triggers » (les déclencheurs), pour chaque déclencheur, après avoir configuré le déclencheur, vous avez la possibilité de cocher des utilisateurs à avertir lorsque l’évènement a lieu.

Si vous n’avez pas ajouté d’autres utilisateurs, vous ne verrez apparaître qu’un seul nom d’utilisateur, correspondant au compte principal relié à votre Vera Lite. C’est celui pour lequel vous avez configuré une adresse e-mail tout à l’heure.

Vera trigger e-mails

Donc, en l’occurrence, lorsque mon capteur 4 en 1 détecte un mouvement alors que la sécurité est armé, il m’enverra une notification par e-mail.

Le « Name for this trigger » est important, car il permet de connaître le contexte du déclencheur.
Donc si on utilise un même détecteur de mouvement dans plusieurs scénarios, on pourra savoir de quel scénario il s’agit grâce au nom du déclencheur.

Par exemple, si on a une scène « armement total » et une scène « armement partiel », on appellera différemment les triggers pour distinguer l’un de l’autre :
- « Détecteur de mouvement Porte Salon – armement partiel »
- « Détecteur de mouvement Porte Salon – armement total »

Et dans l’e-mail de notification, on n’aura que le trigger correspondant qui sera indiqué.

Envoyer des e-mails personnalisé via un serveur SMTP

Il y a une solution alternative qui consiste à utiliser l’onglet LUUP d’une scène pour envoyer un e-mail avec un serveur SMTP (Si le terme SMTP vous est étranger, sachez qu’il s’agit du type de serveur qui sert à envoyer des e-mails). Le LUUP
Dans ce cas, on utilisera l’envoi d’email déclenché lors d’un scénario. Les versions les plus récentes du firmware de la LUA intègrent entre autres cette fonction SMTP.

C’est une solution un peu plus technique car il faut avoir un serveur SMTP (généralement inclus dans les offres de base des fournisseur d’accès), et surtout avoir les coordonnées de celui-ci. Il faut aussi que le serveur ne soit pas en SSL (tous les tests ont été faits sur un serveur sans identification, donc je ne peux garantir que ça marche quand il faut une identification, même si à priori il faudrait juste ajouter un login et un mot de passe dans le code LUA).

Dans le début du code, on indique les infos nécessaires à l’utilisation du SMTP.
Le serveur SMTP est à indiquer à la place de smtp.monprovider.fr, avec le port correspondant dans la ligne du dessous (généralement, c’est 25).

Vous pouvez mettre les e-mails de votre choix dans Sending et Receiving, mais je vous conseille de mettre deux fois le votre, histoire d’éviter de répondre à quelqu’un par erreur (par exemple).

--
-- Script d'envoi d'e-mails Vera Lite - Planète Domotique
--

  local SMTP_SERVER = "smtp.monprovider.fr"
  local SMTP_PORT = "25"
  local USER_SENDING = "mon_email"
  local USER_RECEIVING = "mon_email"

local smtp = require("socket.smtp")

local from = USER_SENDING
local rcpt = {USER_RECEIVING}

Dans la suite, vous pouvez définir le sujet de l’e-mail, et surtout son contenu, que vous pouvez faire aussi intelligible et détaillé que vous le souhaitez !
N.B. : Si vous avez besoin de faire des guillemets droits, tapez un antislash juste avant pour les « échapper ».

Comme le suggèrent leur nom, la ligne « subject_out » vous permet de définir le sujet, et « message_out« , le message. Vous avez la possibilité de faire des saut de ligne en tapant \n et des tabulations en tapant \t. Attention aux caractères accentuées et cédilles, ils risquent d’être mal affichés (réglage dépendant du client utilisé pour lire les e-mails).

local subject_out = "Message de la Vera Lite"

local message_out = "Alerte intrusion salon !"

local mesgt = {
               headers = {
                           to   = USER_RECEIVING,
                           from = from,
                           subject = subject_out
                         },
                body    = message_out
              }

local r, e = smtp.send{ from     = from,
             rcpt     = rcpt,
             source   = smtp.message(mesgt),
             server   = SMTP_SERVER,
             port     = SMTP_PORT
        }

Exemple d’un e-mail présenté sur plusieurs lignes et avec des guillemets (on reprend juste la ligne du message) :
local message_out = "Message automatique de la Vera Lite\nLe detecteur de mouvement \"Entree salon\" se declenche\nMode d’alarme : alarme partielle."

Cela donnera le message suivant :

Email envoyé par la Vera

Comme vous le voyez, il est donc très simple d’obtenir un message complétement personnalisé. Avec quelques connaissances en LUA, il est même possible d’utiliser des variables pour enrichir le message (l’heure de la Vera par exemple), d’utiliser le retour de la fonction smtp.send pour vérifier si l’e-mail a bien été envoyé, etc. Certains opérateurs mobiles proposent une adresse e-mail sur laquelle les emails envoyés vous sont transmis sous forme de SMS : l’envoi d’alertes SMS est une autre application de ce code !

D’ailleurs si vous avez des idées d’améliorations pour ce code, n’hésitez pas à les proposer en commentaires !

Les nouveautés BeNext : boutons d’urgence et variateur encastrable

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Après vous avoir présenté le Tag Reader de BeNext et le Scene Controller, découvrons aujourd’hui trois nouveautés du constructeur néerlandais.

Ces trois nouveautés, ce sont tout d’abord un variateur (facile à installer et avec mesure d’énergie) et ensuite deux boutons d’urgence. Qu’est-ce qu’un bouton d’urgence et que peut-on faire avec ? Rendez-vous dans l’article pour le savoir !

Voici tout d’abord un aperçu global des produits, avec un module Fibaro en comparaison pour vous rendre compte de l’échelle. Le Dimmer (à gauche) mesure 4 cm de côté.

Chapeau bas à Connected Objects qui a très rapidement intégré ces produits dans l’eeDomus.

Benext Produits

Le Variateur encastrable BeNext

Variateur Benext avec mesure d'énergieOn a là un Variateur (ou dimmer) très compact et à l’installation très facile. Il est un peu plus haut et un peu moins épais qu’un Variateur Fibaro, et propose en plus la mesure d’énergie.

Il se place en série entre la phase du courant et celle de la lampe à commander (donc juste une entrée et une sortie Phase, pas de neutre à lui relier). Deux fils sortent du Dimmer, permettant de relier l’interrupteur. Le schéma d’installation ci-dessous vous montre une installation typique.

Attention : l’interrupteur est obligatoire car c’est lui qui permettra de faire l’inclusion et l’exclusion d’un réseau Z-Wave. La lampe doit être éteinte, on met le contrôleur en mode association, puis on allume la lampe pendant 2 secondes environ avant de l’éteindre.

Schéma d'installation du variateur Benext

Ce Variateur encastrable dispose d’une pléthore de paramètres Z-Wave, par exemple :

  • Comportement de la charge en fonction de l’appui sur le bouton
  • Possibilité de désactiver la variation pour l’allumage (la lampe s’allume directement à l’intensité lumineuse souhaitée, sans passée par la gradation).
  • Vitesse de la variation lumineuse (lors de l’éteinte ou de l’allumage progressifs).
  • Critères occasionnant l’envoi d’un rapport de consommation d’énergie au contrôleur domotique : pourcentage de variation, valeur d’énergie ou timer périodique.

Quelques points à prendre en compte : :

  • Charge minimum : 8 Watts, charge maximum : 125 Watts
  • Il faut uniquement brancher des lumières avec variation en sortie du module
  • Relier un interrupteur est obligatoire pour réaliser l’intégration dans le réseau Z-Wave

Voir le Variateur encastrable sur la Boutique

Utilisation du variateur BeNext avec un va-et-vient

Utilisation du variateur BeNext avec un va-et-vient

Variateur BeNext et Va-et-vient

Ce schéma indique comment utiliser une paire de va-et-vient existants pour commander le variateur BeNext

La Panic Watch / Bracelet avec Bouton d’Urgence Z-Wave

Bracelet bouton d'urgence BeNextVoyons maintenant quelque chose de moins courant que le variateur : la Panic Watch. Il s’agit en fait d’un bracelet muni d’un unique bouton rouge qui permet de transmettre un signal Z-Wave. Le système a volontairement été simplifié au maximum.

L’usage est tout trouvé : il permet finalement à une personne en situation de vulnérabilité de très vite vous avertir en cas de problème. Une personne agée ou handicapée peut très vite vous avertir que quelque chose ne va pas, sans avoir à courir jusqu’au téléphone (surtout si ça lui est impossible).

Donc, à intégrer dans un scénario d’urgence, qui vous prévient par e-mail ou par SMS, et vous permet de vite réagir, en vérifiant une caméra locale, en vous rendant sur place, etc.

Vu que le système est simple, il n’y a pas beaucoup de paramètres, on dispose cependant de plusieurs réglages : durée pendant laquelle il faut presser le bouton pour envoyer le signal d’urgence, temps de clignotement de la LED une fois que le signal d’urgence est envoyé, et également le type de message Z-Wave à envoyer aux appareils associés. Par défaut il faut presser le bouton pendant 1 seconde pour que le signal soit envoyé (afin d’éviter les appuis intempestifs), mais vous pouvez tout aussi faire en sorte que ça soit un appui immédiat qui déclenche le signal.

Lorsque le bracelet avec bouton d’urgence est en mode « Panique », on peut annuler le mode « Panique » en faisant deux appuis rapides (double clic) sur le bouton rouge. La montre ne sort jamais du mode Panique toute seule.

Côté ergonomie, la montre en elle-même est assez compacte et légère, elle ne pèse pas fort sur le poignet et ne sera donc pas une gène pour la personne à qui vous la ferez porter. Niveau autonomie, on n’est pas en reste : la durée de vie affichée sous conditions normales est de 4 ans. Le bracelet envoie automatiquement un signal au contrôleur lorsque sa batterie a une charge inférieure à 20%.

L’intégration au réseau Z-Wave est simple : on met le contrôleur en mode association, on appuie sur le bouton rouge jusqu’à ce que la LED clignote, et le contrôleur sera intégré.

Etats de la Panic Watch dans l'eeDomus

Au moment où j’écris ces lignes, outre la solution propre à BeNext et l’association directe en Z-Wave, seule la box eeDomus reconnaît de base la montre avec bouton d’urgence et peut directement créer des scénarios selon l’état de la Panic Watch.

Voir le bracelet avec bouton d’urgence sur la Boutique

Le Panic Button - Télécommande Z-Wave avec Bouton d’Urgence

Bouton d'urgence en boitierLa télécommande avec bouton d’urgence est un petit boitier avec un principe similaire à celui de la Panic Watch : fournir un bouton directement accessible pour signaler un problème en urgence. Donc là aussi, on a un gros bouton rouge qui peut envoyer un signal d’urgence. Ce boitier possède en plus deux boutons supplémentaires en forme de verrou, pour l’usage typique d’armer et de désarmer un système d’alarme.

Le boitier dispose d’une encoche permettant de le porter en collier pour l’avoir toujours sur soi. Il peut donc être utilisé ainsi, ou comme télécommande gardée dans la poche en permanence.

Par défaut, comme pour le bracelet avec bouton d’urgence, il faut appuyer sur le bouton rouge « S.O.S. » pendant 1 seconde pour passer en mode « Panique », et faire un double appui rapide (double clic) sur le bouton rouge pour désactiver le mode panique et passer en mode « Ok ».

Quant aux boutons verrouiller/déverrouiller, ils envoient un signal immédiat dès un simple appui. Vous avez ensuite tout le loisir de régler les temporisations classiques de la mise en place de l’alarme dans les scénarios de votre box domotique.

Attention : dans le retour d’état, les états ne sont pas cumulables. Donc le mode « Panique » est remplacé si on appuie sur « Verrouiller » ou « Déverrouiller ».

Là aussi, l’eeDomus a déjà intégré ce module et rend possible l’exploitation des trois boutons du boitier dans vos scénario

Valeurs du Panic Button dans l'eeDomus

Là aussi, la durée de vie annoncée de la pile est de 4 ans, et un signal est envoyé quand la charge de batterie passe en-dessous de 20%.

Voir le boitier avec bouton d’urgence + 2 boutons sur la Boutique

Avec le bracelet et le boitier bouton d’urgence, nous avons donc découvert de bons moyens de prévenir les situations d’urgence et de se donner les moyens d’être rapidement averti, donc de réagir vite. Les accidents domestiques faisant partie des causes de mortalité les plus importantes en France, il peut toujours être utile de mettre en place un maximum de moyens de préventions pour protéger ceux que vous aimez !


Mise à jour de l’eeDomus (novembre 2013) : boutons d’urgence, notifications, capteurs HTTP et fil pilote

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Il est à nouveau temps pour notre rendez-vous mensuel où nous passons au crible la dernière mise à jour de l’eeDomus !

Maj eeDomus novembre 2013

Celle-ci offre comme d’habitude un bon panel de nouveautés, autant au niveau de l’interface et des possibilités de programmation que des modules supportés.

Nouveau modules domotiques pris en charge

Trois modules Z-Wave et un module enOcean

Tout d’abord, on accuille 3 nouveaux modules Z-Wave dans la bibliothèque bien fournie de l’eeDomus : les boutons d’urgence de BeNext (c’est à dire le PanicWatch et le PanicButton), et la nouvelle version du module volets roulants de Fibaro, compatible pour butées mécaniques et butées électroniques.

Bracelet bouton d'urgence BeNextPanic Watch
(Bracelet avec bouton d’urgence)

Z-Wave
Voir sur la boutique

Bouton d'urgence en boitierPanic Button
(Télécommande avec 2 touches et bouton d’urgence)

Z-Wave
Voir sur la boutique

Module volet roulant "Roller Shutter 2" Z-Wave (butées électroniques)Fibaro Roller Shutter 2
(Module de commande volets roulants)

Z-Wave
Voir sur la boutique

On note également la compatibilité de la prise enOcean de  la gamme O2Line du constructeur Trio2Sys :

PriseEnOceanRécepteur prise universelle gigogne O2Line
enOceanLogo

Voir sur la boutique

Pour rappel, voici comment ajouter un périphérique enOcean sur l’eeDomus (en ayant au préalable un dongle enOcean branché sur la box).

3G et onduleurs

L’eeDomus est désormais compatible 3G ! Grâce à sa prise en charge de la clé 3G TP-Link MA180, elle peut désormais se connecter à Internet via 3G même si votre box ADSL tombe en panne (sous réserve de couverture et d’une carte sim comprenant un forfait 3G). Cela permet d’avoir le suivi de votre domicile en cas de panne ADSL ou dans une résidence où il n’y a pas Internet !

Lors de la précédente mise à jour, on avait vu que l’eeDomus commençait à être compatible avec les onduleurs USB. Elle est désormais compatible avec les onduleurs APC.

Nouveautés sur les notifications, messages twitter et SMS

Système de notifications

Le système de notifications interne a l’eeDomus a eu de nombreuses améliorations :

  • Les alertes de perte de communication de périphériques, de box, de batteries faibles peuvent désormais être envoyées au choix par Mail/SMS/Notifications push
  • L’envoi de notifications sur les smartphones peut être géré indépendamment pour les comptes secondaires
  • Un menu permet de Marquer toute les notifications comme « lues » dans le bandeau des notifications sur le portail

Mise à jour eeDomus marquer comme non lu

  • Un nouveau bouton permet de supprimer toutes les notifications dans l’onglet Notifications

eeDomus : supprimer toutes notifications

  • Dans l’historique des notifications, les notifications de différents supports sont regroupées en une même ligne (ex. Mail/SMS/Twitter) pour une meilleure lisibilité
  • Les notifications doublonnées sont désormais correctement éliminées
  • Un onglet Notifications fait son apparition dans les règles, il permet d’afficher les notifications générées par cette règle. Une colonne cachée dans les notifications permet également d’ouvrir directement la règle à l’origine de la notification

Notifications sur règles

  • Les sauts de ligne ainsi que certains accents sont maintenant correctement gérés dans les notifications push et les tweets
  • La longueur du contenu de la notification est indiqué en bas à droite dans les règles

Améliorations Twitter et SMS

Des nouveautés aussi concernant les notifications et messages via Twitter :
Vous pouvez désormais associer plusieurs comptes Twitter à la box (en créant un compte secondaire sur la box pour chaque compte twitter). De plus, les tweets sont désormais automatiquement tronqués à 140 caractères, et ceci pour éviter les échecs de publications.

De même, les accents dans les SMS sont gérés différement, ce qui permet une longueur de 160 caractères pour chaque SMS (certains caractères accentués pouvaient être comptés comme plusieurs catactères avec l’ancienne méthode).

Gestion du compte et sécurité

Au niveau de la gestion du compte, vous pouvez désormais :

  • Changer l’email associé à votre compte (Configuration du système / Mon compte)

Changer e-mail

  • Lier un autre compte eedomus à votre compte principal (permet de suivre sa résidence secondaire sans ressaisir son mot de passe)Comptes rattachés
  • Supprimer une box de son compte (pour une réinstallation complète, un prêt à un ami, …)

Au niveau de la sécurité, deux ajouts :

Lorsque vous changez de mot de passe (après avoir cliqué sur mot de passe perdu), vous recevez un e-mail et un SMS de confirmation.

Et l’API serveur peut être utilisée en mode HTTPS désormais (Une option permet d’interdire HTTP au niveau du compte utilisateur)

Scénarios et nouvelles fonctions

Améliorations des capteurs HTTP

  • Les capteurs HTTP sont désormais disponibles dans les actions de règles : ceci permet de réaliser leur mise à jour à la demande.
  • Il est possible d’ignorer les erreurs des capteurs HTTP (c’était déjà le cas pour les actionneurs HTTP)
  • Les capteurs HTTP peuvent maintenant traiter le format JSON (option de conversion dans les paramètres experts)
  • Meilleure gestion des POST vides avec les capteurs HTTP
  • Le testeur d’expression XPATH a été amélioré

Règles, actionneurs…

Exemple ci-dessous avec un module FGS :

eeDomus mise à jour Fil Pilote

  • Ajout du critère «N’est pas en cours de macro» dans les règles.

eeDomus Pas en cours de Macro

  • Les surveillances intrusion et présence ont été simplifiées : un seul mode d’activation, et le choix des médias de notifications se fait directement dans la programmation.
  • Ajout d’une action sur « Désactivation » dans la programmation Surveillance présence

Correction : Les icônes personnalisées de valeurs de périphériques pouvaient être écrasées quand ces dernières étaient définies comme « Masquées »

Améliorations de l’interface

  • Sur le portail, un clic sur la dernière image de caméra permet de passer au direct instantanément
  • Ajout de catégories dans la liste des périphériques pour une lecture facilitée (catégories : EnOcean, 433Mhz, HTTP, …)

Rubriques des périphériques

  • Amélioration des performances du ping (notamment quand les équipements réseaux visés ne sont pas joignables)
  • Utilisation de Google API V3 pour les cartes (Il est maintenant possible de passer du mode plan ou mode satellite)

En conclusion…

Encore une mise à jour riche qui augmente les possibilités de l’eeDomus et la facilité d’utilisation. Connected Object ne manque jamais d’inspiration pour trouver de nouvelles améliorations à apporter à l’interface de sa box, pourtant déjà bien complète !

Zodianet offre un petit relooking à l’interface de la ZiBASE et étoffe la documentation en ligne

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Zodianet a effectué une mise à jour de l’interface en ligne de la Zibase et a effectué de nombreux ajouts sur la documentation en ligne.

Actuellement, vous avez le choix entre l’interface classique et la nouvelle interface selon l’adresse que vous utilisez pour vous connecter. Zibase.net vous permet d’accéder à l’interface classique et Zibase2.net vous permet de découvrir la nouvelle interface (et ce, avec vos login et mot de passe habituels et en conservant toutes les déclarations de périphériques et scénarios existants !). Zibase.net devrait prochaiement passer à son tour sur la nouvelle interface.

Voilà à quoi ressemble la nouvelle version de l’interface de la Zibase :

Nouveau mode basique de la Zibase

La ZiBASE propose deux nouveaux styles assez modernes et sobres (celui visible sur la capture d’écran ci-dessus et une variante avec les interfaces gris). Si vous êtes un inconditionnel d’un des anciens « look » de l’interface, pas de panique, ils restent disponibles à la sélection !

Nouveaux styles de présentation de Zibase

 On constate une autre nouveauté intéressante : la présence de deux barres d’outils disposées à gauche et à droite, qui sont désormais permanentes sur toutes les pages de la ZiBase et s’adaptent au contexte.

Par exemple, sur une page de périphérique ou de scénario, la barre d’outil de droite s’agrémente de 4 boutons : sauvegarder, annuler, ajouter un élément et supprimer un élément. Bien pratique, cette barre d’outil évite de devoir descendre tout en bas en bas de la liste des périphériques pour ajouter ou supprimer un nouveau périphérique (et idem pour les scénarios). Et l’expérience montre qu’on peut très vite avoir un bon paquet de périphériques ou de scénarios sur une ZiBase !

Boutons de sauvegarde de la Zibase

Une autre amélioration et non des moindres est l’enrichissement de la documentation en ligne de la ZiBase. Cette documentation est accessible dès la connexion à la Zibase, sur le bouton « Notice ».

On trouve notamment de l’aide sur :

Accès à la notice de la Zibase

  • le Configurateur : présentation des technologies utilisées pour l’interface web, les différents modes, la gestion du compte…
  • les Scénarios : explication sur la création des scénarios, avec chaque partie de l’éditeur de scénario détaillée.
  • les Actions : une page listant toutes les actions disponibles et 4 pages de contenu détaillant le fonctionnement pour chacune des actions.
  • les Variables : les amies des bidouilleurs ! Cette page explique quels sont les variables disponibles, quel est l’usage qu’on peut faire des différentes déclarations de variables disponibles, et propose une référence des variables système (S0, S1, S2…) et des variables issues de sondes (I0, I1, I2…).

En outre, quelques améliorations ergonomiques plus discrètes ont été apportées, comme la possibilité d’utiliser la molette de la souris dans les fenêtres de l’interface munies d’un ascenseur (typiquement, la liste des scénarios).

Félicitations à Zodianet pour ces nouveautés qui sans nul doutent améliorent l’expérience ZiBase pour les nombreux utilisateurs qui ont déjà adopté cette solution complète pour la domotique.

Découvrez l’univers ZiBase sur Planète Domotique !

Augmentation du coût de l’énergie : comment surveiller et optimiser sa consommation

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Suivre sa conso d'énergieLa nouvelle est tombée au début de l’été : dans l’objectif de réduire son déficit, EDF a reçu l’autorisation de l’autorité de régulation pour augmenter deux fois ses tarifs. Ce qui signifie que le prix de l’électricité va être amené à grimper.

La première augmentation de 5% a déjà eu lieu au début du mois, le 1er août 2013, et la seconde augmentation, de 5% également, est prévue pour l’année prochaine, le 1er août 2014.

C’est donc un bon moment pour se pencher sur les systèmes existants de suivi d’énergie dont le but final est d’optimiser son utilisation de l’électricité pour faire des économies. Et ça tombe bien, car il y a eu récémment quelques nouveautés en boutique. Petit tour d’horizon des solutions que nous proposons, qu’il s’agisse de nouveautés ou de systèmes qui ont déjà fait leurs preuves. Car après tout, le suivi c’est le premier pas vers une attitude efficace !

La téléinformation : l’information en direct du compteur

La téléinformation est un système pratique sur les compteurs électriques actuels : deux bornes qui permettent de lire les informations du compteur avec un modem compatible, pour les envoyer sur un ordinateur ou sur une box. Pour en savoir plus, vous pouvez lire notre article de présentation de la téléinformation.

La téléinformation extrait de nombreuses informations à partir du compteur : l’index Heures Pleines/Heures Creuses, la consommation en temps réel et les besoins de délestage. Nous pouvons nous servir de la téléinformation pour suivre précisément la consommation électrique au jour le jour, et également faire des tests. On peut ainsi mettre en pratique, « en test », des conseils sur l’économie d’énergie (ampoule basse consommation, débrancher les appareils au lieu de les mettre en veille…), et vérifier leur impact sur la consommation générale.

Cependant, cette solution à des limites : tout d’abord elle n’est pas utilisable pour un sous-circuit, elle ne vous permettra de surveiller que l’alimentation principale (donc pas de déterminer les sources directes des dépenses énergétiques). De plus, si vous voulez interfacer un tel outil avec une box domotique, sachez que toutes les box ne sont pas compatible. eeDomus est la seule à gérer les modems double compteur, et eeDomus et Vera prennent en charge les simples compteurs. Notez que la téléinformation est une particularité des compteurs électrique français, et que les produits proposés ci-dessous sont généralement de conception française !

Les modems téléinformation USB et XBee

Le modem téléinformation 2 compteurs USB est le modem téléinformation le plus répandu actuellement. Il va droit au but : on peut le relier à 1 ou 2 compteurs, et on le relie ensuite simplement en USB à un PC pour effectuer les relevés.

Modem téléinformation 2 compteurs

Le modem téléinfo 2 compteurs est le plus répandu.

Il existe désormais dans une version modem téléinformation rail din qui est directement fixable au panneau électrique pour 1 seul compteur, également connectable en USB (celui-ci servant aussi à l’alimentation du modem). Ces deux modems demandent d’avoir un PC ou autre machine avec USB à proximité du compteur pour faire les relevés.

Mais il existe une version sans-fil : elle est constituée d’un émetteur que vous reliez au compteur, qui se chargera de faire les relevés et de les transmettre, et d’un récepteur, qui se relie à un ordinateur (ou box compatible) pour transmettre les données à la machine. Il y a ainsi le Modem téléinformation XBee Standard ou sa version téléinformation XBee Pro (pour une portée accrue, on passe de 30m à 100m). XBee est un protocole de communication radio très peu gourmand en énergie.

La nouvelle génération : les cartes Ethernet compatibles téléinformation

Jusqu’à maintenant, les modules téléinformation avaient généralement besoin d’un PC pour la récolte ponctuelle des données. Mais ceci risque de changer avec l’avènement de serveurs dédiés à la téléinformation, qui peuvent relever les données, et vous les proposer dans une interface accessible à partir de tout appareil connecté au réseau local, voire à distance.

Un avantage notable est qu’il n’y a pas à s’y relier avec un câble USB, là il suffit de les relier au réseau local (typiquement, la box Internet ou un switch Ethernet), et les informations seront accessibles sans avoir à rapprocher le PC près du compteur.

Tout d’abord, il y a l’Eco-Devices. Il se place dans le tableau électrique (format Rail Din) et dispose d’une capacité de sauvegarde des informations sur 10 ans.

Le WES (Web Energie Superviseur) est un produit assez innovant. C’est un mini serveur qu’on ajoute dans le tableau électrique et qui permet de surveiller sa consommation électrique.

La conso électrique n’est pas la seule valeur mesurée, on peut lui relier un grand nombre de sondes et d’autres appareils de mesure pour en faire un centre de suivi global de l’énergie de chez soi. Il dispose d’une interface assez intuitive et peut donc mesurer et présenter de nombreuses données.

Capture d'écran du Web Energie serveur

Les outils pour mesurer l’énergie plus localement

Les pinces ampèremétriques

Si vous souhaitez mesurer la consommation d’un sous-circuit ou même d’un appareil en particulier, les pinces ampèremétriques sont une solution simple et modulables. Dans le principe, c’est très simple, il suffit de mettre une pince autour d’un fil électrique (fil de phase uniquement !), pour qu’elle en mesure l’énergie. Il est donc très simple de passer d’un appareil à un autre, ou d’un sous-circuit à un autre.

Un avantage supplémentaire de ces pinces et leur compatiblité : il existe des pinces Zwave compatibles avec toutes les box domotiques que nous proposons. Cela dit, les pinces présentent tout de même un inconvénient : elles se basent sur le champ magnétique du fil électrique pour effectuer leur mesure, ce qui signifie que la consommation n’est pas mesurée avec une précision exacte, on n’atteint pas le niveau de précision des modems téléinformation.

Pour créer un système tout simple de surveillance d’énergie, il ya tout d’abord la marque OWL, qui propose des pinces (CM160). Ces pinces ne sont pas Z-Wave mais elles sont compatibles directement avec la Zibase, et avec l’eeDomus et la Vera en utilisant un module RFXCom USB. Il y a aussi les produits Current Cost, tels que le Compteur de consommation électrique EnviR  qui se compose aussi d’une pince et d’une base. La consommation est directement relevée sur la base. L’utilisation d’un affichage sur la propre base du dispositif vous permet d’avoir un aperçu de la consommation directement dans votre salon.

Le HEM d'AEON Labs

Le HEM d’AEON Labs

En Z-Wave, il y a le HEM d’Aeon Labs, qui existe en version compteur de consommation 2 pinces et compteur de consommation 3 pinces. Il transmet directement les énergies relevées sur ses différentes pinces pour les envoyer à son contrôleur Z-Wave. Enfin, il y a toute la gamme de surveillance d’Energie OWL e-intuition. Comme indiqué plus haut, les box ne sont pas toutes compatibles par défaut, mais un gros avantage des produits OWL est qu’ils stockent les données en ligne sur la plateforme d’OWL, permettant ainsi de les conserver en sureté et d’en faire une exploitation directe.

Les prises avec surveillance d’énergie intégrée

Voici une solution très simple à installer pour surveiller la consommation d’un appareil en particulier ou de plusieurs appareils reliés à une même multiprise : la prise gigogne avec compteur d’énergie. Il suffit de la brancher entre la prise de l’appareil et la prise secteur, et la surveillance d’énergie peut commencer !

Outre sa simplicité, cette solution a des avantages au niveau domotique : les modèles Z-Wave (que nous verrons juste après) peuvent directement transmette les infos à la box, et sont aussi généralement commandables à distance. On a ici une précision supérieure aux pinces ampèremétriques vu qu’on mesure directement le courant électrique.

Pour un modèle tout basique, il y a cette prise de mesure d’Energie Chacon, le Power Control PC300.Elle n’est pas commandable à distance mais donne immédiatement les informations sur son affichage en façade. Côté Z-Wave, il y a notamment l’AN1586 de Everspring, une prise pilotable à distance, qui mesure l’énergie et la transmet au contrôleur Z-Wave. Une valeur sûre.

Fibaro Wall Plug

Il y a également la petite dernière de Fibaro, la Wall Plug, qui embarque pas mal de fonctionnalités en plus de la mesure d’énergie. Tout d’abord elle est extrêmement compacte et garantit un encombrement minimal (contrairement à pas mal de prises qui sont faites en « bloc », celle-ci épouse directement la forme d’une prise ronde). Ensuite, elle dispose d’un affichage de couleurs paramétrables, pour avoir diverses indications sur la consommation).

On peut la commander à distance par Z-Wave et aussi lui définir des comportements selon l’énergie demandée par l’appareil branché ou selon un timer… N’hésitez pas à consulter l’article où nous présentons la WallPlug de Fibaro pour avoir une idée de ses possibilités et des paramétrages possibles.

Méthodes d’analyse et de réduction de la consommation d’électricité

Maintenant que nous avons passé en revue les différentes possibilités de mesure, concluons par deux choses : la présentation d’un outil inclus dans l’eeDomus pour analyser sa consommation d’énergie, ainsi que quelques points de vérification sur lesquels on peut intervenir pour moduler la consommation d’énergie et mesurer l’impact des différents appareils et de leurs utilisations.

Outil de suivi et d’analyse de l’eeDomus

L’eeDomus possède son propre système de suivi et d’analyse de dépenses énergétiques, le Tableau de bord. En ajoutant des appareils de mesure d’énergie (pas seulement électrique), ce système trouve tout son intérêt. À l’aide de graphiques et de tableaux, le tableau de bord permet d’analyser l’ensemble de sa consommation énergétique, et de faire le lien, par exemple entre le lever du jour et l’utilisation des lumières, ou la température et la consommation électrique des radiateurs, climatiseurs…

Voici des exemples d’écrans qu’on obtient sur ce tableau de bord : des courbes mises en relation, un tableau de tendances par rapport aux jours précédents, un graphique indiquant la consommation électrique selon la température.

Tableaux de bords de l'eeDomus : courbes

Tableaux de bords de l'eeDomus : tableau de tendances

Tableaux de bords de l'eeDomus : graphique

Les points pour économiser l’électricité

Voici quelques points que vous pouvez prendre en compte pour essayer de faire baisser vos dépenses électriques. Vous pouvez faire des tests sur ces points et vérifier directement quel est leur impact sur la dépense énergétique.

La mise en veille des appareils électriques : qu’il s’agisse de téléviseur, chaîne-hifi, décodeur ou box tv, ou même ordinateur, nombreux sont les appareils qui se mettent en veille pour démarrer au quart de tour. Cependant, cette veille n’est pas idoine puisque l’appareil en veille continue de consommer de l’électricité.

La consommation des appareils à charge importante : surveillez les appareils comme le lave-linge, le sèche-linge, les plaques de cuisson, et le cas échéant, la climatisation, la piscine chauffée… En surveillant un appareil vous pouvez vous rendre compte de son poids énergétique dans la maison. Quitte à le changer pour un modèle plus récent et moins gourmand en énergie, s’il s’avère que l’appareil est vieillissant. Par exemple, un chauffe-eau peut s’entartrer au fil du temps, et le remplacer peut être une dépense vite amortie.

Optimiser l’éclairage : les ampoules « basse consommation » utilisent 5 fois moins d’énergie que les ampoules à incandescence, ce qui en fait de bons produits, notamment pour les éclairages destinés à rester longtemps allumés (éclairages principaux de cuisine, de salon). Essayez également de profiter au maximum de la lumière du jour, en plaçant stratégiquement votre plan de travail, vers les fenêtres.

Diminuer la puissance des radiateurs : quelques degrés peuvent faire la différence ! En baissant de quelques degrés le thermostat ou tout simplement en diminuant la puissance du radiateur, vous pouvez réaliser de réelles économies. En conjonction avec un système de surveillance d’électricité. Pour notre article , ça concerne surtout le cas de radiateurs électriques, mais l’aspect « économie d’énergie » est valable pour tous les cas.

Et utilisez de la domotique ! L’économie d’énergie fait partie des grandes fonctions de la domotique. Qu’il s’agisse de n’allumer certaines lumière qu’en cas de présence (ce qui évite d’oublier une lumière allumée), ou d’ouvrir les volets de manière à avoir toujours un niveau de lumière naturelle optimal et de profiter un maximum de la lumière du jour (à l’aide des heures de lever/coucher du soleil ou d’un détecteur de luminosité), la domotique est capable de faire des tâches qui pourraient sembler rébarbatives mais qui pourtant peuvent occasionner une réelle économie d’électricité.

Sur ce, il ne nous reste qu’à vous souhaiter de faire de bonnes économies d’électricité, grâce à la surveillance d’énergie !

Apprenez à avoir la main verte avec le Koubachi

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Apprendre à avoir la main verte avec le KoubachiLe Koubachi n’est pas ce que l’on peut appeler de la domotique, mais bien plus une aide, un pense-bête qui vous permet d’avoir la main verte

N’attendez pas de celui-ci de remonter des informations dans votre système domotique, il n’est pas fait pour ça. Il prend en compte les principaux paramètres mais ne va pas au delà.

Vous pouvez avoir la vision sous smartphone via l’application propre de Koubachi (mais qui limite le nombre à 9 Koubachi) de façon synthétique ou sur votre ordinateur lui-même (là, vous pouvez avoir la vision jusqu’à 27 Koubachi).

Cependant, pour les mordus de domotique, vous avez aussi l’application Android nommée Imperihome (application que je vous conseille si vous avez différents systèmes domotiques) : outre la synthèse de l’ensemble des paramètres domotique, cette application remonte aussi les données de vos Koubachi (mais là aussi limité à 9).

Une remontée périodique est configurable (mini chaque jour à l’heure de votre choix) et je vous invite à suivre ses conseils.

Quant à la configuration que nous allons ici aborder ensemble, pour éviter tout problème, je les configure avec un ordinateur ayant le réseau Ethernet + un réseau Wi-Fi (si vous avez un simple ordinateur Wi-Fi sans filaire, cela est plus délicat, quoique jouable, mais vous devrez quitter Internet pour vous connecter ad-hoc au Koubachi afin de le paramétrer puis re-basculer sur Internet – bref, ce jeu n’est pas simple surtout dans les délais impartis – utilisez pour cela le logiciel téléchargeable qui remplace internet durant un moment).

Le Wi-Fi permet de configurer le Koubachi et la connexion filaire, quant à elle, vous permet de le configurer sur le site. Pour le Koubachi, la configuration est un point particulièrement délicat, mais une fois effectuée, vous en serez ravi !

Enfin notez qu’il existe une version d’intérieur et une d’extérieur (je dirai pour ma part que cette dernière est plus vouée aux balcons et terrasses, ou encore aux pièces humides comme les salles de bain).

Découverte des écrans du Koubachi

Tout d’abord, pour ceux qui ne connaissent pas encore le produit, voici un petit descriptif :

Le Koubachi peut être lié à une plante ou à un groupe de plantes. (Dans le second cas, cela sera plus délicat car vous serez constamment obligés de changer le capteur de plante et de dire quelle est la plante concernée lors de la remontée.)

La remontée peut se faire manuellement par un appui bref sur le bouton du capteur, ou alors journalièrement de lui-même.

Voilà les informations que vous pouvez obtenir via le Koubachi sur votre ordinateur :

Besoin en eau :

K1

Besoin en vaporisation
Cette information est un pur rappel, vous devez lui dire que vous l’avez fait car aucun capteur ne le calcule, mais c’est un bon pense-bête :

K2

Besoin en engrais
Là aussi, ce n’est qu’un pense-bête :

K3

Mesure de température et bien-être de la plante sur ce critère :

K4

L’indice d’ensoleillement et là aussi le bien être de la plante sur ce critère :

K5

Enfin une synthèse des remontées du capteur lui même :

K6

 

Ces informations sont liées au besoin de la plante car à la configuration vous devez impérativement renseigner la variété.

Pour info, les variétés sont tous les jours un peu plus nombreuses dans la configuration que propose le site Koubachi.

Configurer un Koubachi

Maintenant passons à la configuration :

  1. Aller à l’adresse https://www.koubachi.com/main
  2. Aller sous my koubachi login (ou connexion en haut à droite)
  3. Pour le 1er Koubachi il faudra vous inscrire, et pour les suivants il suffit de renseigner vos login et mot de passe…

Voilà alors ce qui apparaît à l’écran si vous en avez déjà plusieurs :

Koubachi1

Là on voit qu’il n’y a plus de place donc on passe à la page 2 en cliquant sur le bouton du milieu en bas de l’écran

Cliquez alors sur une partie libre et vous verrez un pot apparaître.

Koubachi2

Quand vous cliquez sur + vous verrez une nouvelle page s’afficher pour choisir la plante

Koubachi3

Choisissez votre plante :

Koubachi4

Le nom et le lieu de la plante :Koubachi5

La plante est prête pour recevoir son Koubachi !Koubachi6

 Cliquez sur le bouton synchro sur l’écran et vous allez voir apparaître :

Koubachi7

 Configurer le capteur et suivez les étapes.

Koubachi8

Je vous conseille la première fois de faire un reset du Koubachi en appuyant 15s sur le bouton. Une lumière rouge va apparaître, cliquez la lumière s’éteint.

En parallèle, désactiver votre pare-feu, faute de quoi rien ne fonctionnera !!!

Appuyez alors 3 secondes  comme stipulé sur vos écrans.

Allez sur la connexion réseau de votre micro et activez la connexion Wi-Fi (c’est là aussi spécifié dans les démarches à suivre)…

Koubachi9

Puis cliquez sur connecter. Il vous faut absolument avoir cela à l’écran avec Koubachi_config (xxxxx), sinon rien ne sert de passer à l’étape suivante.

Ecran connexion WiFi

N’oubliez pas que quand vous cliquez 3 secondes sur le Koubachi, il s’agit d’une période de découverte qui est limitée dans le temps. Donc si vous traînez trop, la lumière du Koubachi va s’éteindre et vous devrez repartir de l’étape 5 du configurateur.

Donc choisissez l’association limitée avec le Koubachi et passez sur l’étape 6.

On vous demande alors sur quel réseau Wi-Fi vous voulez l’associer et la clef de sécurité…

Parfois la manip est loupée (« error code »), si vous ne vous êtes pas trompé, réessayez ! Ça arrive parfois.

Après que la confirmation de connexion se soit affichée, poursuivez le Tutorial intégré et plantez votre capteur. Pour la première mesure, cliquez brièvement sur le bouton et la connexion s’établie (clignotement de la LED).

Si le réseau Wi-Fi est à portée correcte, vous verrez :

Koubachi11

Koubachi12

Sous Imperihome et sous l’application Koubachi vous verrez les appareils dans la pièce désignée après la configuration :

Koubachi13  Screenshot_2013-09-16-15-34-42

Pour Conclure :

Inutile de développer les bienfaits de ce capteur, seul compte le résultat. Moi qui suis tout le temps pressé, ce système me permet en toute simplicité de ne plus avoir de feuilles sèches par terre, des plantes qui ne tiennent plus à la maison. Bref, mes plantes sont en pleines forme à l’aide des pense-bêtes qui me sont envoyés !

L’application iPad de la Zibase présente son mode global

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Depuis le début du mois, Zodianet, constructeur de la Zibase, a fait une mise à jour importante de l’application iOs (iPhone/iPad) de sa box domotique. La principale nouveauté de cette mise à jour est le mode global.

L’utilisation de l’appli telle que nous la connaissions jusqu’à présent était le mode Page, permettant de naviguer entre différentes pages contenant des icones.

Cette nouvelle version de l’application ajoute un mode Global, qui, comme son nom l’indique, propose une vue d’ensemble de son installation domotique. Une vue personnalisable à loisir et avec une accessibilité accrue. Pour passer du mode page au mode global, il suffit de cliquer sur l’icône située en haut à droite de l’écran.

Une chose à noter : le mode Global ayant besoin d’une puissance un peu plus élevée, il nécessitera d’avoir un modèle d’iPad 2 ou supérieur, ou encore iPad Mini, avec une version d’iOs supérieure à 6. La mise à jour reste toutefois disponible sur les autres terminaux pour bénéficier d’autres fonctions apportés.

Attardons-nous plus en détail sur ce que propose ce mode global. Dans ce mode, vous allez pouvoir utiliser une image de votre choix (par exemple un plan, une vue en perspective…) et la placer en fond de cet écran. La hauteur de l’image est imposée mais pas la largeur, vous pourrez donc utiliser une image qui dépasse l’écran en largeur. Il vous sera possible de zoomer et de scroller (faire défiler) cette vue à souhait.

Et bien sûr, là où c’est utile, c’est que vous allez pouvoir placer les différentes icônes sur votre image, sur votre plan. Il est tout d’abord possible de choisir le style des icônes :

Sets d'icone de la nouvelle appli iPad de Zibase

Puis vous pouvez disposer les icônes sur votre plan juste en les faisant glisser à l’endroit souhaité (il faut en préalable être en mode « édition d’icônes »). Bref, il vous suffit très intuitivement de placer les icônes des lampes à l’endroit correspondant à leur position dans la maison, idem pour les sondes, détecteurs, volets roulants et tout autres appareils domotisés. Dans ce mode d’édition, notons aussi la position d’une corbeille, qui ne sert pas juste à supprimer une icône : si vous changez d’avis, vous retrouverez dans ce dossier la ou les icône(s) supprimée(s).

Vue du mode global de la Zibase

Cette nouvelle version va encore plus loin dans les possibilité puisqu’elle vous proposera d’enregistrer plusieurs configurations (comprenant le fonds et le placement des icônes), permettant ainsi la gestion aisée de plusieurs ZiBASEs.

Et une autre fonctionnalité va s’avérer très utile : la possibilité d’exporter le positionnement des icônes (dans ce mode Global mais également leur ordre dans le mode page) dans un fichier que vous pourrez ensuite envoyer par e-mail. Ce fichier pourra bien sûr être ensuite importé dans l’application sur d’autres iPad / iPhones que celui sur lequel la configuration d’origine a été faite (cette fonction bénéficie aussi aux iPhone et à l’iPad 1 qui n’ont pas le mode Global, puisqu’elle permet aussi d’importer et d’exporter la disposition du mode Page).

Outre ces innovations, la mise à jour corrige également un bug sur le pilotage des caméras IP en https.

Au final, nous découvrons ici une mise à jour qui rend l’appli encore plus intuitive qu’avant. Cette nouvelle fonction semble déjà avoir remporté un franc succès auprès des testeurs et fera sans doute de même pour tous les utilisateurs de ZiBASE disposant d’une tablette Apple. Encore une avancée pour les applications domotiques, qui deviennent de plus en plus accessibles et agréables à utiliser.

Retrouvez l’application officielle ZiBASE sur iTunes

Découvrez l’univers ZiBASE sur Planète Domotique

Deux nouvelles multiprises pour votre bureau par Chacon

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Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir deux nouvelles multiprises proposées par Chacon. Le concept est qu’il s’agit de multiprise qui ont vocation à être accessible directement sur le bureau pour faciliter l’accès, elles sont donc munies de prises USB.

Ces prises ne sont pas radiocommandées, leur principale caractéristique c’est qu’il s’agit de prises compactes et esthétiques ayant pour objectif d’être placées à portée de main, sur un bureau. Cependant, rien ne vous empêche d’ajouter une prise gigogne entre une de ces multiprise et le secteur pour l’allumer/éteindre à distance !

Desktop Powerstation

Découvrez la Desktop Powerstation sur la boutique !

Le Desktop Powerstation est un bloc de taille raisonnable sur lequel on dispose de trois prises électriques (toutes avec une prise terre, permettant de brancher ce qu’on veut dessus) et deux prises USB dédiées à l’alimentation.

Les prises USB sont un attrait sympathique (si pour vous aussi, les ports USB du PC et du hub sont vite remplis), notamment parce que quasiment tous les appareils mobiles d’aujourd’hui ont un chargeur USB avec juste un adapateur secteur (voire même seulement un adaptateur USB, je pense aux iPod notamment). Donc là, on peut faire fi du bloc d’alimentation et directement brancher le câble USB.

Autre aspect pratique de la Powerstation : il y a un bouton en façade avec un voyant, qui permet de l’allumer ou de l’éteindre d’une simple pression. Pratique pour l’éteindre une fois que tout est chargé, et ainsi faire des économies d’énergie.

 PowerStation vue avant

Voici une petite mise en situation où j’ai pu y brancher : sur les ports USB une tablette et une PS Vita, et sur les prises, un chargeur de piles, et… une console portable un peu plus old-school ;)

PowerStation branchée

La prise du haut est vraiment pratique quand on doit garder un œil sur ce qui charge (d’où le fait que le chargeur des piles me semblait être bien adapté). Les deux prises de derrière sont quant à elles pensées pour ne pas être encombré par les gros adaptateurs secteur. D’ailleurs les prises restent assez espacées les unes des autres pour que les gros adaptateurs secteurs puissent cohabiter.

PowerStation vue arrière

Voilà ce que vous propose la PowerStation !

Et bien sûr, elle est conçue pour des chargeurs mais rien ne vous empêche de vous en servir pour de l’alimentation plus classique : une lampe de bureau, ou un chauffe-tasse USB !

Le PowerCube

Découvrez le PowerCube dans la boutique

Le PowerCube est quand à lui très compact : comme son nom l’indique, c’est un cube proposant quatre prises électriques (avec terre encore une fois) et une prise USB. Les deux faces restantes sont destinées à un support de fixation et à la prise qu’on branche dans une prise secteur classique (ou, encore une fois, dans une prise gigogne si on veut domotiser cette multiprise !).

Voici une vue rapprochée du fameux cube, où on a branché un chargeur USB ainsi qu’un chargeur secteur, dans le fond :

PowerCube Zoom

Il est possible de fixer le PowerCube à un mur pour un encombrement minimal sur le bureau. On peut également le fixer juste sous un bureau, par exemple. La fixation se fait par adhésif double-face ou par vis.

PowerCube accroché

Là aussi, finissons par une mise en situation où sont branchés sur le PowerCube : une tablette, une PS Vita, et un chargeur de piles.

Mise en situation du powercube

Une façon sympa de regrouper ses prises, et qui permet d’éviter de devoir aller chercher sous son bureau à chaque fois qu’on veut brancher ou débrancher un chargeur !

La vigilance météo dans votre box domotique évolue

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carte_vigilanceBonjour et bonne année 2014 !

Pour débuter l’année voici un petit article (court car je sens que je vais en perdre quelques-uns qui ne se sont pas encore remis des fêtes) pour vous présenter les évolutions que j’ai apporté à mon script PHP depuis 8 mois. Ce script, dont je vous avais fait la présentation dans l’article que vous pouvez retrouver en cliquant ici, vous permet de récupérer dans votre box domotique (et pas spécifiquement l’eedomus) les états de vigilance météo émis en France (et en Andorre).

Depuis la première version publiée en mai dernier, plusieurs évolutions, en plus de quelques correctifs, ont ont vu le jour.

Les fonctionnalités du script disponibles en ce premier jour de 2014 sont les suivantes :

  • Mise à disposition des états de vigilance (niveau & couleur) pour la France métropolitaine et l’Andorre,
  • Disponibilité des états de vigilance (niveau & couleur) pour les départements antillais (depuis la version V2.1 de juin 2013),
  • Disponibilité des états de vigilance côtiers (niveau & couleur) pour les départements littoraux de la métropole (depuis la version V2.1 de décembre 2013),
  • Pour les départements de métropole et pour l’Andorre, détails sur l’état de vigilance (depuis la version V2.3 de janvier 2014),
  • Choix d’afficher ou de sauvegarder les données au format XML, ou JSON (version V2.0 de décembre 2013),
  • Script PHP allégé car il n’utilise plus la librairie gd -> gain de temps lors de l’exécution du script (depuis la version V2.0 de décembre 2013).

La dernière nouveauté en date est la disponibilité de détails sur la vigilance en cours pour les départements de métropole et pour l’Andorre. Ce nouveau champ, nommé « risque » dans le fichier XML/JSON, consiste à indiquer pour chaque département sur quoi porte la vigilance météorologique : pluies, inondations, crues, vent, canicule, avalanches, vagues, etc…

Par exemple, voilà la vigilance actuelle (Rouge / Inondations) pour le Finistère telle qu’elle est disponible ce 2 janvier grâce au script :

<dep_29>
 <niveau>4</niveau>
 <alerte>Rouge</alerte>
 <risque>Inondations</risque>
</dep_29>

L’intérêt principal de ce nouvel item « risque » est de savoir sur quel(s) élément(s) (car il peut y en avoir plusieurs pour un même département) porte la vigilance, sans devoir aller la chercher ailleurs. Et ainsi vous simplifier un peu plus la vie.

La mise en œuvre pour récupérer l’information depuis sa box domotique devient alors un jeu d’enfant car il est identique aux items précédents (et présentés dans l’article initial). Par exemple dans l’eedomus, il faut ajouter un nouveau périphérique de type « capteur HTTP ».

meteo1

Le type des données de ce périphérique devra être « Texte ». Le chemin XPATH sera /vigilance/dep_XX/risque (ou /vigilance/cote_XX/risque pour le littoral) avec XX correspondant au département choisi.

meteo2

Pour ceux qui utilisaient directement mon serveur à noter que le fichier XML est désormais disponible à l’adresse suivante : http://www2.fmaurel.fr/data/carte_vigilance_meteo.xml (suite à quelques soucis de ligne et pour ne pas vous pénaliser, j’ai externalisé le fichier sur un serveur sur Internet).

Cliquez sur Sauver et voilà, les données remontent quasi-instantanément.

meteo3

Il ne vous reste plus alors qu’à lancer les notifications (mail, SMS, Twitter, Lapin, Sonos, pigeon voyageur…) que vous souhaitez au travers de règles, sachant que lorsqu’il n’y a pas d’état de vigilance particulière, le détail (ou risque) aura comme valeur « RAS ».

Sources :

  • Lien vers l’article initial de présentation du script : ICI,
  • Lien vers mon Github pour télécharger les fichiers (pour les personnes autonomes) : ICI.

Compatibilité ImperiHome et Zipabox : lancement du programme de Beta test

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Si vous êtes un lecteur régulier de ce blog, vous connaissez déjà ImperiHome, une application smartphone et tablettes dédiée à la domotique et dont nous suivons régulièrement les avancées (voir tous nos articles sur ImperiHome).

ImperiHome est déjà compatible avec de nombreuses box domotiques : eeDomus, Vera, Zibase… Et l’équipe d’EvertyGo – créateurs de l’appplication – travaillent désormais sur l’intégration de la Zipabox.

ImperiHome Beta Zipabox

EvertyGo vous propose de tester en avant première la version d’ImperiHome compatible Zipabox.

Possesseurs de Zipabox et d’appareil mobile sur Android, c’est à vous que nous allons faire appel : d’ici le 26 janvier, EvertyGo va sélectionner une quinzaine de beta testeurs désirant tester en avant-première la compatibilité de ImperiHome avec le serveur domotique de Zipato. Pour participer, il vous suffit de suivre les instructions indiquées dans l’article qui présente le beta-test : il s’agit principalement d’avoir une Zipabox et de remplir un formulaire. Bien sûr, plus vous aurez d’équipements liés à votre Zipabox, plus vous aurez de chances d’être sélectionnés.

Si vous n’avez pu tester ImperiHome – justement parce que vous aviez une Zipabox et que l’appli n’était jusqu’alors pas compatible avec votre équipement, vous pouvez jeter un œil aux commentaires de cet article et constater que beaucoup ont déjà été conquis par l’application.

Voir l’annonce du beta test et postuler

En attendant la sortie de la prochaine version intégrant le support de la Zipabox, pour ceux qui postuleront au beta test, nous vous souhaitons d’être sélectionnés. Bonne chance !

Mise à jour de l’eeDomus (janvier 2014) : planifiez tout avec le nouvel agenda !

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Connected Object nous propose de démarrer l’année en beauté avec sa mise à jour mensuelle de l’eeDomus, encore une fois riche en nouveautés.

L’editeur d’agenda

La grosse nouveauté de cette mise à jour, c’est le système d’agenda. Une refonte de l’ancien agenda qui vous permet de faire un planning de la journée, simplement en sélectionnant une phase (Lever, Journée, Retour du Travail…) et en coloriant au curseur la période de la journée correspondant.

Vous pouvez ensuite, de la même façon, définir des types de journée (travail, week-end, vacances…) et les indiquer sur le calendrier. C’est donc une façon très visuelle et intuitive pour planifier sa programmation domotique.

Ce système va se montrer excellent pour une gestion automatisée du chauffage et du système de sécurité.

eeDomus - présentation de l'agenda

Les phases de la journée sont créées sous forme d’un État « Phase » : dans ce périphérique, vous pouvez définir les différentes phases et associer des actions pour chacune d’entre elles.

N.B. : comme il s’agit d’un État, il est utilisable également dans la création de scénarios.

eeDomus phases de l'agenda

En outre, le système propose l’import de calendrier au format ICS (format standard de calendrier, géré par iCal, iCalendar, Outlook, Thunderbird, Google Agenda…), par exemple pour ajouter directement les journées de vacances, de congés, etc.

Nouveaux périphériques Z-Wave pris en charge

Comme à l’accoutumée, on trouve de nouveaux produits pris en charge par l’eeDomus.

Notamment cinq nouveaux modules Z-Wave :

AEO_DSD37Répéteur de signal Z-Wave – Aeon Labs

Voir sur la boutique

ZME_WCD1Double interrupteur mural ZME_WCD1

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SENSOAIRCapteur de CO2 SENSOAIR

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PHI_PSM01Détecteur 3-en-1 Phitec
ouverture, température et luminosité

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PHI_PAN04Module on/off 2 relais Phitec
avec mesure d’énergie

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Nouvelles fonctions et corrections

Conguration directe des actions pour une valeur donnée d’un État :

De manière similaire au principe des scènes, lorsque vous créez un état et que vous spécifiez ses valeurs possibles, vous pouvez indiquer une liste d’actions associées à cet état (comme pour l’État « Phase »)

eeDomus - états des scènes

Duplication des périphériques (hors Z-Wave) : permet de gagner du temps, par exemple en dupliquant des périphériques http (actionneurs et sondes http).

Découverte UPnP : nouvelle fonction permet de découvrir les périphériques UPnP, au format JSON (par défaut) ou xml (avec l’argument « format »).
De plus, un bug de l’UPnP lorsque les actions étaient demandées en mode LAN ou via une macro a été corrigé.

Capteurs et actionneurs HTTP : les redirections HTTP sont désormais gérées, et un bug a été corrigé pour les capteurs (bug avec les valeurs « false » lors de la transformation JSON/XML)

Les courbes masquées dans le tableau de bord sont désormais sauvegardées.

L’onglet Diagnostic des caméras propose une meilleure détection des causes de problèmes de visualisation en direct.

Correction sur le RFXLAN : lorsqu’un périphérique batterie était créé, le niveau remonté pouvait être incorrect.

 

La nouvelle année commence bien pour l’eeDomus et pour ses utilisateurs qui auront désormais tout le loisir de planifier leur domotique dans le temps de façon très simple et intuitive !

Comment utiliser un relai 3G/4G pour connecter une Zibase en 3G

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Nous confions beaucoup de choses à nos box domotiques, il arrive que nous ayons besoin d’avoir une assurance, celle que la box ait en permanence la possibilité de se connecter, même en cas de problème de l’ADSL.

Quand c’est Internet lui-même qui ne fonctionne plus, quelle possibilité reste ? Utiliser la 3G, le réseau de données mobiles utilisé principalement par les smartphones. Et si la fonctionnalité n’existe pas dans les box elles-mêmes, il est possible d’ajouter un dispositif donnant à la box la possibilité d’utiliser la 3G à la place de la connexion ADSL classique. C’est ce que nous vous proposons aujourd’hui dans ce tutorial.

Nous allons envisager deux solutions, nous utiliserons l’exemple de la Zibase mais elles sont adaptables à d’autres box :

  • Tout d’abord, une méthode permettant d’utiliser la Zibase en connexion 3G permanente. La Zibase peut se prêter à l’exercice car elle consomme peu de données. Et il est tout à fait possible de relier la Zibase de manière « traditionnelle », directement en filaire, pour tout ce qui est mise en place et configuration, puis de brancher le modem. Attention, dans cette méthode, la Zibase ne bascule pas automatiquement d’une connexion à l’autre.
  • Ensuite, une méthode permettant d’offrir à la Zibase un double point d’accès : utiliser la connexion d’une box ADSL quand c’est possible, et basculer en 3G quand cette connexion fait défaut. Cette solution nécessitera un appareil supplémentaire et une configuration plus poussée.

Outre le filet de sécurité en cas d’anomalie de connexion ADSL, la méthode de la connexion 3G va vous permettre d’installer et contrôler une box dans un lieu qui n’a pas de connexion Internet permanente (résidence secondaire par exemple). En utilisant la 3G comme unique mode de connexion, il suffira d’une couverture 3G. C’est tout à fait possible car la Zibase consomme en moyenne 15 Mo de données par mois.

Pour des raisons de clarté, dans cet article, à chaque fois que nous emploirons la mot « routeur », nous évoquons le TP-Link MR3020. Une box ADSL est également considérée comme un routeur mais nous nous contenterons de la désigner par « box ADSL ».

Principe de fonctionnement

Connexion 3G permanente

Nous utiliserons un routeur TP-Link MR3020, qui dispose d’un port Ethernet, d’une connectivité Wi-Fi et d’un port USB pouvant accueillir une clé 3G ou 4G (en effet, si aujourd’hui c’est une clé 3G qui est concernée, rien n’empêchera demain d’utiliser la 4G avec la clé, ce routeur est compatible !). La Clé 3G que nous utiliserons est la MA180, de TP-Link également.

Schema fonctionnement routeur 3G pour box domotique

Listons les besoins :

La box domotique sera directement reliée au port Ethernet du routeur et utilisera la connexion 3G proposée par ce dernier. N.B. : dans ce mode de fonctionnement, le réseau Wi-Fi permet de se connecter sur le routeur, et non l’inverse (le routeur ne peut se connecter à Internet qu’en utilisant le réseau 3G)

Ça c’est pour une connexion 3G permanente. Si nous voulons proposer la 3G en complément d’une autre connexion (la 3G est donc la connexion de secours), l’installation sera la suivante :

Point d’accès Wi-Fi vers connexion filaire et connexion 3G

Schema Point d'accès double

La Zibase est connectée à un appareil (ici, le EW-7228APn d’Edimax) qui lui donne une connectivité Wi-Fi. Le routeur MR3020 sert de point d’accès Wi-Fi, et propose la connexion au réseau Internet soit par la box, soit par 3G.

Il faudra donc le même matériel que ci-dessus, et en plus :

1. Atteindre l’interface du routeur

Pour pouvoir nous assurer de pouvoir régler le routeur selon nos besoin, il faut d’abord pouvoir le joindre.

Dans un premier temps, nous pouvons nous contenter de juste brancher l’alimentation du routeur. Le câble Ethernet et la clé 3G pourront être branchés après. Attention, cependant : il vaut mieux que le routeur soit débranché lorsque vous branchez la clé 3G dessus. Nous vous conseillons d’essayer d’abord la connexion Wi-fi, puis d’éteindre le routeur en le débranchant, et là vous pouvez brancher la clé 3G.

 

Le plus simple – ce que nous vous recommandons – c’est de directement se connecter en Wi-Fi sur le modem. Nous pouvons donc utiliser un PC portable ou même un appareil mobile compatible Wi-Fi : téléphone portable, tablette… Le tout est de pouvoir choisir le point d’accès Wi-Fi et d’avoir un navigateur web.

Il est également possible de brancher un ordinateur directement sur le routeur pour le paramétrer en direct, mais pour cette méthode il y a une subtilité : nous n’aurons accès à l’interface que si le routeur est réglé en connexion « 3G uniquement ». Et puis le réglage par Wi-Fi vous permet de directement relier l’appareil

1. Activez le Wi-Fi si ce n’est fait, listez les différents réseaux accessibles, et sélectionnez TP-LINK_POCKET_3020_xxxxxx (3020 vous indique que c’est bien le routeur MR3020 et xxxxxx est un identifiant à 6 chiffres).

MR3020 Choix du réseau WiFi

2. Un mot de passe vous est demandé : recopiez le code KEY à 8 chiffres inscrit sur le côté du routeur. Attendez quelque minutes que l’appareil vous indique qu’il est bien connecté au Wi-Fi.

3. Ouvrez un navigateur et tapez l’adresse IP 192.168.0.254 (adresse par défaut du routeur).

4. Des identifiants vous sont demandés : par défaut, admin et admin pour le login et le mot de passe.

MR3020 Authentification sur la page

Et voilà ! Vous avez désormais accès à l’interface de gestion de votre routeur. Vous avec directement accès à ses informations principales : sa connexion en Wi-Fi (dans Wireless), en 3G (3G/4G)…

N.B. : dans le cas où vous vous connectez directement au routeur sur un réseau filaire, il est possible que l’IP par défaut soit déjà prise sur le réseau local et qu’elle ne soit pas l’adresse par défaut.
Si vous utilisez un ordinateur branché directement en Ethernet sur le routeur, l’adresse 192.168.0.254 fonctionnera, à condition que les réglages réseau de base de votre PC n’aient pas été modifiés (ce qui est parfois le cas si vous avez plusieurs réseaux domestiques).

2. Régler le mode de connexion sur le routeur

En préambule, nous pouvons régler l’horloge interne dans System Tools > Time Settings : choisir le bon fuseau horaire et indiquer le passage à l’heure d’été. Ça sera particulièrement utile si nous voulons utiliser l’outil de diagnostic par la suite (et donc savoir quand le routeur a basculé du mode Wi-Fi au mode 3G par exemple !).

Il est également très recommandé d’aller dans la section Network > Wireless et d’indiquer votre pays. Cela permet de mettre en place les réglages correspondant à votre pays (au cas où le routeur sert de point d’accès Wi-Fi), ce qui est important car les pays peuvent avoir des réglementations différentes  en matière de Wi-Fi

ConfigWiFi1

 

Tout ce que nous pourrons avoir besoin de modifier est dans la section « Network ».

Réglage de l’ordre de l’accès Internet / le comportement du routeur

La première rubrique de cette section, « Internet Access » permet très simplement de choisir la ou les connexions à utiliser pour accéder à Internet :

Config du point d'accès 3G ou WAN

  • 3G/4G Only : seule la connection 3G ou 4G sera utilisée (pas de connexion en Wi-Fi). C’est uniquement dans ce mode de fonctionnement que nous pouvons nous connecter sur le port Ethernet en réseau local (LAN)

Sur tous les autres modes, le routeur sert de point d’accès Wi-Fi (donc c’est pour donner un point d’accès à un appareil qui se connecte Wi-Fi). Le port Ethernet est à relier à un appareil qui partage lui-même la connexion Internet (une box ADSL par exemple), donc dans ces 3 autres modes, nous ne pouvons pas relier la Zibase ou un PC en filaire, ça ne fonctionnera pas. Dans ce cas, nous pouvons régler les modes suivants :

  • 3G/4G Preferred : le routeur utilisera la connexion 3G quand elle est disponible, et la connexion WAN (celle de la box ADSL…) dans les autres cas.
  • WAN Preferred : le routeur utilisera la connexion WAN (de la box ADSL) quand elle est disponible, et utilisera le 3G en cas de défaut.
  • WAN Only : la seule connexion utilisée par le routeur est la connexion WAN, la 3G n’est pas du tout utilisée. Ça n’est utile que si vous voulez vous servir du routeur comme relais Wi-Fi, ou créer un point d’accès Wi-Fi à partir d’une connexion Internet filaire. Dans la plupart des cas, en France, cela fera double emploi avec la box dont vous disposez déjà.

 

Si nous utilisons le routeur comme point d’accès 3G, la seule option possible est donc la première.

En principe, la configuration 3G se fait automatiquement. Vous pouvez aller la vérifier et, si besoin, effectuer la configuration dans la section 3G/4G de « Network »

La carte SIM donne en général une identification qui permet au routeur de reconnaître directement le pays et le fournisseur d’accès. Exemple de ce que nous obtenons, par exemple avec une carte B&You :

Configuration 3G

Il faut que la Zibase s’identifie auprès du routeur (plus techniquement, il faut que le routeur alloue une adresse IP à la Zibase). Pour cela, il vous suffit de redémarrer la Zibase. Les LED en façade défilent, la LED 5 reste allumée un peu plus longtemps pendant cette phase d’association. Si cette LED reste allumée c’est qu’il y a probablement un problème de configuration : vérifiez que dans la rubrique « DHCP », le DHCP est bien activé (enabled), et vérifiez également que vous êtes en mode 3G Only.

Selon vos besoins, vous pouvez passer la Zibase de son mode de connexion « classique » (câble Ethernet branché à la box ADSL) au mode de connexion « Routeur 3G », juste en permutant le câble Ethernet. Cependant, il vous faut redémarrer la Zibase à chaque fois après avoir effectué le changement pour qu’elle soit reconnu respectivement par la box ADSL ou par le routeur 3G.

Solution alternative en créant un point d’accès Wi-Fi

Récapitulons les caractéristiques de cette méthode alternative.

Schema Point d'accès double

Dans cette solution, le routeur est relié à Internet de deux façons : par le réseau 3G et par réseau filaire habituel (cable Ethernet sur la box ADSL). Il créée un point d’accès Wi-Fi auquel il est possible de se connecter.

Tout appareil connecté au routeur en Wi-Fi dispose donc des deux connexions, la connexion filaire par défaut, et la connexion 3G lorsque celle-ci ne fonctionne pas.

 

Il faut donc ajouter à la Zibase un appareil lui permettant de se connecter au point d’accès Wi-Fi. Nous proposons le EW-7228APn disponible sur notre boutique.

Au niveau des réglages, sur l’écran « Internet Access », vous pourrez cocher WAN Preferred pour obtenir l’effet escompté : d’abord WAN (donc d’abord Internet via connexion filaire) et ensuite, en secours, la 3G.

Configuration WAN - 3G - LAN

N.B. : Le message en rouge vous indique que vous ne pourrez plus directement utiliser le routeur pour partager la connexion Internet sur le port Ethernet et vous avise que le routeur redémarrera.

Il vous faut également régler le type de WiFi : d’abord indiquer le pays dans « Wireless Settings » (pour des raisons de réglementation et de compatibilité).

Dans Wireless Security, vous pourrez spécifier le type de protection et personnaliser le mot de passe :

ConfigWiFi2

Nous avons configuré notre point d’accès !

Il reste désormais à configurer le EW-7228AP pour qu’il se connecte à ce réseau. Pour cela, branchez le EW-7228AP sur un ordinateur via cable Ethernet afin de pouvoir le configurer.

Deux solutions sont possibles :

Par l’interface Windows :
Sélectionnez le mode « AP Client » (c’est à dire « client Point d’Accès »). Comme vous le voyez sur le schéma, cela correspond à ce que nous recherchons (la Zibase est à la position « Wired Device »)
Cliquez sur Scan pour faire apparaître la liste des points d’accès Wi-Fi disponibles.
Cliquez sur celui correspondant au routeur et rentrez le mot de passe spécifié à l’étape précédente.

Configuration EW-7228AP

Par l’interface réseau :

Ouvrez votre navigateur et chargez l’adresse http://192.168.2.1 (voir la documentation pour plus d’ifnormations)

Une fois identifié, cliquez sur Basic Settings
Sélectionnez le mode « AP Bridge-Point to Point« .
Cliquez sur « Select Site Survey » pour faire apparaître la liste des points d’accès Wi-Fi disponibles.
Cochez le point d’accès dont le SSID correspond à la carte et cliquez sur « Done ».
Là également, l’interface vous demandera de saisir le mot de passe spécifié.

 

Encore une fois, lorsque la Zibase sera reliée au EW-7228AP une fois celui-ci configuré, il faudra la redémarrer.

 

Et voilà, vous avez désormais, au choix, soit une Zibase utilisant le 3G comme mode de connexion principal, soit une Zibase prête à utiliser une connexion 3G en secours si la connexion classique ne fonctionne pas !

La Zibase vous propose encore plus avec le Z-Wave Plus

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Dans le monde des box domotiques, la Zibase se démarque déjà par le nombre de protocoles autres que le Z-Wave qu’elle propose nativement.

Zodianet, constructeur de la Zibase (français, rappellons-le !) a choisi de se démarquer aussi sur le Z-Wave en proposant dès maintenant la nouvelle version de la puce Z-Wave : le Z-Wave Plus.

C’est maintenant le lancement officiel des modèles de Zibase contenant cette nouvelle puce. Ainsi, les Zibase PRO et Zibase Lite vendues à partir d’aujourd’hui sont les modèles Zibase PRO+ et Zibase Lite+, elles correspondent aux versions précédentes mais avec la puce mise à jour.

Zibase Plus Logo compatibles

On peut les reconnaître au « + » indiqué sur l’étiquette et au fait qu’elles disposent désormais d’une antenne Z-Wave externe (ce qui fait au total, une antenne pour la Lite+ et deux antennes pour la PRO+, qui dispose en plus de l’antenne enOcean).

Qu’est-ce que le Z-Wave Plus ?

Le Z-Wave Plus est une toute nouvelle version de la puce Z-Wave (version 500 Series) avec des possibilités accrues. L’Alliance Z-Wave a décidé de différencier ce protocole du Z-Wave habituel par le nom « Z-Wave Plus » et le logo ci-contre, car cette version offre de nombreuses améliorations et fonctions :

Z-wave Plus

  • Portée du signal Z-Wave accrue de 50%
  • Consommation de la puce réduite de de 67%. L’utilisation du Z-Wave baisse donc en coût et augmente en autonomie
  • Mémoire disponible dans la puce augmentée de 400%. Les périphériques Z-Wave Plus pourront donc embarquer plus de fonctions et de paramètres
  • Vitesse de communication augmentée de 250%
  • Et l’indispensable : rétrocompatibilité complète avec les anciens produits Z-Wave

Grace à ce dernier point, les périphériques en Z-Wave Plus sont compatibles avec les installations existantes.

Concrètement, pour la Zibase PRO+ et la Zibase Lite+, cela signifie une compatibilité avec tous les appareils Z-Wave Plus à venir tout en conservant la compatibilité avec l’ensemble des périphériques Z-Wave existants.

Que proposent les Zibase Lite+ et PRO+ ?

  • Même compatibilité avec de nombreux protocoles radio 433 et 868 Mhz – dont enOcean pour la PRO+.
  • Compatibilité avec les périphériques Z-Wave classiques, avec une portée améliorée (grâce au Z-Wave+).
  • Toutes les nouveautés du Z-Wave Plus listées ci-dessus.
  • Inclusion et exclusion n’importe où dans le réseau sans avoir à déplacer la box.

  • Routage dynamique (la Zibase essaie d’abord le routage statique, correspondant au chemin qu’elle connaît, et si le module ne peut être contacté, elle utilise le routage dynamique, passant par un chemin déterminé automatiquement).

Un concentré de nouvelles fonctions, le tout sans hausse de prix !

Découvrez dès maintenant l’univers Zibase sur notre boutique

Félicitons Zodianet d’être un pionner pour le Z-Wave Plus, en attendant les nouveau modules correspondant à cette version Z-Wave qui devraient commencer à sortir au cours de 2014.

Domoticz : gérer sa domotique avec un Raspberry Pi

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Domoticz est un logiciel libre de gestion de domotique qui a pour but d’être exécutable sur un grand nombre de machines différentes… et ce qui fait son principal atout, c’est que le Raspberry Pi fait partie des machines sur lesquelles il peut tourner ! Ce qui permet donc d’en faire une machine dédiée aux opérations domotiques à prix très réduit. Domoticz existe depuis quelque temps déjà, mais nous ne vous l’avions pas encore présenté. Il est grand temps de remédier à cela…

Préambule

Les box domotiques conviennent généralement à la plupart des utilisateurs : elles permettent de mettre en place un système très rapidement. Les box domotiques sont prêtes à l’emploi quasiment dès leur déballage, il suffit de les brancher et de suivre les instructions pour commencer à faire son installation domotique.

Mais certains bidouilleurs plus chevronnés vont peut-être vouloir se diriger vers une solution personnalisable jusque dans les moindres recoins, une solution open-source où il sera possible à tout moment de modifier le cœur même du système. D’où l’existence de Domoticz, qui permet de mettre en place une installation sans pour autant repartir de zéro.

Les Prérequis pour Domoticz

De quoi a-t-on besoin ?

  • Un Rapsberry Pi modèle B
  • Éventuellement une alimentation dédiée pour ce Raspberry (si le but est d’être une box domotique, nous voudrons qu’il soit allumé en permanence et donc non tributaire de l’alimentation par un PC)
  • Une ou plusieurs extension(s) radio(s) pour le Rasbperry le rendant communiquant avec divers protocoles (voir ci-dessous)
  • Une distribution de Domoticz sur carte SD (une carte avec le système préinstallé est disponible en boutique)
Carte Domoticz Découvrez Domoticz préinstallé sur la boutique !

En ce qui concerne la communication avec les appareils domotiques, il y a plusieurs possibilités :

  • Pour le protocole Z-Wave, nous pouvons brancher un dongle Z-Wave, ou même directement un module RaZberry sur la micro-carte. Cette deuxième alternative a l’avantage de ne pas occuper de port USB.
    Vous pouvez consultez notre article sur la présentation et l’installation du module RaZberry pour en savoir plus.
  • Pour un grand nombre de protocoles radio en 433 Mhz, nous pouvons relier un RFXCom USB au Raspberry. Cela permettra à Domoticz de contrôler des modules Chacon, Oregon Scientific, etc.
  • Le protocole enOcean peut aussi être pris en charge avec un dongle enOcean.
  • Et outre les protocoles radio, Domoticz peut aussi communiquer avec une extension PiFace branchée à la Raspberry (relais, entrées et sorties digitales), plusieurs appareils fonctionnant en USB, etc. Vous pouvez ainsi créer très facilement un système d’alarme filaire avec ce système.

Les écrans de Domoticz

L’interface de Domoticz se présente comme suit : outre le tableau de bord (désormais appellé « Accueil » dans la version française), plutôt que d’avoir une seule section « périphériques » comme c’est le cas généralement, ceux-ci sont rangés dans plusieurs onglets. Nous avons ainsi :

  • Interrupteurs au sens très large, qu’il s’agisse de modules On/Off, de télécommandes,
  • Température, qui comprend également les sondes température/hygrométrie
  • Météo pour les anémomètres, capteurs de pluviométrie, de pression atmosphérique…
  • Mesures, principalement les mesures de consommation électrique.

Écran d'accueil Domoticz

Cet écran d’accueil est personnalisable : chaque module peut être simplement ajouté à l’écran d’accueil en cliquant sur l’étoile située en bas à droite (visible dans les rubriques et non sur l’écran d’accueil).

Domoticz : ajouter un module aux favoris

La rubrique « Matériel » du menu « Configuration » permet de régler les modules capables de communiquer vers l’extérieur.

Domoticz: péripheriques

La rubrique « Périphériques« , quant à elle, vous permet de consulter une liste de tous les périphériques qui ont été ajoutés dans Domoticz et de voir de quelle manière le Raspberry établit la communication avec eux.

L’ajout et la gestion de périphériques

Une fois le matériel de communication installé sur la Raspberry, il est très simple d’ajouter des périphériques. Deux choix s’offrent à vous : Manuel et Automatique.

L’utilisation Automatique conviendra dans beaucoup des cas : il suffit de cliquer sur le bouton dans Domoticz, puis d’appuyer sur le bouton d’une télécommande (ou le bouton d’association d’une prise, ou le bouton de test d’un détecteur ou d’une sonde, etc.), et Domoticz devrait reconnaître directement l’appareil et vous demander de lui attribuer un nom et une fonction.

Domoticz: type d'interrupteur

Domoticz : Ajouter un périphérique

Pour l’ajout Manuel, il vous faudra connaître l’adressage radio complet du périphérique. C’est une possibilité à prendre en compte, notamment si vous pouvez facilement accéder à cette information et si vous avez beaucoup de périphériques qui envoient régulièrement des trames radio et risquent donc de compliquer la réception.

Ensuite, vous pouvez configurer plus en détail un périphérique en cliquant sur éditer. Par exemple, ci-contre, les différentes icones possibles pour un actionneur on/off.

Il est même possible de déclarer des périphériques comme étant des sous-périphériques ou périphériques esclaves (Sub/Slave).

Les périphériques peuvent être attribués à différents emplacements pour faciliter la gestion (via un menu de configuration dédié). Les caméras IP sont également prises en charge par Domoticz.

L’automatisation : scènes, notifications et scénarios

L’onglet Groupes/Scènes

Il est possible de créer des groupes et des scènes dans l’onglet prévu à cet effet. L’onglet Groupe/Scènes permet d’associer plusieurs périphériques et de coordonner leur lancements.

On peut ainsi ouvrir plusieurs volets d’un seul clic, ou mettre un ensemble de périphériques dans une configuration particulière, également en un clic.

Actions on et off 

Il est également possible d’appeller une URL ou un script lors du passage d’un périphérique à l’état On ou Off.

Les scripts acceptés par défaut par Domoticz sont au format LUA, mais en lançant un script par URL, il est possible d’héberger vos scripts sur un réseau local et donc de créer vos scripts dans votre langage de prédilection à partir du moment où il peut être déclenché par une requête http. Voir l’exemple ci-dessous avec monscript.php :

Domoticz : Scripts on/off

Notifications

Chaque périphérique dispose d’un onglet « Notifications » vous permettant de recevoir directement une notification sur un appareil mobile.

Il utilise des services externes : Prowl pour iPhone/iPad et NMA pour Android. L’inscription à ces services est nécessaire pour recevoir des messages.

Les cas où une notification peut être utile sont variés :

  • quelqu’un sonne à la porte.
  • un détecteur de fumée, présence, etc. se déclenche.
  • la température dépasse un certain seuil (par le haut ou par le bas).

L’éditeur d’évènements

Il est également possible de créer une automatisation poussée sans pour autant écrire un script en LUA, par le biais de l’éditeur d’évènements (ce que nous pouvons appeller scénario). Il est sous forme de blocs de Puzzle, semblables à l’éditeur de scénario de la Zipabox. Nous disposons de plusieurs blocs : des comparateurs, des états logiques, le contrôle sur les périphériques et les scènes…

La fonction est cachée dans le menu « Configurations » > « Plus d’options » > « Events ».

À titre d’exemple, voici un scénario de thermostat avec 4 blocs : si la température du bureau est inférieure à 21°, la scène « chauffage du bureau » est déclenchée.

Domoticz - gestionnaire d'évènements

 

Domoticz : des fonctionnalités convainquantes

En conclusion, nous pouvons dire que l’équipe de Domoticz a mis en place un système très solide et qui répondra à de nombreux besoins. Sans être aussi simple que les box classiques de prime abord, Domoticz permet déjà de faire énormément de choses et de manière très simple. Si vous voulez tester la domotique, peut-être en attendant d’investir dans une box plus tard ou si vous êtes à la recherche d’un prix encore plus bas que les box domotique les moins chères, Domoticz peut être parfaitement adapté.

En revanche, nous le conseillerons plutôt à ceux qui ne craignent pas de tomber sur des parties de l’application qui ne sont pas encore traduites, et surtout ceux qui ne craignent pas d’avoir du bidouillage et de la mise en place à faire pour obtenir un résultat final satisfaisant.

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