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ImperiHome version 1.8 : serrures Z-Wave et améliorations de l’interface

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Et voici une nouvelle mise à jour de l’application mobile ImperiHome qui permet de contrôler votre installation domotique de manière intuitive !

Comme d’habitude, cette version est gratuite et disponible sur Google Play.

Disponible sur Google play

Cette version apporte le support pour les serrures Z-Wave, mais le gros des changements a été fait sur l’interface utilisateur. Voyez plutôt un petit topo des changements de cette version.

Support des serrures Z-Wave

L’application supporte désormais les serrures Z-Wave pour la eedomus et la Vera Lite, ce qui permet de verouiller et déverouiller les portes équipées de ces modules directement via ImperiHome.

Amélioration du mode paysage

ImperiHome améliore le mode paysage (tablette ou téléphone tenu à l’horizontale) : L’icone de groupe par défaut a été changée, et en laissant votre doigt appuyé sur un groupe, vous accédez à un nouveau menu qui vous permet de choisir une image, soit parmi des images prédéfinies, soit dans les images présentes sur votre périphérique, ou même utiliser l’image d’une de vos caméras !

Les Favoris

Un nouveau groupe fait son apparition : les favoris (plus précisément, c’est un groupe virtuel). Vous pouvez mettre n’importe quel appareil en favori en cochant une case dans sa configuration, et il apparaîtra dans ce groupe.

Les créateurs d’ImperiHome indique qu’ils travaillent sur l’amélioration des groupes en général, pour leur offrir une gestion plus complète (ajout, suppression et changement de contenu).

ImperiHome 1.8 Choix de l'icone

Choix de l’icone dans ImperiHome 1.8 (image par ImperiHome)

Deux raccourcis sinon rien

Les raccourcis ImperiHome – des icones que l’ont rajoute sur l’écran d’accueil de l’appareil mobile – était jusqu’à présent destinés uniquement à lancer un scénario.

Dorrénavant, vous disposez de deux nouveaux types de raccourcis supplémentaires : l’un pour la reconnaissance vocale et l’autre pour regarder une caméra.

ImperiHome1.8 raccourcis

Et plein d’autres nouveautés

Sur Vera, le support des anémomètres et possibilité d’armer ou désarmer les capteurs de sécurité. Sur ZiBase, un correctif pour la gestion des graphes. Et plein d’autres petites corrections.

Et enfin, ImperiHome conclut en précisant qu’un nouveau système domotique serait très prochainement supporté… Un système dont le nom commence par un Z. Ça donne une petite idée, voire une très grande idée du système dont il s’agit !


Paramétrage et association Z-Wave avec votre box domotique

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Z-Wave et box domotiquesNous allons dans cet article présenter une utilisation du Z-Wave qui sera probablement évidente pour certains, mais qui pourra être instructive pour ceux qui débutent dans la domotique, ou ceux qui ne connaissent pas encore bien en détail ce qu’il est possible de faire avec les périphériques Z-Wave : il s’agit du paramétrage radio et de l’association.

Le paramétrage radio consiste à envoyer sur un appareil Z-wave une information qu’il stockera dans sa mémoire interne : il peut s’agir d’un réglage, d’un comportement, de l’activation ou désactivation d’une fonction…

L’association permet de faire travailler ensemble plusieurs périphériques Z-Wave. En étant groupés, un premier appareil Z-Wave peut envoyer des instructions à un ou plusieurs autres appareils Z-Wave sans faire appel aux scénarios d’une box domotique (ce qui optimise le temps de réaction entre ces appareils et déleste la box de ces opérations simples, ce qui évite d’avoir à créer un scénario et de l’exécuter très souvent).

Par exemple, sur un détecteur de mouvements aura un « groupe 1″, et en cas de détection positive, tous les appareils du groupe 1 seront déclenchés (une alarme par exemple).

Ces opérations peuvent être faites avec des contrôleurs Z-wave de toutes sortes, mais pour cet article nous allons passer en revue les méthodes pour faire du paramétrage radio et de l’association avec cinq différentes box :

Le paramétrage Radio

La plupart des périphériques Z-Wave possèdent donc un certain nombre de Paramètres. Par exemple, sur une sonde, on pourra paramétrer la fréquence d’information envoyées à la box, ou quel changement de température donnera lieu à un rapport, l’unité de mesure… Pour des détecteurs de mouvement, fumée, etc., on pourra choisir quel type de rapport envoyer sur le réseau, la sensibilité de la détection… et pour tout ce qui est actionneur, on trouvera des paramètres pour le type d’interrupteur relié (le cas échéant), le comportement à avoir en cas de signal d’alarme, etc.

Le site Pepper1.net, un organisme de certification Z-Wave, possède une base de données de périphériques Z-Wave avec leurs différents paramètres et associations possible (quand il y en a).

Au préalable, vous devrez inclure votre appareil dans le réseau de votre box si ce n’est fait. Ensuite, pour le paramétrage en lui-même, la marche à suivre est différente selon votre box.

Prenons comme exemple un module Switch de Fibaro : le Paramètre 16 permet de choisir si la charge reliée conserve son état après une coupure de courant. Par défaut, le paramètre est à 1 (« conserver l’état après une coupure de courant »), nous allons d’abord vérifier la valeur de ce paramètre, puis le régler sur 0 (« rester sur OFF après une coupure de courant »)

1) Interroger un paramètre Z-Wave

Avant de modifier notre paramètre, nous allons d’abord nous assurer qu’il existe bien pour notre module, et que sa valeur est bien fixée à 1 comme elle doit l’être par défaut.

  • eeDomus
  • ZiBASE
  • Zipato Box
  • Vera Lite
  • Home Center 2
Il faut aller dans la configuration du périphérique. C’est l’écran que vous avez directement après l’inclusion. Sinon, vous pouvez y retourner de diverses façons : en cliquant sur « Configuration » en haut à droite, puis sur le périphérique et enfin sur « Configurer », ou dans n’importe quelle vue où apparaît votre périphérique, en cliquant sur la flèche vers le bas puis « Configuration du périphérique ».

eeDomus : accès à la configuration d'un périphérique

Cliquez ensuite sur l’onglet Paramétrage radio.

La commande qui nous intéresse dans la classe « COMMAND_CLASS_CONFIGURATION », et la commande « CONFIGURATION_GET ». Là, sélectionnez le paramètre 16 et cliquez sur « Envoyer ».

eeDomus : obtenir un paramètre Z-wave

Le résultat apparaît quelques secondes plus tard : la valeur du paramètre 16 (on peut la lire à « Value ») est bien fixée à 1, comme prévu !

eeDomus : obtenir un paramètre Z-wave (résultat)

Vous devrez passer par le créateur de scénarios. Créez un nouveau scénario et n’indiquez rien dans les stimuli et critères.

Cliquez sur le bouton ACTION et sélectionnez Fonctions Zwave > Demander la valeur d’un paramètre.

Sélectionnez votre périphérique et, pour l’exemple, le paramètre 16.

ZiBase : obtenir un paramètre Z-wave

Enregistrez votre scénario, attendez que la ZiBase se soit réactualisée avec le nouveau scénario (« System updated ! » apparaît dans la zone de suivi en haut), et appuyez sur « Tester le scénario ». Vous devriez voir la valeur du paramètre passer dans la partie haute de l’écran, et vous pouvez également le retrouver dans le suivi d’activité :

ZiBase : obtenir un paramètre Z-wave (résultat)

On lit [data = 1], ce qui signifie que le paramètre 16 est bien fixé à  1 !

 

Après avoir inclus votre module, cliquez sur « Modules Totaux » sur la page d’accueil de la box.

Là, sélectionnez le module (au niveau du dossier, pas au niveau de ses sous-rubriques), et vous devrez avoir un onglet « Configuration« . En cliquant dessus vous verrez une série de paramètres en anglais et leur valeur.

 Zipabox : obtenir un paramètre Z-wave (résultat)

Le paramètre qui nous intéresse ici est le paramètre « enregistrer l’état après une coupure de courant », soit « Saving State After Pwr Failure » en anglais. Là on voit qu’il est bien activé (enable).

Après avoir ajouté votre module Z-Wave, cliquez sur la clef anglaise en haut à droite de son icone pour accéder à son paramétrage.

Cliquez sur « Device options« , et dirigez-vous sur la section « Configuration settings« . Là, indiquez la variable qu’on veut interroger (16 en l’occurence) et indiquez dans le menu déroulant bleu « monitor only » (ça signifie qu’il se contente de surveiller la variable).

Vera Lite : obtenir un paramètre Z-wave

Pour que la Vera Lite demande la valeur du paramètre au module et l’affiche dans cette section. Fermez la fenêtre de configuration et cliquez sur le bouton rouge « SAVE » en haut à droite. Vous devriez voir un texte sur fond bleu sous l’icone du module, « Setting user configuration ».

Si la valeur n’apparaît pas, forcez la synchronisation du module en allant dans son onglet « Settings » et en cliquant sur « Poll now« .

 

Au bout de quelques minutes, la valeur du paramètre apparaît dans « Device Options » sous [Current Value]. En l’occurence, tout se passe comme prévu puisque la valeur du Paramètre est bien celle par défaut, « 1″.

Vera Lite : obtenir un paramètre Z-wave (résultat)

Notez que dans cet affichage, on peut voir une liste de plusieurs paramètres Z-Wave pour avoir un rappel de leur valeur à tout moment.

Pour vérifier les paramètres sur la Home Center 2, cliquez sur votre module puis sur l’onglet Avancé.

Là, sur beaucoup de modules Z-Wave (notamment tous ceux de Fibaro), vous aurez directement une liste de paramètres sélectionnables et avec une description indiquant chacun leur usage. D’un coup d’œil, vous pouvez non seulement savoir quel paramètre est réglé, mais aussi en changer d’un simple clic et savoir quelle est la valeur par défaut.

HomeCenter 2 : paramétrage simple

En ce qui concerne les modules Z-wave dont la HC2 ne reconnaît pas automatiquement les paramètres, il n’est malheureusement pas possible d’interroger leurs valeurs. Il reste cependant possible de modifier ces paramètres plutôt simplement (voir ci-dessous), et de consulter leur valeur après modification.

2) Modifier un paramètre Z-Wave

Maintenant que nous savons interroger notre paramètre, nous allons voir comment modifier sa valeur !

  • eeDomus
  • ZiBASE
  • Zipato Box
  • Vera Lite
  • Home Center 2

Accédez à l’onglet « Paramétrage Radio » comme expliqué ci-dessus.

Sélectionnez la classe COMMAND_CLASS_CONFIGURATION et la commande CONFIGURATION_SET.

Choisissez le paramètre 16, de taille 1, et assignez-lui la valeur 0. Attention, la eeDomus ne propose pas une liste de valeurs possibles, pour savoir quelles valeurs sont correctes il faut se référer à une documentation (sinon votre appareil pourrait ne pas fonctionner comme prévue !)

N.B. : en l’occurence, la taille reste définie sur 1, mais dans certains cas il y a des paramètres qui peuvent prendre plusieurs valeurs à la fois.

eeDomus : changer la configuration d'un périphérique

Si tout se passe bien, vous devriez voir une ligne apparaître dans l’historique des paramètres envoyés. Quand vous voyez s’afficher « TRANSMIT_COMPLETE_OK », le paramètre est envoyé !

N’hésitez pas à utiliser les « Notes utilisateur » à bon escient pour vous souvenir de ce que vous avez paramétré.

eeDomus : changer la configuration d'un périphérique - résultat

Vous devrez ici aussi passer par le créateur de scénarios. Créez un nouveau scénario (ou reprenez celui pour l’interrogation fait à l’étape précédente) et n’indiquez rien dans les stimuli et critères.

Cliquez sur le bouton ACTION et sélectionnez Fonctions Zwave > Spécifier la valeur d’un paramètre.

Choisissez le paramètre 16 et assignez-lui la valeur 1.

N.B. : en l’occurence, la taille reste définie sur 1, mais dans certains cas il y a des paramètres qui peuvent prendre plusieurs valeurs à la fois.

ZiBase : changer la configuration d'un périphérique

Sauvegardez le scénario, puis lorsque la box vous indique que le scénario est sauvegardé («System Updated! »), cliquez sur Tester le scénario pour lancer l’action, et attendez que l’instruction soit envoyée sur votre box. Il faut impérativement avoir sauvegardé au préalable pour que le bouton « Tester » fonctionne (et après chaque modification).

Astuce : n’hésitez pas à ajouter une 2e action à votre scénario pour être averti du moment où l’instruction est reçue par la ZiBASE : commander une des 5 LED en façade, envoyer un message par email…

Comme pour la consultation de l’état actuel du paramètre, il faut aller dans « Modules totaux« , cliquer sur le dossier correspondant au module et cliquer sur l’onglet Configuration. Il suffit ensuite de repérer le paramètre qui nous intéresse et de changer sa valeur, puis de cliquer sur « Sauvegarder » en bas à droite.

Zipabox : changer la configuration d'un périphérique

Dans le cas où le paramètre n’apparaîtrait pas dans la liste, ou si la Zipato ne trouve pas de paramètres à vous présenter, il est possible de modifier les paramètres manuellement.

En bas de la liste, dans « Custom configuration« , vous pouvez indiquer une description de votre choix, puis le n° du paramètre à régler, et enfin la valeur. Cliquez ensuite sur « sauvegarder ». Si vous donnez un numéro de Paramètre qui est déjà dans la liste, ça vous sera signalé en soulignant la case « Param » en rouge, et la sauvegarde sera impossible.

Zipabox : changer la configuration d'un périphérique manuellement

De la même manière que pour l’interrogation des paramètres, cliquez sur « Device Options« .

Cette fois, en plus de spécifier le numéro du paramètre, il faut remplacer « Monitor now » par la taille de la variable attendue (colonne « Data Size »). Vera Lite envoie ses variables en hexadécimal, veillez à bien faire la conversion (par exemple 10 en décimal correspond à F en hexadécimal, 31 s’écrit 1F, etc.).

Ici, on souhaite indiquer 0, une variable de 1 bit (qui est toujours 0 en hexadécimal) :

Vera Lite : changer la configuration d'un périphérique

Là encore, pour que la modification soit pris en compte, fermez la fenêtre de paramètrage et cliquez sur le bouton Save rouge. Si au bout de la sauvegarde, le paramètre n’a pas changé, vous pouvez lancer le paramétrage de force en cliquant sur l’onglet « Settings » et sur le bouton « Configure node right now ».

Normalement, en retournant sur Device Options, vous devriez avoir votre nouvelle valeur à la fois dans « Desired Value » et dans « Current Value ». Vous pouvez remettre « monitor only » sur le menu déroulant bleu pour faire de cette ligne un aide-mémoire de la variable que vous avez déjà modifié.

Vera Lite : changer la configuration d'un périphérique - résultat

Pour modifier d’autres paramètres, vous utiliserez alors le bouton « add configuration settings ».

Pour la plupart des modules, il suffit d’aller dans l’onglet Avancé et de cliquez sur l’élément de configuration que vous souhaitez activer.

HomeCenter 2 : modification simple de paramétrage

Si votre module n’est pas reconnu automatiquement par la Home Center 2, pas d’inquiétude : une configuration manuelle est toujours possible.

C’est également dans l’onglet Avancé, section « Configuration » : là, au lieu d’avoir la liste des Paramètres et de leurs options, vous avez un bouton « Ajouter un Paramètre ». Après avoir cliqué dessus, il vous suffit de préciser le numéro du paramètre (appellé « nombre ») et la valeur souhaitée. Il suffit après de cliquer sur l’icone sauvegardée (la disquette bleue à droite), et la page devrait se recharger.

En allant consulter à nouveau cette section, vous verrez la nouvelle valeur du paramètre apparaître dans le cadre bleu.

Home Center 2 : changer la configuration d'un périphérique

Attention : cliquer sur la croix « Ecraser » efface le paramètre de la liste mais ne réinitialise pas le paramètre correspondant.

Si vous ne mettez rien dans « Valeur souhaitée », la HC2 considèrera que la valeur souhaitée est 0.

L’association

L’association peut se faire directement entre deux appareils, ou via un contrôleur (télécommande, box domotique ou autre). Aujourd’hui on ne traitera que l’association via une box domotique, donc les manipulations suivantes sont à faire après avoir au préalable inclus les deux appareils dans le réseau Z-wave de votre box.

Pour une association, il faut sélectionner un premier appareil,  un second appareil, qui sera la cible d’une instruction, et enfin le groupe (identifié par un numéro), qui sert à déterminer dans quel contexte l’appareil-cible sera contacté.

Un groupe peut contenir une ou plusieurs appareils-cibles. Leur nombre est généralement limité, et il faut éviter d’associer beaucoup d’appareils-cible à un seul autre appareil, car celui-ci devra envoyer les signaux radios l’un après l’autre, ce qui peut ralentir l’opération globale…

Les groupes sont différents pour chaque appareil, il y a généralement un des groupes qui n’accepte qu’un seul appareil-cible : le contrôleur auquel le module envoie son retour d’état. Pour connaître les groupes et leur fonctions, reportez-vous à la documentation de votre appareil.

Exemples de groupes d'association

Exemple de groupes d’association pour un double interrupteur (indiqués par Pepper1.net).
Chaque groupe de 1 à 3 fait réagir les appareils liés selon la touche pressée
et même selon un double-clic sur la touche de droite.
Le groupe 4 est utilisé pour le retour d’état.

Pour ces exemples, nous allons reprendre le même module que pour le paramétrage. Il possède 3 groupes, parmi lesquels le groupe 1, qui réplique la commande ON/OFF de l’interrupteur, c’est à dire que tous les appareils associés dans le groupe 1 s’éteindront ou s’allumeront en fonction de la commande de l’interrupteur (dans ce cas, on peut même changer l’effet de l’association avec un paramètre Z-Wave, par exemple suivre la commande « allumer » mais ne pas suivre la commande éteindre).

Nous avons donc ajouté à notre box domotique le Switch Fibaro (notre 1er appareil), une prise gigogne Z-Wave que nous appellerons « appareil-cible », et nous allons maintenant associer cette dernière au 1er groupe du Switch Fibaro !.

  • eeDomus
  • ZiBASE
  • Zipato Box
  • Vera Lite
  • Home Center 2
Allez dans la configuration du périphérique (de la même façon qu’expliqué ci-dessus) et cliquez sur l’onglet « Paramétrage Radio« .

Choisissez la classe de commande COMMAND_CLASS_ASSOCIATION et la commande ASSOCIATION_SET.

Sélectionnez le groupe 2 et choisissez le nœud qui correspond au périphérique à utiliser. Sur l’eeDomus, chaque nœud indique le nom de l’appareil qui lui correspond.

Si vous avez beaucoup d’appareils reliés à votre box, la liste des nœuds sera d’autant plus grande. Vous pouvez repérer le numéro du nœud dans la page de configuration de l’appareil cible pour le retrouver plus facilement.

N’hésitez pas à indiquer dans les notes à quoi correspond le paramétrage radio : la box conserve un historique des paramétrage réalisés et vous vous y retrouverez plus facilement en indiquant le but de l’association.

Association Radio avec la eeDomus

Après que l’information soit transmise, quelques minutes après, vous devriez voir le résultat [TRANSMIT_COMPLETE_OK]. Faites le test : appuyez sur l’interrupteur relié au Module Switch Fibaro : le deuxième appareil réplique ses instructions !

Association Radio avec la eeDomus - OK

Pour supprimer l’association, procédez de la même manière, mais avec l’instruction ASSOCIATION_REMOVE.

De la même manière que pour le paramétrage radio, vous devrez passer par le créateur de scénario du mode avancé.

Sélectionnez ACTION > Fonctions Zwave > Associer directement deux périphériques Zwave (dernier élément du menu « Fonctions Zwave »).

Configurer le ZiBASE par association radio

Indiquez votre module Switch Fibaro comme périphérique Zwave, sélectionnez le mode « Association », le groupe 1, et l’appareil-cible.

Enregistrez votre scénario, attendez que la ZiBase se soit réactualisée avec le nouveau scénario (« System updated ! » apparaît dans la zone de suivi en haut), et appuyez sur « Tester le scénario ».

Lorsque « Completed Scénario » s’affiche, l’association est effectuée.

Pour supprimer l’association, la marche à suivre est la même, mais en cochant « Dissociation » au lieu d’association.

Pour la Zipa box, une particularité : seul le groupe d’association 1 est disponible.

Pour y accéder, cliquez sur « Modules Totaux » puis sélectionnez le premier module. En l’occurence, on choisit le « main » (principal) de notre Module Switch Fibaro, On/Off Switch Main. Si vous avez plusieurs sous-rubrique à votre module, cliquez sur chacune d’entre elle jusqu’à ce que vous voyiez apparaître un onglet « Associations ».

Dans Associations, vous ne pouvez spécifier de numéro de groupe, vous pouvez simplement sélectionner les appareils à associer dans le groupe 1 de notre module, en cochant leur nom. Donc là, nous cochons l’Appareil-Cible.

Association Radio avec la Zipabox

Après avoir cliqué sur « Sauvegarder » et après avoir Synchronisé la Zipabox si elle le demande, l’association est faite !

Pour supprimer cette association, il suffit d’aller au même endroit, de décocher l’appareil et de sauvegarder.

Cliquez sur la clef anglaise en haut à droite de l’icone de votre module pour accéder à son paramétrage.

Cliquez sur « Device options« . La suite se passe, logiquement, dans la section associations.

Saisissez le numéro du groupe (en l’occurence, 1) et cliquez sur « Add Group ». Il apparaît alors une série de boutons avec le titre « Group ID : 1″.

Association Radio avec la Vera Lite : ajouter un groupe

Cliquez sur Set pour pouvoir ajouter notre appareil-cible au groupe 1.

Dans la liste qui s’affiche, il ne vous reste plus qu’à le cocher. Dans cet écran, vous pouvez observer des champs texte qui permettent de faire de l’association multi-voies, qui permet de déclencher l’appareil d’une façon particulière. Seuls certains groupes d’association supportent ce type d’association.

Association Radio avec la Vera Lite : choisir l'appareil-cible

En ce qui concerne notre exemple, nous cochons juste « appareil-cible ». Il faut ensuite sauver et attendre que la box de synchronise. Une fois l’association effectuée, ça y est : le module Fibaro permet de déclencher l’appareil-cible en on-off !

Pour supprimer un groupe, il suffit de retourner sur la section « Set » et de décocher l’appareil-cible. Après sauvegarde et mise à jour de la box, l’association sera supprimée.

Comme pour le paramétrage, sélectionnez votre module et cliquez sur « Avancé ». Juste avant la section « Configuration », vous avec une section « Associations » qui comporte différents groupes d’association.

Chaque groupe est présenté sous forme d’une boite, avec deux lignes : Configuration et Voir.

Configuration, c’est la liste de valeurs que vous pouvez modifier, et Voir c’est ce qui est enregistré au niveau du module (un clic sur chacun des boutons permet de savoir à quoi la liste de chiffres correspond (liste des modules liés)).
Nous allons doc cliquer sur Configuration et sélectionner notre appareil-cible, puis cliquer sur Ajouter.

Association Radio avec la Home Center 2

Après, il ne reste plus qu’à cliquer sur la disquette bleue à droite, attendre la réactualisation, et… ça y est ! Le module Switch commande désormais notre appareil-cible.

Pour supprimer l’association, il suffit d’aller au même endroit et de décocher l’appareil en question.

Cela clôture donc notre article sur le Paramétrage Radio et l’Association. Le paramétrage vous permet d’utiliser vos appareils de façon insoupçonnée, de rendre vos déclenchements d’alarmes plus logiques et vos appareils Z-Wave plus efficaces en les personnalisant à vos besoins.

L’Association, quant à elle, permet à votre réseau Z-Wave de gagner en fluidité et en efficacité. En effet, quand c’est possible, il est toujours mieux que deux appareils communiquent directement ensemble plutôt que d’envoyer un signal à la box et de le renvoyer dans le réseau Z-Wave – d’autant plus si ces appareils sont tous deux un peu éloignés de la box.

Après, bien sûr, cette solution est limitée à une seule technologie, et également limitée par les groupes d’association dont disposent chaque module. Mais pour tous les autres besoins spécifiques, les éditeurs de scénario sont là !

Fibaro Wallplug & frigo et/ou congélateur

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Suivre le fonctionnement de son frigo et/ou de son congélateur via une prise Z-Wave mesurant l’énergie est très pratique aujourd’hui.

En plus de nous permettre de suivre au quotidien la consommation de notre équipement, nous pouvons être avertis, grâce à notre système de domotique, lors de dysfonctionnements (panne de courant, consommation électrique anormalement élevée…). Mais malgré la redondance du maillage du réseau Z-Wave, une perte de communication avec la prise n’est pas exclue. On ne connait plus alors l’état dans lequel se trouve notre équipement. De même, nous ne sommes pas à l’abri d’une trame parasite (sans compter à un appui malheureux sur son bouton lorsqu’elle est en équipée) pouvant provoquer l’arrêt de l’alimentation de l’appareil connecté.

Aussi, pour faire face à ces risques d’arrêt (in)volontaire et de perte de denrées alimentaires (expérience vécue très récemment), il existe 3 paramètres avancés sur le Fibaro Wallplug qui permettent de s’en prémunir.

Paramètre 1 « Always on function » :

Ce paramètre, une fois activé, va maintenir l’alimentation de l’appareil connecté au Wallplug en permanence, même lors d’une commande Z-Wave d’arrêt ou d’un appui sur le bouton de la prise. Le Wallplug devient alors un simple ampèremètre. Une sécurité toutefois est présente : en cas de surcharge de la prise elle est automatiquement arrêtée. Le seuil de déclenchement de la surcharge se règle via le paramètre 70.

Fonction active : 0
Fonction désactivée : 1 (valeur par défaut)

Paramètre 70 « Overload safety switch » :

Ce paramètre indique le seuil au dessus duquel la prise va s’arrêter lors du fonctionnement en « always on function« . Pour réactiver la prise il faudra appuyer sur le bouton ou envoyer une commande Z-Wave de mise en marche.

Valeurs possibles : 10 – 65535 (1W – 6553.5W)
Valeur par défaut : 65535 (6553.5W)

Paramètre 16 « Remember device status after power failure » :

Ce paramètre indique comment va réagir le Wallplug après le retour de courant suite à une coupure secteur.

Le Wallplug ne se rallume pas après une coupure secteur : 0
Le Wallplug retrouve son état précédent (ON ou OFF) avant la coupure : 1 (valeur par défaut)

Pour notre frigo ou congélateur, nous souhaitons qu’il ne soit jamais arrêté et qu’il soit de nouveau alimenté après une coupure secteur. La configuration des paramètres précédents sera alors :

Paramètre 1 = 0
Paramètre 16 = 1
Notre appareil électrique ne consommant pas plus de 6.5kW (si c’est le cas faut vous en inquiéter), régler le paramètre 70 à cette valeur n’aura aucune incidence sur le fonctionnement et la prise ne sera jamais arrêtée.
Paramètre 70 = 65535

Voyons comment cela se configure sur notre eedomus. Rendons-nous tout d’abord dans l’onglet « Paramétrage radio » du périphérique concerné.

Dans la liste déroulante de la classe de commande, sélectionnons « COMMAND_CLASS_CONFIGURATION« , puis en nom de commande « CONFIGURATION_SET« .

Remplissons ensuite les champs N° du paramètre, Taille, Valeur 1 pour chacun des 3 paramètres à configurer et appuyons sur le bouton Envoyer après chaque paramètre :

  • Paramètre 1 :
    • N° du paramètre : 1
    • Taille : 1
    • Valeur 1 : 0
  • Paramètre 16 :
    • N° du paramètre : 16
    • Taille : 1
    • Valeur 1 : 1
  • Paramètre 70 :
    • N° du paramètre : 70
    • Taille : 2
    • Valeur 1 : 65535

Nos paramètres seront effectifs sur la prise dès lors que nous obtenons dans la colonne « Résultat » de l’historique le message « TRANSMIT_COMPLETE_OK » pour chacun d’eux. N’hésitez pas à appuyer sur le bouton « Rafraichir« .

Vous pouvez alors essayer d’éteindre votre équipement branché sur la prise via l’interface de l’eedomus ou même par le bouton physique, cela n’aura aucun impact, votre équipement restera en permanence alimenté.

Stocker les photos de sa caméra IP sur Dropbox et FTP

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Que vous ayez mis en place une Webcam publique, une station de surveillance de vols de condors au-dessus de votre village, ou tout simplement un système de surveillance, vous avez peut-être déjà eu envie de pouvoir stocker quelque part les photos prises par votre caméra IP, par simple déclenchement ?

Voici comment faire, en profitant du très pratique service Dropbox, ce service qui vous permet d’échanger des fichiers de n’importe quel PC ou appareil mobile, directement via l’appli dédiée ou par le web !

Pour mettre ceci en place, il vous faudra :

  • Une caméra IP (et ses identifiants)
  • Un compte dropbox (gratuit ou pas)
  • Un serveur php (vous pouvez l’installer sur une RaspberryPi, ou utiliser un hébergement)
  • Éventuellement une box domotique pour lancer la prise de photo à distance

Je vous conseille de lire l’article en entier avant de choisir votre méthode, car sur la fin nous indiquons la méthode la plus simple, et c’est peut-être celle qui vous conviendra le mieux !

Le numéro d’API Dropbox

Identifiez-vous à votre compte Dropbox et créez une Application en allant sur la page https://www.dropbox.com/developers/apps

Acceptez les conditions d’utilisation et cliquez sur Create App :

Sauvegarde Camera IP sur Dropbox - créer application

Ensuite, configurez l’application comme suit :


Sauvegarde Camera IP sur Dropbox - configuration

  • What type of app do you want to create? : Dropbox API app
  • What type of data does your app need to store on Dropbox? : Files and Datastores
  • Can your app be limited to its own, private folder? : No
  • What type of files does your app need access to? : All File Types
  • Provide an app name, and you’re on your way. : Camera_Save

Validez, et gardez la page de l’application sous la main.

Le script

Récupérez le script « Camera Dropbox » sur le Github de Planète Domotique (script réalisé par les bons soins de Mickael, et avec un script d’identification Dropbox par Fabian Schlieper) :

Script Camera IP/Dropbox sur le Github de Planète Domotique

Faire une copie du fichier config_sample.php que vous appellez config.php.

Ouvrez-le dans un éditeur de texte, et indiquez les paramètres demandés.

Pour les identifiants d’API DropBox :

define("DROPBOX_APP_KEY", "xxxxxxxxxx");
define("DROPBOX_APP_SECRET", "xxxxxxxxxxx");

Référez-vous à l’onglet « Settings » de votre application, où ils sont présents :

Sauvegarde Camera IP sur Dropbox - Clé d'api dropbox

 

Pour chaque caméra, vous devez spécifier nom d’utilisateur, mot de passe, adresse IP et port.

Sur la ligne suivante, vous pouvez spécifier le répertoire dans lequel les images seront placées. L’adresse est basée sur le répertoire Public, ce qui signifie qu’avec la valeur par défaut « Camera/ », l’image est placée dans le répertoire /Public/Camera/ de la Dropbox. Il faut au préalable créer le répertoire ou les répertoires en question pour que l’envoi fonctionne.

define("DROPBOX_UPLOAD_DIR", "Camera/");

Il est possible d’envoyer l’image de la caméra dans un autre répertoire que le répertoire public, cela dit, on ne pourra pas faire de lien vers l’image dans l’e-mail envoyé par le script. Pour ce faire, allez dans mail_camera.php et modifiez la ligne suivante :

$dropbox->UploadFile($tmpfilename, "Public/".DROPBOX_UPLOAD_DIR.$img_name[$i]);

Encore une fois, il est nécessaire d’indiquer un chemin de répertoires qui existe sur la Dropbox

Le fichier de base vous propose une section pour Edimax et une section pour Foscam. Notez que selon la caméra, la ligne $full_url est à adapter :

Code selon le type de caméra

Code selon le type de caméra

Caméras de type Foscam / Apexis / Heden :

$full_url[x] = "http://".$cam_ip.":".$cam_port."/snapshot.cgi?user=".$cam_user."&pwd=".$cam_pwd;

Caméras de type Edimax :

$full_url[x] = "http://".$cam_user.":".$cam_pwd."@".$cam_ip.":".$cam_port."/jpg/image.jpg";

Caméras de type Trendnet :

$full_url[x] = "http://".$cam_user.":".$cam_pwd."@".$cam_ip.":".$cam_port."/cgi/jpg/image.cgi";

 

Envoyez le tout (fichiers du script et config.php paramétré correctement) sur votre serveur php. Créez également, au même niveau que les scripts, un répértoire « tokens » qui servira à stocker  les jetons d’authentification à Dropbox, et un repertoire « tmp » qui servira à stocker les photos avant leur envoi sur Dropbox. Mettez les droits d’accès en écriture au groupe (chmod 757 ou 777) pour ces deux dossiers.

Chargez une première fois la page http://[adresse de votre serveur web]/mail_camera.php : une authentification du script vous sera demandé (il faut être identifié au compte Dropbox créateur de l’application pour l’accepter).

Et voilà, c’est opérationnel !

Le petit oiseau va sortir !

Il ne vous reste plus qu’à charger la page http://[adresse de votre serveur web]/mail_camera.php, et la photo prise par la caméra apparaîtra directement dans la Dropbox (plusieurs photos si vous avez indiqué plusieurs caméras), tout en vous envoyant un e-mail pour vous donner le lien des photos envoyées.

Une autre petite astuce en complément de cette méthode : vous pouvez très bien utiliser un déclencheur http dans votre box domotique (ou un scénario qui lance la requête http) pour y faire un composant d’interface sur lequel il suffit de cliquer pour prendre une photo.

 

Enregistrer directement l’image sur le même serveur que le script

Si le script est hébergé lui-même sur l’espace web où vous voulez stocker vos photos, vous pouvez directement y enregistrer les photos en ne gardant que la partie du script où le fichier récupère l’image et créée un fichier temporaire (avant l’envoi sur la Dropbox).

Ça se situe à cet endroit dans mail_camera.php :

$content = file_get_contents($full_url[$i]);
$tmpfilename = dirname(__FILE__) ."/tmp/".$img_name[$i];

file_put_contents($tmpfilename, $content);

Il suffit de remplacer /tmp/ par un répertoire de votre cru. La photo est directement sous la forme image avec un numéro de caméra, une date l’heure. Bien sûr, le repertoire en question doit avoir les droits d’écriture (chmod 777 comme vu ci-dessus).

À la place de la fonction de classe $dropbox->UploadFile() appelée juste en-dessous (qu’on peut enlever si on n’envoie pas les fichiers sur Dropbox), vous pouvez par exemple faire un affichage de l’image qui vient d’être envoyée (voir code ci-dessous), ou un message de statut qui pourra être utilisé comme capteur HTTP dans certaines box.

if (file_exists($tmpfilename))
{
  echo '<h1> Image enregistrée sur la caméra '.$i.' :</h1><br/><img src="tmp/'.$img_name[$i].'"/><br/>';
}

Gardez le reste du code, il vous préviendra si l’image n’a pas été envoyé et enverra un e-mail avec les liens vers les photos. Il faudra cependant l’adapter un peu pour qu’il fasse un lien non pas vers les images de la dropbox, mais les images ftp.

Et pour l’envoi par FTP ?

En plus d’envoyer sur une DropBox, vous pouvez directement envoyer le fichier sur un serveur ftp. Pour ce faire, copiez le contenu ci-dessous dans un fichier ftp_upload.php à mettre à côté des autres fichiers du script.

Pensez à changer les lignes $ftp_server, $ftp_user_name et $ftp_user_pass respectivement par l’adresse ftp de votre serveur, votre nom d’utilisateur et votre mot de passe.

<?php
function envoi_ftp($src_file, $dst_file)
{
  $ftp_server='adresse.fr';
  $ftp_user_name='login';
  $ftp_user_pass='mot de passe';

  // Mise en place d'une connexion basique
  $conn_id = ftp_connect($ftp_server);

  // Identification avec un nom d'utilisateur et un mot de passe
  $login_result = ftp_login($conn_id, $ftp_user_name, $ftp_user_pass);

  // Verification de la connexion
  if ((!$conn_id) || (!$login_result)) 
  {
      echo "La connexion FTP a &eacute;chou&eacute; !";
      echo "Tentative de connexion au serveur $ftp_server pour l'utilisateur $ftp_user_name";
      exit;
  } 
  else 
  {
    echo "Connexion au serveur $ftp_server, pour l'utilisateur $ftp_user_name";
  }

  $destination_file = '/'.$dst_file;

  // Chargement d'un fichier
  $upload = ftp_put($conn_id, $destination_file, $src_file, FTP_BINARY);

  // Verification du status du chargement
  if (!$upload) {
      echo "Le chargement FTP a echoue";
    } else {
      echo "Chargement de $source_file vers $ftp_server en tant que $destination_file";
    }

  // Fermeture du flux FTP
  ftp_close($conn_id);
}
?>

Dans ce fichier, à la ligne $destination_file = ‘/’.$dst_file;, vous pouvez indiquer tout un chemin de répertoires de la forme /Repertoire1/Repertoire2/Repertoire3/. Par exemple :

$destination_file = '/Cameras/Photos/'.$dst_file;

Il va sans dire qu’il vous faudra aussi faire un chmod 777 sur le repertoire cible pour que notre script puisse y accéder en écriture !

Ouvrez le fichier mail_camera.php et ajoutez un appel à ce fichier avec la fonction require_once() :

<?php

require_once("DropboxClient.php");
require_once("config.php");
require_once("upload_ftp.php");

Ensuite, recherchez la ligne  if (file_exists($tmpfilename, « )) et ajoutez l’appel de la fonction envoi_ftp(); comme suit :

if (file_exists($tmpfilename, "))
  {
    $dropbox->UploadFile($tmpfilename, "Public/".DROPBOX_UPLOAD_DIR.$img_name[$i]);
    envoi_ftp($tmpfilename, $img_name[$i]);
  }

Désormais, le script enverra pour chaque caméra l’image à la fois sur la Dropbox et par FTP.

Sur le même principe, vous pouvez faire en sorte que l’image prise par la caméra soit uniquement envoyée par FTP en enlevant tout ce qui concerne Dropbox dans les scripts. Il est cependant important de conserver la partie sur la configuration des caméras et la partie du script qui récupère l’image auprès des caméras.

Sur ces bases, à vous d’accommoder votre enregistrement d’image à distance sur Caméra IP à votre bon plaisir : on peut par exemple imaginer une page complète montrant les dernières photos prises par la/les caméra(s), et avec un bouton de déclenchement qui appelle le script de capture d’image.

Nous espérons que ce guide vous aura été utile, et si quelque chose n’est pas clair, n’hésitez pas : direction les commentaires !

Lecture des données de la sonde Everspring ST814 dans la ZiBase

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On nous interroge parfois sur la compatibilité entre la sonde de Température et d’Humdité ST814 d’Everspring et la ZiBase.

Cette dernière prend en charge l’appareil depuis un peu plus d’un an, mais il y a cependant une subtilité dans la façon de l’ajouter à la ZiBase et de récupérer ses données. Voici comment procéder.

Installer et paramétrer la sonde sur la ZiBase

Tout d’abord, il faut bien sûr inclure la sonde dans le réseau Z-Wave de la ZiBase. Pour ce faire, après avoir chargé des piles dans la sonde Everspring ajoutez un nouveau périphérique en tant que Actionneur.

Cliquez sur le bouton Association et pressez trois fois en moins de 1,5 secondes la touche Bouton °C °F/ L de la sonde Everspring. Lorsque le voyant Everpsring Voyant Liaison s’affiche en clignotant, la sonde est en mode « Liaison », normalement son identifiant radio devrait apparaître.

 

Par défaut, l’envoi automatique de données de la sonde vers son contrôleur Z-Wave est désactivé. Il faut donc effectuer un paramétrage radio.

Ce réglage est au paramètre 6, un paramètre de taille 2 octets qui prend comme valeur un intervalle de temps fixé en minutes, de 1 à 1439 minutes. Son réglage par défaut est 0, c’est à dire que l’envoi automatique est complètement désactivé.

Pour effectuer le paramétrage radio, vous pouvez vous reporter à notre article explicatif en sélectionnant la section « ZiBase ». Attention toutefois : le paramètre 6 de la ST814 a une taille de 2 octets, il faut donc préciser [2] à la section « taille du paramètre ».

Ce réglage forçant la sonde à envoyer un signal radio toutes les X minutes, plus ce paramètre X est petit, plus l’utilisation des piles sera soutenue. À vous de trouver le bon rapport entre conserver la durée des piles et avoir des données suffisamment fraîches. Une valeur de 2 ou 3 minutes semble le meilleur compromis.

Pour les sondes, le paramétrage Z-Wave sera sauvegardé dans la ZiBase, prêt à être envoyé à la sonde quand elle sortira du mode veille (La ZiBase doit vous indiquer dans le suivi : [ZWave message - Device Z*** sleeps certainly. The command is saved for the next device wake-up].

Appuyez alors trois fois sur Bouton °C °F/ L . Vous devriez lire dans le suivi d’activité : [ZWave message - Saved commands(1) for Z*** were sent].

À partir de ce moment, notre sonde envoie des rapports réguliers à la ZiBase. On va pouvoir les recueillir pour les présenter dans les interfaces utilisateur !

Récupérer les informations de la sonde

Maintenant, la sonde envoie régulièrement des données sur la ZiBase. Cependant, il y a une petite subtilité : même si c’est une sonde Everspring, la Zibase lui attribue pour les mesure un identifiant radio similaire à celui d’une sonde Oregon Scientific (c’est une sonde virtuelle). Cherchez donc dans votre suivi d’activité le rapport de cette sonde, et notez son identifiant radio qui doit commencer par OS***. Copiez cet identifiant. Si vous avez plusieurs sondes, vous pourrez repérer celle sur laquelle vous travaillez par l’identifiant radio Z-wave attribué par la Zibase (de la forme Z avec une lettre et un nombre), qui est indiqué lors de l’ajout de périphérique.

Everpsring ST814 IDRadio  Everpsring ST814 dans le suivi

N.B. : la sonde peut directement s’afficher en tant que sonde Everspring, ou elle peut s’afficher en tant que « Generic ». Sur la ligne, vous avez un relevé de la température et de l’humidité que vous pouvez déjà vérifier.

Il ne nous reste plus qu’à faire afficher ces valeurs dans l’interface utilisateur. Pour cela, nous allons créer un périphérique de catégorie « Sonde de mesure », et de type THGR228N, en indiquant comme identifiant radio celui que nous venons de relever dans le suivi d’activité. Par exemple, j’appelle ce périphérique « ST814 – relevé » vu que son seul but est de relever les valeurs d’une sonde virtuelle.

Everpsring ST814 ajout en tant que sonde

En principe, tout est bon. Vous devriez voir s’afficher la sonde dans le PCPAD ou dans l’interface mobile, et pouvoir lire les valeurs correspondant à votre sonde !

Everpsring ST814 PCPad

Et voilà ! Nous avons notre lecture de température et d’humidité directement sur le PCPad et sur l’appli mobile de la ZiBase !

Il arrive parfois que l’hygrométrie ne s’affiche pas dans le suivi d’activité (et donc n’est pas transmises aux interfaces utilisateur) : dans ce cas, assurez-vous que lors de l’ajout de périphérique, la sonde a bien été reconnue comme une ST814. Pour faire cette vérification, il faut aller dans « Z-Wave » (le graphe du réseau) et cliquer sur le périphérique : la photo du ST814 devrait s’afficher.

Sonde ST814 - Graphe Z-Wave

Le fait de cliquer sur le périphérique dans le graphe Z-Wave vous permet de vous assurer que la ZiBase a bien reconnu la nature du périphérique et peut suffire à résoudre un problème de mesure d’humidité non reçue.

AlarmSound, la sirène qui détecte les pannes et coupures de courant

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Le Alarm Sound de Benext est une sirène qui se branche directement sur une prise électrique et qui est capable de déclencher plusieurs types de son.

Mais surtout, il dispose d’une fonctionnalité plutôt rare : la possibilité de détecter une panne de courant ou le débranchement d’un appareil et d’envoyer un signal à ce propos.  Nous vous proposons dans cet article un inventaire de différentes possibilités qu’offre ce produit.

Photo du module AlarmSound

Un indicateur sonore et visuel peut être utile dans bien des cas, qu’il s’agisse de vous prévenir avec une portée suffisante ou d’indiquer une information de manière visuelle, sans émettre de son. Cela peut également ajouter de l’accessibilité, par exemple pour rendre un signal accessible aux personnes malentendantes.

Mais son aspect détection de pannes va encore plus loin, par exemple si quelqu’un débranche l’alarme, AlarmSound est capable d’envoyer un signal d’alerte immédiatement à un autre appareil (une box domotique par exemple).

En préambule, notons que cette sirène fonctionne en Z-Wave, ce qui lui garantit une compatibilité avec la plupart des box domotiques du marché. L’intégration est donc très simple : on lance la détection sur la box, on laisse appuyé le bouton de la sirène jusqu’à ce que la led s’allume, on relache, et si tout s’est bien passé, la Sirène devrait apparaître !

Cet article va évoquer des manipulations nécessitant le paramétrage et l’association de modules Z-Waves. Si vous ne connaissez pas la marche à suivre, vous pouvez consulter notre article sur  le paramètrage et l’association Z-Wave !

Les mémoires de l’AlarmSound

Six mémoires LED et sonores

Le Alarm Sound dispose de 6 mémoires qui peuvent contenir à la fois des réglages pour le son, des réglages pour les LED et une configuration de séquence (pour exécuter la séquence musicale et sonore un nombre de fois déterminé, ou à l’infini). Le tout est réglable via de nombreux paramètres Z-Wave (voir en fin d’article).

Sur les réglages par défaut, les trois premières mémoires contiennent des exemples de configuration :

  1. Une alarme façon « sirène de police » qui s’exécute en boucle, et en signal visuel, les LED qui défilent lentement.
  2. Un son bref de 6 bips avec 3 LED qui s’éclairent. Cette séquence n’est exécutée qu’une fois.
  3. Une sonnerie en boucle, comparable à celle d’un réveil. Les LEDs clignotent rapidement au rythme des bips.

L’ensemble des mémoires est personnalisable, je vous conseille tout de même de garder les trois premières telles qu’elles et de faire vos sonneries personnalisées sur les mémoires 4, 5 et 6 prévues à cet effet.

Choisir la mémoire à utiliser selon le contexte

Pour choisir la sonnerie à utiliser, l’AlarmSound dispose de 3 paramètres Z-wave correspondant à trois évènements différents. Vous pouvez utiliser n’importe laquelle des 6 mémoires pour chaque cas.

On peut assigner à chacun de ces paramètres une valeur comprise entre 0 et 6 : la valeur 0 signifie qu’aucune mémoire n’est sélectionnée (vous n’obtiendrez aucun signal sonore ou visuel) et 1 à 6 correspondent respectivement aux 6 mémoires.

  • Paramètre 7 :  »Alarme » mémoire utilisée lorsqu’un déclenchement basique est envoyé sur l’appareil (exemple : On/off via une box Domotique)
  • Paramètre 8 :  »Coupure de courant locale » : mémoire utilisée lorsque l’AlarmSound n’est plus alimentée en électricité (si on la débranche ou si le courant est coupé).
  • Paramètre 9 :  »Appareil-cible débranché » mémoire utilisée lorsque l’AlarmSound est associée à un autre appareil, mais n’arrive pas à atteindre cet appareil.

Détection d’un débranchement ou d’une panne de courant

Ce module a une particularité intéressante : il peut détecter s’il n’est plus alimenté en courant électrique, et envoyer un signal à ce propos (signal visuel, sonore, mais également un signal par radio). Il dispose pour cela d’une batterie interne qui se recharge automatiquement lorsqu’il est branché.

Détection du débranchement de l’AlarmSound

En le mettant sur la même multiprise qu’un autre appareil électrique (serveur, congélateur…), vous pourrez être prévenu des anomalies d’alimentation électrique vers ce dernier.

Il y a deux façons de procéder :

  1. En modifiant le paramètre 8, comme indiqué ci-dessus, vous pouvez choisir de déclencher l’une des alarmes son et lumière en mémoire si la sirène n’est plus alimentée en énergie. Typiquement, lors d’une coupure de courant, l’Alarm Sound le signalera par la sonnerie de votre choix.
  2. En groupant l’AlarmSound avec un autre périphériques Zwave (une autre alarme, ou par exemple une prise gigogne Zwave sur laquelle est branchée une lampe), celui-ci peut être déclenché par un signal radio au moment où l’Alarm Sound est déconnectée.

Les deux signaux sont cumulatifs, c’est à dire qu’on peut avoir l’alarme sonore et visuelle, et en même temps, le déclenchement d’un autre appareil. Vous pouvez aussi mettre le paramètre 8 à une valeur zéro pour que l’AlarmSound envoie seulement un signal de déclenchement, sans lui-même faire son propre signal visuel et sonore.

Alarm Sound a deux groupes pour l’association :

  • Le Groupe 1 envoie les instructions quand on appuie sur le bouton de l’AlarmSound.
  • Le Groupe 2 se déclenche lorsque l’Alarm Sound est débranché.

C’est donc ici du groupe 2 dont nous allons nous servir pour envoyer un signal. Il suffit d’aller dans les associations de l’AlarmSound via une box domotique et lui indiquer un appareil à surveiller comme membre du groupe 2.

Attention : dans le cas de l’utilisation d’une box domotique, il est possible qu’elle soit indiquée comme appareil-cible par défaut pour le groupe 2. Vu que ce groupe n’accepte qu’un seul appareil-cible, il vous faudra probablement d’abord supprimer cette association pour pouvoir en ajouter une autre.

Après avoir fait l’association, lorsque vous débranchez la AlarmSound, le deuxième appareil devrait s’activer s’il est à portée radio.

Signaux que l’AlarmSound envoie à l’appareil-cible (groupe 2)

  • Lorsque l’AlarmSound est débranché, il envoie un signal d’Alarme [code 3, «Activation de l'Alarme»] à l'appareil-cible
  • Lorsque l'AlarmSound est rebranché, il envoie un signal d'Alarme [code 3, « Off »] à l'appareil-cible
  • Lorsque l'alarme sonore et visuelle est interrompue par une pression sur le bouton de l'Alarm Sound (ou lorsqu'il est configuré pour s'arrêter après un temps précis), il envoie un signal interrupteur [Off ] à l'appareil-cible.
  • Lorsque l'AlarmSound est débranché et qu'il déclenche le son correspondant à une coupure d'énergie, il envoie un signal interrupteur [On] à l'appareil-cible.

Et voici ce qui se passe lorsque l'AlarmSound est débranchée :

  1. Un compte à rebours de 4 secondes est déclenché
  2. L'AlarmSound tente d'envoyer un message d'Alarme (code 3) à l'appareil Z-Wave dans son groupe d'association 2.
    En cas d'échec, il réessaiera toutes les 10 secondes jusqu'à ce que l'appareil soit atteint.
  3. Si un autre appareil démarre le mode son/lumière sur l'AlarmSound, le compte à rebours est stoppé et l'AlarmSound démarre ce mode.
  4. Si ce n'est pas le cas et que le compte à rebours arrive à zéro, l'AlarmSound démarre le son "Coupure de courant" tel que défini dans le paramètre 8.
  5. Si l'AlarmSound a réussit à atteindre l'appareil du groupe 2, l'AlarmSound envoie également un signal binaire "Switch" à l'appareil dans ce groupe d'association, indiquant que l'alarme est déclenchée.
L'appareil-cible ne se déclenche pas ?
Quelques pistes pour résoudre le problème :
- Vérifiez que l'association est bien faite en lisant ce que contient le groupe 2 (la place est peut-être déjà prise par le contrôleur domotique).
- Vérifiez que l'appareil-cible est bien alimenté et qu'il peut traîter le type de signaux transmis par l'AlarmSound.

Détection du débranchement d'un appareil associé à l'AlarmSound

Lorsqu'elle est associée avec un appareil (dans son groupe 2), l'AlarmSound vérifie régulièrement si celui-ci est branché en envoyant des messages de tests. Si elle n'arrive pas à atteindre l'appareil-cible, elle le notifiera selon une alarme définie au paramètre 9.

Cette fonction, activée par défaut, est réglable avec les paramètres 2 à 4, voire totalement désactivable.

Paramètre 2 : Activer vérification de l'appareil-cible
Active une vérification périodique de l'état de l'appareil du groupe 2 en envoyant un message de test.
Si la transmission échoue, l'AlarmSound avertit l'utilisateur via le son défini au paramètre 9.
Valeurs possibles :
0 pour désactiver, 255 pour activer (activé par défaut).

Paramètre 3 : Vérification suivante après succès
Pour spécifier le délai dans lequel l'AlarmSound renvoie un message de test à l'appareil-cible lorsque le précédent test a réussi.
L'unité de base est 6 minutes. (une valeur de 1 = 6 minutes, une valeur de 2 = 12 minutes etc.).
La valeur par défaut est de 60 (correspondant à 6 heures).

Paramètre 4 : Vérification suivante après échec
Pour spécifier le délai dans lequel l'AlarmSound renvoie un message de test à l'appareil-cible lorsque le précédent test a échoué.
L'unité de base est 1 minute. La valeur par défaut est 240 minutes soit 4 heures.

Comme vous le constatez, cette vérification périodique est plutôt un contrôle ponctuel qu'une vérification instantannée (un problème de communication n'est pas signalé immédiatement, et le pas le plus bas qu'on peut choisir est de 6 minutes). La détection de coupure de courant directement par la sirène est plus immédiate, mais il est intéressant de savoir que ce mode de vérification existe.

Configuration avancée des mémoires

Pour ceux qui voudraient aller plus loin dans la personnalisation des sonneries, voici un tableau récapitulatif des paramètres utilisables. Ils se modifient de la même façon que le paramètre 7 décrit ci-dessus.

Attention, les termes employés sont plutôt techniques (mélange de termes informatiques et électroniques). Vous devrez peut-être procéder par tâtonnements pour obtenir la sonnerie désirée.

Une dernière chose : si vous souhaitez revenir aux réglages par défaut, il vous suffit de régler le paramètre 1 sur la valeur 255.

  • Réglages du son
  • Réglages des LED
  • Réglages de séquence
Volume sonore Durée (bit de poids fort) Durée (bit de poids faible) Fréq. max / min Fréq. : direction / temps Temps d'un son Temps de l'intervalle Répétition / Pause
Mém. 1 10 11 12 13 14 15 16 17
Mém. 2 28 29 30 31 32 33 34 35
Mém. 3 46 47 48 49 50 51 52 53
Mém. 4 64 65 66 67 68 69 70 71
Mém. 5 82 83 84 85 86 87 88 89
Mém. 6 100 101 102 103 104 105 106 107
Intensité Durée (bit de poids fort) Durée (bit de poids faible) Temps par LED Temps de lumière Temps de l'intervalle Répétition / Pause
Mém. 1 18 19 20 21 22 23 24
Mém. 2 36 37 38 39 40 41 42
Mém. 3 54 55 56 57 58 59 60
Mém. 4 72 73 74 75 76 77 78
Mém. 5 90 91 92 93 94 95 96
Mém. 6 108 109 110 111 112 113 114
Répétition de Séquence Configuration des étapes Temps de pause
Mém. 1 25 26 27
Mém. 2 43 44 45
Mém. 3 61 62 63
Mém. 4 79 80 81
Mém. 5 97 98 99
Mém. 6 115 116 117

Le paramètre « configuration des étapes » a 6 valeurs booléennes, qui sont codées sous forme d'un octet. Une fois le réglage choisi avec le tableau de correspondance ci-dessous, convertissez la série de bits obtenue en forme décimale ou hexadécimale pour l'envoyer via votre box.

7 6 5 4 3 2 1 0
Réservé Étape 1 : Activer son Étape 1 : Activer LEDs Étape 1 : Activer Pause Réservé Étape 2 : Activer son Étape 2 : Activer LEDs Étape 2 : Activer Pause

Voilà, il ne nous reste plus qu'à vous souhaiter une bonne configuration. Et si jamais vous êtes arrivé à obtenir des sonneries intéressantes, n'hésitez pas à partager leur configuration dans les commentaires !

Interfacer OpenRemote avec la box domotique eedomus

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Tout d’abord je ne reviendrai pas sur la présentation ni l’installation ou encore la création d’une interface OpenRemote. Il s’agit là précisément de comprendre comment faire communiquer OpenRemote et la box eedomus.

Le projet OpenRemote est un projet OpenSource visant à permettre le contrôle à distance de son installation domotique grâce à des interfaces simples. Vous pouvez aller lire notre article sur OpenRemote.

Grâce à son API, l’eedomus permet notamment deux choses :

  • envoyer des commandes http pour modifier l’état des périphériques
  • récupérer l’état des différents capteurs, également au travers d’une requête http

Explication rapide du fonctionnement de OpenRemote

Lorsque vous créez votre interface OpenRemote vous avez besoin de deux choses :

  • des commandes http qui permettent de modifier l’état d’un prériphérique sur votre box
  • des sensors qui vont interroger à intervalle régulier un fichier xml ou json pour relever l’état des capteurs auxquels ils sont associés.

Mise en place dans OpenRemote

Nous allons utiliser une fonction d’OpenRemote qui s’appelle « rules ». Les rules permettent de scripter un peu tout et n’importe quoi …

Dans notre cas, nous allons demander à OpenRemote d’interroger toutes les secondes l’url de l’API eedomus qui permet de récupérer l’état des capteurs de la box.

Cette url est de la forme :

http://api.eedomus.com/get?action=periph.caract&periph_id=XXX&api_user=XXX&api_secret=XXX

periph_id est le code API du périphérique dont vous souhaitez connaître l’état à récupérer dans les paramètres experts du module en question

Interfacer eeDomus et OpenRemote

api_user et api_secret sont à récupérer dans la configuration de votre box.

Interfacer eeDomus et OpenRemote API eeDomus

Rendez-vous ensuite dans votre designer OpenRemote, dans l’onglet « Config for Controller ».

Sélectionnez rules et dans le champ rules editor collez ce script en ayant pris soin, bien sûr, de compléter l’url avec vos propres valeurs.

package org.openremote.controller.model.event

import org.apache.commons.io.FileUtils;
import java.net.URL;
import java.io.File;

rule "Poll eedomus every second"
    timer (cron: * * * * * ?)
when
    eval(true)
then
    pollVera();
end

function void pollVera() {
    FileUtils.copyURLToFile(new URL("http://api.eedomus.com/get?action=periph.caract&periph_id=XXX&api_user=XXX&api_secret=XXX"), new File("../webapps/controller/eedomus.json"));
}

Interfacer eeDomus et OpenRemote - Rules

Petit point : pour l’instant l’API eedomus ne permet pas d’appeler d’une simple url l’ensemble des statuts des capteurs de la box. Il va vous falloir ajouter manuellement chaque periph_id à la suite du premier en les séparant simplement par une virgule (periph_id=XXX,XXX,XXX…).

Pas très pratique, mais pour l’instant c’est comme ça ! ;)

Validez la rule puis retournez dans la rubrique Device.

Nous allons prendre pour exemple un simple switch. Il faut tout d’abord créer les deux commandes ON et OFF.

Créez une nouvelle commande http :

http://api.eedomus.com/set?action=periph.value&periph_id=XXX&value=100&api_user=XXX&api_secret=XXX

Même chose pour la commande OFF en changeant la valeur à 0 :

http://api.eedomus.com/set?action=periph.value&periph_id=XXX&value=0&api_user=XXX&api_secret=XXX

 

Puis on crée une nouvelle commande http qui mettra à jour le sensor qui renseigne l’état du switch (veillez à compléter l’adresse IP de votre controller OpenRemote ainsi que le port utilisé) :

http://IP_OR:8688/controller/eedomus.json

On choisit de vérifier l’état toutes les secondes.

On renseigne le json path expression qui permet de choisir le capteur à relever (valeur et periph_id à vérifier d’après l’url citée en début d’article) :
body[?(@.periph_id==XXX)].last_value

Interfacer eeDomus et OpenRemote - Edit command

Ensuite vous créez comme d’hab un sensor utilisant cette url, puis un switch utilisant le sensor créé ainsi que les deux commandes ON et OFF.

Et voilà, votre interface OpenRemote cause avec votre eedomus !

Une nouvelle application Home Center 2 optimisée pour l’iPad

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Application iPad de la HC2Aujourd’hui, la Home Center 2, box domotique haut de gamme, reste une des box à l’interface la plus conviviale. Mais une des rares choses qui lui manquaient encore était une application dédiée à l’iPad. Il y avait déjà une version pour iPhone et iPod Touch sur l’App Store, compatible bien sûr avec l’iPad, mais avec un affichage pas optimisé, ne tirant pas pleinement parti du magnifique écran de la tablette d’Apple.

Notre attente est récompensée puisque l’application dédiée à l’iPad vient de sortir, et elle est à la hauteur de nos espérances !

Attention, pour pouvoir utiliser cette application, il vous faudra au minimum la version 3.554 du firmware de la HC2. Dans l’immédiat c’est la dernière version, et il s’agit d’une version beta.

Toutes les fonctions de la Home Center 2 à portée de main

Le principe de cette application est de vous permettre de conserver toutes les fonctions de contrôle et de suivi de la Home Center 2. Les ajouts et la configuration des périphériques et l’éditeur de scénario ne sont par contre pas disponible.

Vous retrouverez donc la possibilité de suivre la consommation des différents appareils qui ont cette fonction. Vous pouvez la suivre en temps réel ou consulter leur historique. Et ceci soit par salle  (pour peu que vous ayez pris soin de classer chaque appareil dans une salle), soit par sections (les lieux de vie, les chambres…) soit pour toute la maison.

Le suivi de consommation sur l'application iPad de la HC2

Vous disposez également d’un accès au panneau d’alarme de la box, qui permet d’armer individuellement chaque détecteur de présence de votre installation (ou de l’armer par zone).

Et bien sûr vous pouvez contrôler les systèmes reliés à la Fibaro : l’éclairage (en mode on/off et dimmer), la température, l’humidité, les système de sécurité…

HC2 iPad : commande des différents modules

L’appli offre également un affichage des caméras IP ajoutées à la HomeCenter 2, avec possibilité d’enregistrer photo et vidéo, et même de contrôler à distance les caméras motorisées.

Caméra IP dans l'appli iPad de la HC2

Un confort accru

Le maître mot recherché est le confort d’utilisation, ce qui colle complètement avec la philosophie de l’iPad. Tout d’abord, l’application est disponible en français ! Même si tout n’est pas encore traduit (notamment « Nieprzypisane » pour « Non défini »), la base est là et permettra à tout un chacun d’utiliser l’application (de plus Fibaro prend note des problèmes de traduction que vous pourrez rencontrer, vous pouvez les signaler sur leur Bugzilla).

Pour répondre aux questions d’érgonomie, l’application propose une interface propre et intuitive, mais également personnalisable :  la partie « haute » de l’application donne accès en permanence aux différentes rubriques, et affiche les sondes, raccourcis… Elle permet de directement accéder au contrôle d’un module sans pour autant quitter la page actuelle de l’application, ou carrément passer à une autre rubrique.

Raccourcis barre du haut

 

L’écran d’accueil est également entièrement personnalisable avec des Widgets. La personnalisation se fait en maintenant appuyé simultanément sur les boutons bleus « Fibaro » et « Retour » dans les deux coins supérieurs de l’écran. Vous pouvez ensuite supprimer et ajouter les widgets de votre choix dans les 6 emplacements : affichage de sondes ou de détecteurs, déclenchement de scènes, icônes pour actionner les lampes, volets et autres appareils domotisés… Et ces widgets peuvent être toujours ajoutés selon plusieurs niveaux : individuel, par pièce, par section, par type d’appareil, dans toute la maison.

Ecran d'accueil avec Widgets

L’écran d’accueil avec une sonde, trois scénarios, un contrôle de lampe et l’armement du système de sécurité

Appli iPad de la HC2 : personnalisation des widgets

Choix du Widget à ajouter à l’écran d’accueil (1ère partie du menu)

Notons aussi la présence d’une fonction de contrôle par la voix, via Lili (la petite cousine de Siri ?), qui malheureusement n’est pour l’instant disponible qu’en anglais et en polonais pour l’instant. Espérons que la version française soit implementée prochainement, en attendant vous pouvez essayer de prendre votre plus bel accent anglais. Les tests que nous avons effectué sur Lili n’ont pas été concluants (et pourtant, toute l’équipe s’y est essayé !), espérons que ça sera amélioré ou qu’elle reconnaîtra mieux les instructions en français. Au passage, la commande vocale à dire à Lili peut être définie dans l’interface de la HomeCenter 2 pour chaque module, pour chaque scène, etc.

Configuration de Lili dans l'interface de la Home Center 2

Écran de l’interface Home Center 2 via PC : configuration de la commande vocale de Lili

En bref, Fibaro a très bien fait les choses pour le lancement de cette application iPad, donnant toujours plus d’arguments à leur box et récompensant les clients ayant fait cet investissement. La tablette est un peu le prolongement logique d’une box comme la Fibaro, permettant de gérer ses fonctions tranquillement assis dans son canapé… Comme pour l’application iPhone, le temps de réponse est super rapide, et finalement, même si le PC reste indispensable pour l’ajout de module, de scènes et le paramétrage général de son installation, l’appli iPad fera parfaitement l’affaire pour la commande quotidienne de la box. Pas besoin d’allumer le PC pour vérifier ses caméras IP, pour suivre la consommation de son installation ou encore pour contrôler ses appareils domotisés.

Les utilisateurs d’Android ne sont pas en reste, puisque l’application pour Android est sortie il y a une quinzaine de jours (assez discrètement d’ailleurs). Elle était en béta sur le site de Fibaro jusqu’à maintenant, et vous pouvez dès à présent la retrouver sur Google Play. Cette application reste optimisée pour les smartphone Android, mais une version dédiée aux tablettes Android verra peut-être le jour !

Application Home Center 2 dédiée à l’iPad Application Home Center 2 dédiée à l’iPhone et iPod Touch Application Home Center 2 pour Android


La Scene Controller de BeNext : 14 fonctions au creux de la main

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Scene Controller de BeNextPetit article de présentation sur la télécommande Z-Wave de BeNext : la Scene Controller, qui vient tout juste d’arriver dans notre boutique !

C’est un bon choix de télécommande Z-Wave car elle dipose de 7 boutons personnalisables, avec également une détection de double clic qui lui permettent donc de contrôler jusqu’à 14 scènes en tout. En panachant ces 14 modes de détection avec vos scénarios, il est possible d’en faire un élément central de contrôle de votre système domotique.

Attention, à l’heure actuelle, une seule de nos box la supporte totalement : la eeDomus. Pour l’instant les autres box la détectent en tant que variateur, espérons une compatibilité prochaine !

Au niveau de la prise en main, la télécommande s’avère assez confortable d’utilisation, assez légère, et les boutons sont assez espacés pour qu’on n’appuie pas sur le mauvais bouton par erreur. Alimentée par deux piles AAA, elle dispose d’une bonne autonomie (environ 5 ans) car elle n’utilise les piles que lorsqu’un bouton est pressé. Vu qu’il s’agit de piles dont le but est de rester « en veille », il est plutôt conseiller d’utiliser des piles normales (fournies) plutôt que des piles rechargeables.

L’intégration dans le réseau Z-Wave est facile : lancez le processus d’intégration, et laissez enfoncé le bouton 5 de la télécommande pendant quelques secondes, jusqu’à ce que le voyant rouge clignote.

La télécommande devrait apparaître dans l’interface de l’eeDomus avec les 14 appuis pris en charge directement utilisables dans les scénarios : 1 à 7 pour les touches 1 à 7 en appui simple, et 8 à 14 pour ces mêmes touches en double-clic.

Si la séquence d’intégration de la box manque celle de la télécommande, la télécommande se mettra en mode d’association directe avec un périphérique Z-Wave et ne pourra plus être intégrée au réseau de la box jusqu’à l’exclusion.

Il y a une spécificité au pour exclure cette télécommande d’un réseau : après avoir mis la box en mode « Exclusion », il faut laisser enfoncé la touche 5 pendant une quinzaine de secondes (jusqu’à ce que le voyant s’allume), donc bien plus longtemps que pour l’inclusion.

Une fois la télécommande associée à sa box, il devient simple de l’utiliser selon les différentes situations.

N’importe quel bouton peut être configurée pour lancer une scène, par exemple pour armer/désarmer la surveillance…

Scence Controller - Lancement d'une scène

En faisant bon usage des critères, un même bouton peut servir d’interrupteur on/off selon l’état en cours de la lampe. Et pourquoi pas ajouter une troisième fonction qui allume cette même lampe pendant un temps déterminé lorsqu’on effectue un double-clic sur le bouton.

Scence Controller - Mappage bouton 3 pour une lampe

 Voilà, à vous de vous amuser avec les différentes possibilités de cette télécommande !

Tag Reader de BeNext : un clavier et lecteur RFID Z-Wave compatibles eeDomus !

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Découvrons aujourd’hui le Tag Reader de BeNext, un boitier Z-Wave qui contient à la fois un clavier à 7 touches (dont 4 chiffres pour rentrer les codes), et un lecteur RFID intégré. Il est également muni d’un signal lumineux et d’un signal sonore qui permettent d’indiquer l’opération en cours, si ce qu’on a fait a bien été sauvegardé, etc.

Ce clavier peut être utilisé de façon autonome, c’est à dire sans faire de manipulation côté box : on peut l’inclure à un réseau Z-Wave et il pourra mémoriser des codes et des badges RFID, et armer ou désarmer le système d’alarme en fonction de ces derniers. Mais aujourd’hui, nous allons plutôt voir comment utiliser le TagReader avec l’eeDomus. Cette box domotique reconnaît très bien le clavier, et leur association permet donc, non seulement d’utiliser un système d’alarme, mais également de lancier des scénarios, par exemple.

L’inclusion est simple : il suffit d’insérer les piles, de mettre l’eeDomus en mode inclusion, d’appuyer pendant 2 secondes sur le bouton « Tamper » du Tag Reader et de le relacher, ce qui mettra le module en mode « inclusion ». Par la  suite, pour pouvoir utiliser le boitier, il faut que ce bouton « Tamper » reste appuyé, donc le poser à plat sur une table ou le fixer à son emplacement de destination.

Attention, petit bémol du système : en l’utilisant sur l’eeDomus, les boutons « home » et « away » ne seront pas différenciés. Ces deux boutons serviront à initier la lecture d’un badge RFID et l’entrée d’un code, mais l’eeDomus ne peut pas détecté si on a pressé « Home » ou « Away ». En d’autres termes, il n’y aura pas de différence entre faire « Home » puis un code ou  « Away » puis un code. Cela dit, il est possible de faire des différenciations avec la logique intérieure de l’eeDomus (en vérifiant si l’alarme est désactivée ou non). De plus, il sera possible d’utiliser autant de badges RFID que souhaité (plutôt que d’être limité à la mémoire UID du TagReader), et une grande combinaison de codes. Comme vous allez le voir, cette non-différentiation des boutons va être bien compensée.

Avec un badge RFID

Appuyer sur « Home » et passer le badge RFID. Le Tag Reader répond par un bip et l’ID du badge s’affiche sur l’eeDomus. Lorsque le Tag Reader a lu le badge RFID, il fait un bip et sa led s’allume pendant un court instant. Si aucun badge n’a été détecté, il n’y a pas de bip et la LED s’allume plus longtemps.

TagReader et eeDomus : enregistrement d'un badge RFID

Copiez la valeur qui s’affiche dans le retour d’état. Allez ensuite dans la configuration du périphérique et collez le code, en ajoutant une image et un nom pour vous permettre de l’identifier.

TagReader et eeDomus : association RFID et valeur

Vous pouvez désormais utiliser cette valeur dans les scénarios.

Avec une saisie de code au clavier

Appuyer sur « Home », faire un code à 4 chiffres et appuyer sur entrée. Attention : il faut saisir rapidement le code et « Enter ». Lorsque la LED se rallume, c’est trop tard, il vous faut recommencer la saisie.

TagReader et eedomus : retour d'état code à 4 chiffres

Le code dans le retour d’état est sous la forme suivante : 3A3B3C3D00000000

Avec ABCD étant les 4 chiffres saisis entre « Home » et « Enter ».

Par exemple :

Code tapé Code dans le retour d’état
1111 3131313100000000
1234 3132333400000000
4242 3432343200000000

Cela fait 44 combinaisons possibles, soit un total de 256 combinaisons. Il suffit d’associer le code voulu à une valeur (dans l’onglet « Valeurs ») pour l’utiliser dans les scénarios.

 

Et c’est là que ça devient intéressant : nous ne sommes pas limités aux codes à 4 chiffres, il est possible de faire des codes allant de 1 à 8 chiffres. À chaque fois la série de chiffres renvoyée dans le retour d’état de l’eeDomus sera votre code, avec un « 3 » ajouté devant chaque chiffre tapé, et une série de zéros pour les chiffres non tapés.

Donc pour 31314242 le code obtenu sera 3331333134323432.

Autres exemples :

Code tapé Code dans le retour d’état
1 3100000000000000
12341234 3132333431323334
333333 3333333333330000
44444444 3434343434343434

Nous disposons ainsi de 87380 combinaisons possibles (41 + 42 + 43 + 44 + 45 + 46 + 47 + 48).

Et même s’il est déconseillé de faire un code de déblocage de moins de 4 chiffres, les codes plus courts peuvent toujours être utilisés pour des fonctions non sensibles (lancement de scénario, pilotage de modules…).

TagReader et eedomus : retour d'état code à 8 chiffres

TagReader et eedomus : valeurs

Du coup, pour pallier l’impossibilité d’utiliser différemment « Home » et Away, soit vous pouvez faire un code d’armement commun (par exemple : Home, 1, enter) et faire un code de désarmement plus compliqué, soit utiliser une variable de l’eeDomus et « inverser » cette variable à chaque passage du badge ou utilisation du code (armé/désarmé), comme nous allons le voir ci-après. Plus généralement, il est possible d’utiliser un code de désarmement par personne, ou désarmement par badge RFID, ou utilisation mixte badge / code…

Quelques règles pour armer et désarmer l’alarme à partir de l’eeDomus

Voici des règles pour utiliser le Tag Reader tout juste connecté à l’eeDomus pour gérer le contrôle d’accès. Ici « Marie » et « Éric » sont des tags RFID, et « Code d’Armement » est un code commun aux deux, mais on pourrait tout à fait envisager d’avoir un code différent par personne, associé chacun à un prénom ou à une situation…

TagReader et eedomus : Règle d'armement

Quel que soit le code employé, si la surveillance intrusion est désactivée, elle s’activera au passage d’un des badges ou à la saisie du code d’armement.

Pour le cas inverse, le désarmement, il faut bien penser à gérer différents cas de figure : le cas où le système est juste armé et le cas où le système est en alerte. De même, pour ces deux cas, on doit penser à gérer les situations qu’elles soient en cours (Activée/Alerte) ou qu’on soit juste dans la macro qui va les déclencher (En cours de macro, dans X min ou X secondes).

Voici un exemple qui gère toutes ces situations et qui désactive l’alarme au passage du badge (ou à la saisie du code…) de Éric.

TagReader et eedomus : Règle de désarmement

Notez que les deux premières lignes peuvent être remplacées par « [Surveillance intrusion] est différent de [Désactivé]« .

Tout cela devrait vous donner une bonne idée des possibilités du TagReader une fois associé à la eeDomus !

ZiBASE Lite : la qualité d’une ZiBASE à un prix très réduit !

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Zodianet lance ce mois-ci un nouveau modèle de la ZiBASE : la ZiBASE Lite.

Le principe est de fournir les principales fonctionnalités de la ZiBASE, mais à un prix mini. Une ZiBASE d’entrée de gamme, pour proposer la box célèbre pour son côté « multi-protocoles » à un prix réduit.

Comme toutes les ZiBase, on trouve de base la compatibilité avec de nombreuses technologies domotiques : Z-Wave, Oregon Scientific, Chacon, DeltaDore, X10 Radio, Visonic, Somfy RTS.

Cette ZiBASE Lite est basée sur une ZiBase Pro (le modèle sorti en juin dernier), sur laquelle l’électronique interne et la puissance de l’antenne Z-Wave ont été améliorées par rapport aux précédentes ZiBASE (ZiBASE 2 et 2S).

Zibase Lite et Zibase Pro

Pour alléger ce modèle et en faire un modèle « Lite », seules deux fonctions ont été ôtées par rapport à la ZiBASE Pro : l’antenne enOcean (la fonctionnalité reste cependant disponible par la suite en supplément dans un dongle qui se fixe à l’arrière de la ZiBASE), et la batterie de secours. Le design en lui-même ne change pas : toujours le même boitier noir, sobre et efficace.

La gamme actuelle se compose donc de ces deux modèles, et ceux qui veulent s’équiper en ZiBase ont donc désormais le choix entre la ZiBASE Pro, un modèle « complet » supportant enOcean et ayant la batterie intégrée (bien pratique pour certaines opérations d’inclusion au réseau ou en cas de panne d’électricité), ou cette ZiBASE Lite qui conserve l’essentiel des fonctionnalités tout en proposant un prix très avantageux.

En plus, il y a une offre de lancement de la ZiBase Lite qui est donc à prix promotionnel pour cet été !

Et comme d’habitude, nous vous proposons les modèles avec et sans licence scénario pour vous permettre de sélectionner la ZiBase qui convient le plus à vos besoins.

Découvrez vite notre rubrique de la boutique dédiée à l’unviers Zodianet !

Premiers pas avec la CubieBoard (et CubieBoard 2)

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Nous vous avons déjà parlé de la CubieBoard en la comparant à la RaspberryPi.

À l’occasion de la mise en boutique de la Cubieboard 2, version avec un processeur de calcul et un processeur graphique plus puissants, voici un petit guide. Il a pour vocation d’aider les futurs acquéreurs de Cubieboard à faire leurs premiers pas avec cette microcarte, premiers pas qui, espérons-le, pourront les emmener vers de grands projets !

Le package proposé dans la boutique (Cubieboard ou Cubieboard 2) contient :

  1. La microcarte Cubieboard
  2. Un cable SATA d’alimentation et de données
  3. Un adaptateur USB vers port d’alimentation (Jack)
  4. Un support simple pour la carte. Il n’offre pas la protection d’un boitier, mais ça permet de faire des premiers tests en « calant » la carte.

Les branchements de base

Reliez votre Cubieboard à un affichage HDMI / TV via un câble HDMI.
Il est également conseillé de brancher un hub USB à la Cubieboard en y reliant une souris et un clavier. Si vous branchez de nombreux périphérique USB, il vaut mieux utiliser un hub USB auto-alimenté (la Cubieboard utilisant une alimentation relativement réduite, elle ne peut pas alimenter en énergie un trop grand nombre de périphériques USB. Elle supportera sans problème un clavier et une souris basiques.

Nous vous conseillons également de relier la Cubieboard à votre réseau local via un cable Ethernet.

La Cubieboard a deux entrées possibles pour l’alimentation électrique :

  • Une fiche Jack (le câble fourni est un cable USB vers Jack) ;
  • Une fiche mini-USB.

N.B. : les entrées USB standard de la carte sont conçues pour relier des périphériques USB (clavier, souris, dongle Wifi ou Bluetooth…), seul le mini-USB est prévu pour l’alimentation.

Branchez le cable USB à votre ordinateur (5V / 500 mA) ou n’importe quelle autre source de courant via USB (l’adaptateur pour brancher votre téléphone), et reliez l’autre côté (Courant Continu ou mini-USB) au port de la Cubieboard.

Astuce : si vous disposez d’un chargeur de PlayStation Portable (PSP), la fiche peut être directement branchée sur le Cubieboard (taille compatible) et fournir du 5V en 2A, ce qui convient pour la Cubieboard. La plupart des chargeurs de téléphone en Mini-USB (c’est le cas de beaucoup de téléphones sous Android) seront aussi compatibles.

Branchements basiques de la Cubieboard

Premier démarrage :

La Cubieboard démarre dès que vous lui reliez une source d’Alimentation. Deux LED s’allument : la led rouge POWER et la led verte LED2.

La Cubieboard vérifie d’abord si une carte microSD est présente, et si c’est le cas, elle essaie de démarrer à partir du contenu cette carte. S’il n’y a pas de carte microSD, la Cubieboard démarrera directement à partir de sa mémoire flash intégrée. C’est une mémoire de 4Go avec Android 4.0 (Ice Cream Sandwich) préinstallé, donc sans carte microSD, la Cubieboard démarre sous Android par défaut. Il est conseillé de faire un premier test de démarrage avec Android.

Cubieboard sous Android
Exemple de démarrage de la Cubieboard sous Android : page « À propos »

Démarrer et éteindre la Cubieboard

La Cubieboard s’allume automatiquement dès qu’elle est branchée à une source d’énergie et démarre un système d’exploitation selon l’ordre expliqué ci-dessus.

Lorsqu’elle est en marche, la LED rouge (POWER) s’allume. Selon le système d’exploitation, la led verte « LED2″ peut aussi s’allumer (c’est le cas avec Android, mais pas avec Linux).

Il est recommandé de ne pas éteindre la Cubieboard en la débranchant : utilisez la fonction « Éteindre » intégrée au système d’exploitation.

Pour la version d’Android intégrée à la mémoire flash, il n’y a pas cette fonction par défaut : vous pouvez installer un logiciel dédié à cet effet sur Google Play (cherchez « Shutdown utility ») ou mettre à jour la version d’Android à la dernière version pour que la fonction « Éteindre » soit directement intégrée.

Dans les distributions linux, vous pouvez utiliser la fonction intégrée à l’interface graphique ou ouvrir un Terminal et saisir la commande « sudo shutdown -h now ».

Il y a également un bouton « Power » situé à côté de l’entrée HDMI. En la pressant quelques secondes, vous pourrez redémarrer la Cubieboard. En la pressant plus longtemps, environ 10 secondes, vous pourrez forcer la Cubieboard à s’éteindre.

Tester différentes distributions / différents systèmes d’exploitation

Pour faire des tests ou carrément installer le système d’exploitation qui sera « permanent » sur la carte, nous allons utiliser Berryboot.

Berryboot est un utilitaire qui permet d’installer un ou plusieurs systèmes d’exploitation sur une carte SD et de choisir un de ces systèmes au démarrage de la carte. Il est normalement conçu pour RaspberryPi mais est compatible avec toutes les cartes qui ont un processeur A10.

Berryboot : télécharger l'installation Berryboot Application écriture carte SD

Vous pouvez installer Berryboot directement sur votre Cubieboard sans avoir à faire de manipulation particulière.

  1. Démarrez votre Cubieboard (sous Android), et dirigez votre navigateur sur http://get.berryboot.com/ ;
  2. Téléchargez, ouvrez et installer le fichier .apk de cette adresse ;
  3. Inserez une carte SD vide et cliquez sur le bouton « write image to SD card » ;
  4. Après que l’écriture ait été faite, le programme vous demandera de redémarrer la Cubieboard pour effectuer l’installation du logiciel.

N.B. : il est aussi possible de le faire sur un PC en y connectant la carte microSD et en utilisant un logiciel qui peut inscrire des images sur la carte.

Une fois que le logiciel est installé, vous pourrez installer votre distribution linux via BerryBoot en la sélectionnant dans une liste de choix.

Berryboot installation

Et bien sûr, si une distribution Linux que vous recherchez n’est pas dans la liste, vous pouvez copier les fichiers d’installation directement sur la carte SD.

Ce guide est une adaptation du guide publié sur http://linux-sunxi.org/Cubieboard/FirstSteps sous la licence Creative Commons BY 3.0 (partage et modification du document autorisés en citant la paternité).

La domotique par CPL simple et intuive avec la gamme Wattcube de Wattlet

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Wattlet est une société de la région Toulousaine spécialisée dans l’électronique et la communication. En début d’année, ils ont lancé toute une gamme de produits nommée Wattcube. Le principe de cette gamme : toute une panoplie de relais associables entre eux pour s’envoyer des instructions de déclenchement par CPL (courants porteurs de ligne).

Les avantages sont multiples et nous allons les présenter au fur et à mesure de l’article, mais les principaux qu’on peut déjà évoquer sont :

  • Installation électrique très simple : il suffit de relier chaque module Wattlet au réseau électrique d’une part, et à une charge ou un interrupteur d’autre part. Pas besoin de relier directement chaque charge à chaque interrupteur.
  • Association entre les interrupteurs et les charges également très facile, via le badge Wattlet (un seul badge permet de mettre toute l’installation en place).
  • Tout se fait par CPL, donc pas d’ondes radio, dans le cas de certaines installation où on ne peut les utiliser. Il n’y a pas de problème possible au niveau de la portée des signaux, puisque tout passe par le réseau électrique : la portée maximale est de 1 km.

La gamme Wattcube

Tout d’abord, jetons un œil à ce que propose Wattlet pour la gamme Wattcube. Tous les modules Wattcube ont une apparence standardisée, disposent d’une LED (qui va être très utile pour l’installation, comme nous le verrons), mais ont de nombreuses fonctions différentes.

Pour les interrupteurs, nous avons 3 modules :

  • Le Wattcube Push permet de relier un interrupteur à l’installation Wattcube.
  • Le Wattcube Push-L est identique au Wattcube Push, mais a également une sortie, typiquement pour une LED sur l’interrupteur
  • Le Wattcube Push 2 a la même fonction que le Wattcube Push, mais prend en charge 2 boutons, donc les interrupteurs doubles
Double interrupteur : le Wattcube Push 2

Double interrupteur : le Wattcube Push 2

Wattcube Power

Actionneur : le Wattcube Power

Et pour les actionneurs, il y a notamment :

  • Le Wattcube Light, dont le but est d’allumer ou éteindre une lampe  ou autre charge de faible puissance (250 VA).
  • Le Wattcube Power, qui peut commuter une charge jusqu’à 1200 VA, et a également une entrée qui lui permet d’être à la fois interrupteur et actionneur. On peut lui relier directement une lampe, mais également une prise électrique.
  • Le Wattcube Win, pour piloter une motorisation de volets roulants. Deux sorties avec une puissance maximale de 250W.

Il y a aussi le Wattcube Badge, qui permet d’associer interrupteurs et actionneurs comme nous allons le voir juste après, et un autre module est en développement : le Wattcube Web, qui permettra aux modules reliés en CPL d’être actionnés via une passerelle IP, et par conséquent d’être interfacés avec une box domotique et des appareils connectés au web !

Test en conditions réelles : la valise de test Wattlet

Wattlet nous a envoyé une valise nous permettant d’essayer une grande partie de leur modules en conditions réelles, à l’usage il s’avère que c’est très intuitif !

Valise de test Wattcube

Tous les modules disposent d’une LED qui indiquent leur état. Et pour les associer, il n’y a pas de bouton à presser : il suffit simplement d’utiliser le badge Wattcube et de le passer devant les modules concernés (un interrupteur et un actionneur). L’installation devient alors très simple, puisqu’il n’y a pas besoin de faire de configuration poussée pour que ça marche. On repère les modules qu’on souhaite associer, on passe le badge, et ça y est, ils sont prêts à fonctionner ensemble !

Voici une vidéo qui présente la gamme Wattcube en général, et ce principe d’association par badge en particulier.

Cliquer ici pour voir la vidéo.

Voyons maintenant plus en détail comment se comportent les modules Wattlet lors de différentes opérations.

Associer un interrupteur et un actionneur

Lorsqu’on passe le badge devant le module d’un interrupteur, ce module se met à clignoter : il est alors en mode programmation.

Association Wattcube par Wattcube badge

Tous les modules Wattcube qui peuvent être atteint par le CPL se mettent à clignoter. Si des modules sont déjà associés, ils allumeront la charge qui leur est liée. Ce mode peut donc être utilisé non seulement pour l’association, mais également pour vérifier quelle installation est déjà en place.

Quand un module interrupteur est en mode programmation, il suffit de passer le badge devant un actionneur pour que, par la suite, l’interrupteur commande l’actionneur.

On repasse ensuite le badge devant l’interrupteur, il sort du mode programmation : les associations « interrupteur/actionneur » sont prises en compte, et  les charges liées et les LED des modules Wattcube s’éteignent.

Puisqu’il est possible de relier plusieurs interrupteurs à un même actionneur, il est très facile de créer un va-et-vient, comme vous le montre cette vidéo :

Cliquer ici pour voir la vidéo.

Utilisation d’un interrupteur double

Nous indiquions qu’il existait le Push 2, un module qui prend en charge les doubles interrupteurs. Il est bien sûr possible de programmer indifféremment les deux parties de l’interrupteur !

Pour ce faire, on passe d’abord le badge devant le module Push 2 (1), puis on appuie sur la touche du double interrupteur qu’on veut assigner (2), et on passe le badge sur la charge-cible (3). Enfin, on repasse le badge devant le module Push 2 pour arrêter le mode programmation.

Wattcube : asso du push 2 en 3 étapes

Il ne reste plus qu’à répéter l’opération pour l’autre partie du double interrupteur !

Dissocier/réinitialiser un interrupteur ou un actionneur

Chaque module Wattcube peut être totalement dissocié du réseau CPL sans pour autant enlever les autres association existantes.

On présente le badge devant le module pendant 5 secondes (jusqu’à ce que la LED clignotante s’éteigne complètement), et il sera réinitialisé : si c’est un interrupteur, il ne déclenchera plus aucun actionneur, et si c’est un actionneur, il ne sera plus déclenchable par un interrupteur, et ce jusqu’à ce qu’on fasse à nouveau des associations.

Vous pouvez voir que vous êtes en mode « réinitialisation », car seul le module au contact du badge a sa LED qui s’allume, en clignotant. Si d’autres LED s’affichent sur les modules Wattcube, c’est que le module s’est mis en mode programmation : interrompez ce mode programmation pour pouvoir faire la réinitialisation.

Un point sur la mémoire interne des modules et la fiabilité

Les associations entre les modules sont stockés dans la mémoire interne de ces modules, qui n’est pas infinie. Cependant, chaque module a une capacité de 32 associations, ce qui sera largement suffisant pour la grande majorité des cas.

Par 32 associations, on entend :

  • 1 interrupteur (ex: Wattcube Push) sur 32 actionneurs (ex : Wattcube Light),
  • 32 interrupteurs sur 1 actionneur.
  • Et par exemple, pour le Wattcube Power qui est à la fois interrupteur et actionneur, on peut lui associer 16 Wattcube Light (contrôlés par l’interrupteur du Wattcube Power) et 16 Wattcube Push (qui serviront à actionner la charge du Wattcube Power).

Toutes les configurations qui n’excèdent pas 32 associations « interrupteur/actionneur » sont possibles.

Qu’en est-il de la fiabilité de la technologie CPL conçue par Wattlet pour sa gamme Wattcube ?

Ils fonctionnent sur une très basse fréquence, ce qui veut dire qu’ils ne génèrent pas de champs électromagnétiques perturbateurs (comme ça peut être le cas pour certains CPL basiques, c’était un des gros reproches faits au CPL). Si vous avez des prises CPL pour distribuer la connexion Internet dans votre domicile, il n’y aura pas de risque de parasitage ou de sécurité, toujours grâce à la basse fréquence des modules Wattlet qui leur permettent de coexister avec des CPL déjà existant.

De plus, le protocole de communication entre les module dispose de systèmes évitant les erreurs : les messages échangés entre les modules ont des accusés de réception et sont transmis avec un système anti-collision (CSMA/CD). On arrive donc à une haute fiabilité : le risque de perte d’une commande est de 1 sur 40 millions.

On a donc ici un protocole bien optimisé.

À venir : compatibilité entre Wattcube et votre système domotique !

Wattlet va également sortir très prochainement le Wattcube Web, une passerelle entre d’une le réseau électrique sur lequel sont reliés les modules Wattcube en CPL, et d’autre part, soit une interface RS-485, soit une entrée Ethernet.

Schéma du Wattcube Web

À la clef, la possibilité de voir directement les modules existant, mais aussi de créer des url qui permettra à une box d’actionner les charges reliées aux modules Wattlet.

Wattlet web : présentation des modules

Via un scénario ou via un appareil virtuel (selon la box), il sera donc possible d’allumer et éteindre les lampes (ou autres appareils reliés aux actionneurs Wattlet) via une box domotique… Et donc de les utiliser dans des scénarios !

Wattlet web : URL de commande

Rendez-vous en septembre pour la sortie du Wattcube Web, nous lui consacrerons très certainement un article.

Conclusion

Vous l’avez vu, la solution Wattcube apporte de nombreuses possibilités. Parmi ses qualités, on relèvera qu’elle est tout d’abord très fiable, utilisant d’une façon différente le principe des CPL qu’on connaissait déjà. Elle garde cependant tous les avantages du courant porteur de ligne : portée et simplicité d’installation.

L’installation est très simple puisqu’on peut se relier à n’importe quel point de l’installation où on a accès à la phase et au neutre : pas besoin de relier une ampoule et un interrupteur, il suffit de placer un module Wattcube entre l’un des deux et les lignes électriques. Donc, même dans le cadre d’une rénovation, c’est un système qui n’est pas lourd à installer.

La programmation via le badge est extrêmement intuitive. Il suffira de trois étapes : passer le badge devant l’interrupteur, puis devant l’actionneur qu’il doit piloter, et à nouveau devant l’interrupteur. Les LED des modules Wattlett permettent à tout moment de savoir où on en est dans l’opération et si les modules ont bien reconnu le passage du badge. Un avantage est qu’on demande l’association directement au niveau des appareils eux-même : pas besoin de savoir comment on a appellé une lampe pour faire une programmation : il suffit de passer le badge dessus. C’est un gain de temps et un moyen d’éviter d’éventuelles erreurs de raccordement.

Et avec en plus la perspective de pouvoir contrôler les actionneurs via une box domotique avec la passerelle Web, Wattcube s’impose comme une solution de domotisation très intéressante, avec en plus une gamme de modules assez variés pour répondre à tous les besoins. Nous sommes plutôt convaincus, et vous ?

Le Withings Pulse : améliorez votre santé avec un coach de poche !

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À Planète Domotique, nous aimons beaucoup les objets avec un design « geek », surtout quand ils embarquent une bonne quantité de fonctions et qu’ils sont facilement connectables. Il était donc assez logique pour nous de succomber au nouveau produit de Withings, le Pulse, et de vous le proposer dans notre boutique.

Withings Pulse

Aussi petit qu’une boite d’alumettes (43 mm de hauteur, 22 mm de largeur et 8 mm d’épaisseur), le Pulse entend bien vous accompagner partout, et en tout instant, que ça soit pendant vos activités quotidiennes, pendant du sport, de la marche, et même pendant votre sommeil.

Le petit boitier est très agréable à manipuler, et dispose d’un écran OLED monochrome de 128×32 pixels. Là où Withings a assuré (je trouve), c’est qu’ils ont très bien optimisé cet affichage pour en faire quelque chose d’esthétique, avec des chiffres angulaires qui ne sont pas sans rappeler des jeux vidéo de l’époque 8 bits (ou au moins Tetris pour les moins joueurs d’entre vous), et des icônes efficaces qui indiquent quelle fonction est en cours d’utilisation.

On est d’accord, on ne s’attend pas à voir des vidéo en 1080p sur cet écran (et ça n’est pas le but), mais l’affichage reste très agréable et permet de donner l’info à tout moment. Et puis pour lire une grande quantité de données, on va très vite préférer l’écran de son smartphone ou de sa tablette, quelque chose sur laquelle je reviendrais plus bas.

Notez une chose (qui va plaire aux adeptes d’Apple et de la réduction du nombre de boutons) : l’écran est tactile, on peut donc le commander pour voir l’historique récent (les 10 derniers jours) et passer d’une fonction à une autre. Précisons enfin qu’il dispose de 2 semaines d’autonomie sans charge, qu’il se recharge via USB et qu’il envoie ses données en Bluetooth.

Voici le contenu de la boite au déballage :

Unboxing du Pulse de Withings

  • Le Withings Pulse ;
  • Un guide d’installation rapide ;
  • Un bracelet pour le suivi du sommeil ;
  • Un clip avec housse pour activités sportives ;
  • Un câble de recharge USB (court, mais assez rigide pour soutenir tout seul le Pulse lorsqu’il est relié à un PC !).

Lors du premier démarrage, le Pulse vous demandera une synchronisation avec un appareil mobile compatible (iPhone ou Android). Il s’associera ensuite avec cet appareil, et si nécessaire, effectuera une mise à jour. Le fonctionnement de l’appareil est indiqué par une série de tutoriels sur le smartphone ou la tablette associé(e), vous pouvez ainsi directement apprendre à vous servir du Pulse et de ses fonctionnalités.

Mise à jour Pulse

Mais je vous parle de nombreuses fonctions, il est donc largement temps de vous les présenter !

Le suivi d’activité

Dans la journée, le pulse mesure et calcule quatre données principales :

Podomètre : il enregistre le nombre de pas et la vitesse de marche
Distance : mesure de la distance parcourue, pour voir avec fierté le nombre de kilomètres accomplis
Dénivelé : escaliers ou randonnée en montagne, le Pulse mesure et enregistre les mètres gravis et en tient compte dans ses mesures.
Calories : à tout moment, vous pouvez savoir le nombre de calories brûlés dans la journée. Pour moduler les efforts efficacement.

Mesures du pulse

Ces mesures sont affichables individuellement, mais le mode qui intéressera le plus les courreurs et les joggers sera sans doute le mode « course » : un appui sur le bouton lorsque vous êtes en train de courir, et le Pulse affichera la durée de l’effort et la distance parcourue.

Bien sûr, tout ceci est stocké dans la mémoire du Withings de manière à le synchroniser par la suite avec un smartphone ou une tablette et avoir des données sur son effort.

Le Pulse peut être glissé dans une poche ou dans un sac, mais plus spécifiquement pour l’usage lors de l’activité sportive, il est fourni avec une coque en sillicone et un clip qui permet de le fixer à sa ceinture ou à sa brassière.

Clip du pulse

Les phases de sommeil

Le sommeil est la base de votre forme et de votre santé, et le Pulse se propose de vérifier sa qualité pour vous. En le portant la nuit (grâce à un bracelet prévu à cet effet, fourni dans la boite du pulse), vous pourrez au réveil avoir une mesure de la qualité de votre sommeil : les différentes phases de sommeil lourd / sommeil léger, ainsi que les éventuels réveils au cours de la nuit (dont on ne se souvient pas forcément).

Vous aurez ainsi toutes les infos en main pour voir si votre sommeil est satisfaisant ou non, et si vous êtes encore fatigué au réveil, vous pourrez avoir des pistes sur ce qui peut causer le problème !

Suivi sommeil avec le pulseBracelet de nuit pour le Pulse

Mesure du rythme cardiaque

Autre petite fonction bien sympathique, le Pulse vous permet de mesurer votre rythme cardiaque juste en passant le doigt sur un capteur situé au dos de l’appareil. Ceux qui ont fait du cardiotraining savent à quel point il est important de surveiller cette mesure pendant l’exercice, les autres pourront tout simplement vérifier leur pouls avant un rendez-vous important, à la fin d’un exercice, mais également au repos. Comme toutes les autres mesures, le Pulse sera capable de vous restituer ensuite le pouls dans l’application de votre Smartphone, vous pourrez donc obtenir un graphique montrant comment évolue votre rythme cardiaque selon les moments de la journée.

Pulse mesure pouls

Et la connectivité ?

Le Pulse de Withings est entièrement compatible avec l’iPhone (3GS, 4, 4S, 5, touch à partir de la 3e génération) et les smartphones sous Android (v 2.3.3 et supérieure), mais également avec les tablettes (iPad, iPad Mini et tablettes Android v 2.3.3 et supérieure, compatibles Bluetooth).

Tout l’échange de données se fait via Bluetooth. L’application Withings est disponible sur l’App Store et Google Play, et le produit est fourni avec un comptes Withings qui permet d’avoir accès à ses données en lignes (attention, pour l’envoi des données il vous faudra une connexion Internet sur le téléphone ou la tablette, donc 3G ou WiFi).

Mais ça n’est pas tout : Withings a un partenariat avec de nombreuses applications dédiées à la santé (gratuites et payantes), ce qui vous permettra d’envoyer vos données dans l’application de votre choix (si vous en utilisez déjà une) et d’augmenter largement le champ des possibles.

Par exemple, une application sur la nutrition vous permettra de gérer votre apport énergétique lors des repas par rapport au nombre de calories dépensées dans les exercices qui suivent.

Bref, avec autant d’atouts dans sa manche, le Pulse a de beaux jours devant lui.

Piloter sa Freebox Révolution avec sa box domotique – Acte 2 : FreeboxOS

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Suite à la mise à jour de nos Freebox Révolution survenue il y a quelques semaines, je vous propose aujourd’hui une mise à jour de la classe PHP que je vous avais proposé peu avant le passage sous Freebox OS (vous pouvez retrouver mon article ici) et qui vous permettait de faire communiquer vos box domotique et internet.

La mise à jour proposée par les développeurs de chez Free, en plus d’amener une nouvelle interface graphique, des applis Androïd et Apple ainsi que de nouvelles fonctionnalités, intègre l’ajout d’un serveur REST API permettant de développer sa propre application s’interfaçant avec sa Freebox. La création de cette API officielle va rendre obsolète le script PHP que je vous avais proposé il y a peu.

L’API Freebox OS :

Ce qu’il faut savoir tout d’abord, c’est qu’une documentation officielle pour développeurs est disponible ici  pour pouvoir dialoguer avec la Freebox facilitant ainsi les développements locaux.

Cette API rend disponibles de nombreuses actions / informations du boitier Server et cela en par fonctions classées en différents groupes : Téléchargements, Système de fichiers, Air Media, RRD, Appels / Contacts, Configuration, Stockage, Filtre parental, etc…

Elle fait aussi appel à une authentification différente. En effet, il n’est plus nécessaire de renseigner son mot de passe Freebox pour pouvoir utiliser l’application. Il vous faudra l’autoriser directement depuis la face avant de votre Server, en cliquant sur la flèche droite (= Oui) lorsque le message s’affichera.

NB : par défaut, l’accès aux parties Configuration et Contrôle parental de l’API n’est pas autorisé. Il faudra les aussi les valider via mafreeebox.freebox.fr -> Paramètres de la Freebox -> Gestion des accès.

Enfin, l’authentification se fait via un système de jetons (tokens). Si l’authentification ne fonctionne plus, je vous invite à supprimer le fichier « token » qui a été créé dans le même dossier que les fichiers de la classe PHP et de retenter une authentification.

La classe PHP Freebox :

Cette classe PHP (téléchargeable ici) permet d’accéder à tout ce que propose l’API Freebox OS. Chaque groupe de l’API Freebox OS est traité dans une sous-classe PHP dédiée. Ainsi, pour avoir accès aux fonctions de la partie « Configuration » de l’API Freebox OS, on fera appel (on va voir comment un peu plus bas) à la sous-classe « Configuration » stockée dans le fichier « Configuration » du dossier API.

Afin de faciliter le développement PHP, j’ai repris les mêmes noms de fonctions de l’API Freebox OS. Ainsi, pour connaitre l’état de la connexion Internet, on va utiliser la fonction « Get the current Connection Status » de l’API Freebox OS, fonction du groupe Configuration. En PHP, on fera alors appel à la fonction « GetConnnectionStatus() » de la classe PHP « Configuration ».

 

Dans la classe PHP que je vous propose, vous retrouvez, en plus des fichiers de classe, un fichier freebox.php qui reprend les mêmes exemples que lors de mon précédent article. Seuls les chemins Xpath ont été amenés à changer.

Ainsi, pour accéder à l’état de sa connexion internet, le chemin Xpath sera désormais :

/freeboxOS/Configuration/GetConnnectionStatus/state

Pour connaitre l’espace disque disponible, il vous faudra patienter quelques jours le temps que j’inclue le module « Storage » de l’API Freebox OS dans cette classe PHP.

Toutefois, dès aujourd’hui, il vous est possible de consulter la liste des appels (entrants, sortants, manqués). Le chemin Xpath sera (pour le dernier appel) :

/freeboxOS/Calls_Contacts/GetCallsList/id-0

Pour lancer une commande sur la Freebox, rien de plus facile, il vous suffit de reprendre les mêmes commandes que précédemment, légèrement modifiées :

  • Eteindre la carte wifi : http://IP/freebox.php?do=wifi&val=off
  • Allumer la carte wifi : http://IP/freebox.php?do=wifi&val=on
  • Rebooter la box : http://IP/freebox.php?do=reboot
  • Rebooter la box après XX secondes : http://IP/freebox.php?do=reboot&val=XX  -> Cette commande n’est plus disponible
  • Régler la luminosité de l’afficheur LCD à XX% : http://IP/freebox.php?do=lcd_brightness&val=XX

Je vous invite à jeter un coup d’oeil dans le code PHP du fichier freebox.php pour avoir la liste de toutes les commandes actuellement disponibles, et dans la documentation de l’API Freebox pour toutes celles nouvellement possibles.

Pour les développeurs, ne travaillez que sur un seul fichier PHP, sinon il y aura autant de demandes d’accès à l’API (et donc d’appli différentes  vu de la Freebox) que de fichier différents que vous appelez.

Tutoriaux à venir :

Cette API Freebox OS étant plus développée que celle qui était utilisée jusqu’alors, je vais vous proposer au travers de quelques articles à paraitre ces prochains jours, des petits tutoriels très simples pour exploiter à fond cette nouvelle classe PHP.


Comment piloter ses volets roulants Velux ?

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Me re-voilà à la plume au clavier, car après avoir présenté l’utilisation que je fais de 4 relais de ma carte TCW181b, je vais vous montrer comment j’utilise les 4 autres.
Lors de l’aménagement de mes combles j’ai fait poser deux fenêtres de toit de la marque Velux. Au moment de choisir les volets roulants, je disposais de plusieurs options :

  • Le volet roulant Bricodepot, fonctionnant en 220V et utilisant un interrupteur classique. Ce dernier a un prix attractif et peut-être domotisé sans trop de difficulté,
  • Le volet roulant Velux solaire SSL avec comme avantage son côté « 100% sans fil » mais avec un prix d’achat exorbitant,
  • Et le volet roulant Velux SML, fonctionnant en 24V et nécessitant le module  KUX100 pour le piloter.

Après moultes hésitations, j’ai finalement opté pour le volet roulant Velux SML  pour son pouvoir isolant qui semble supérieur a celui de Bricodépôt. Mais contrairement au préconisation constructeur je n’utiliserais pas le module KUX100 mais ma carte TCW181B et un transformateur 24V.

En effet le volet est en 24V continu ce qui en rend son fonctionnement simpliste :

  • +24V : Ouverture du volet
  • -24V : Fermeture du volet
  • 0V : Arrêt du volet

Si on garde à l’esprit, ce que l’on a appris en cours de physique  ce que Wikipédia nous indique : ses tensions correspondent a des différences de potentielles. Alors en appliquant le montage suivant qui utilise 2 relais de la carte TCW181b, on obtient un système économique pour piloter ses volets roulants.

Schéma de câblage

 

 

Les plus maladroits sceptiques penseront immédiatement aux risques mais ces derniers sont complètement maîtrisés. En effet aucune combinaison des relais ne peut court-circuiter le moteur du volet. En plus le volet dispose d’un capteur qui coupe l’alimentation du moteur lorsque celui-ci force  ( par exemple : lors de son ouverture ou de sa fermeture complète ou quand on coince son chat dedans.)

Voici les 4 cas possibles :

 

Dans ce cas on a 0V aux deux bornes du moteur du volet roulant, la différence de potentiel est nulle donc pas de mouvement du moteur

 

Dans ce cas on a 0V et +24V aux bornes du moteur du volet roulant, la différence de potentiel n’est pas nulle (+24V) donc on a un mouvement du moteur dans le sens A

 

Dans ce cas on a +24V et 0V aux deux bornes du moteur du volet roulant, la différence de potentiel n’est pas nulle (-24V) donc on a un mouvement du moteur dans le sens B

 

Dans ce cas on a +24V aux deux bornes du moteur du volet roulant, la différence de potentiel est nulle donc pas de mouvement du moteur

 

J’attire tout de même  votre attention sur le dimensionnement du transformateur, d’après les spécifications constructeur le volet nécessite une puissance de 25W (doc : page 10.6) soit environ 1A en 24V continu .

Une fois le montage réalisé, il ne reste plus qu’à piloter les relais via des URL. Pour plus d’explication je vous renvoi vers mon précédent billet

Pour les plus écolos d’entre-vous, vous rajouterez une prise télécommandée pour couper l’alimentation du transformateur lorsque le volet n’est pas piloté.

Il y a quelques mois, quand j’ai fait ce montage, c’était la seule solution domotique facilement pilotable par mon système.

Mais depuis, Mickaël a trouvé un nouveau module PlugAndPlay pour faire cela qui est pilotable directement par n’importe quel box domotique avec de simple url le VRT-IP  :

Ce boitier permet de gérer 2 volets roulants, il simplifie grandement le câblage car il y a une prise pour l’alimentation et un bornier pour brancher les deux fils des deux volets roulants qu’il peut gérer. Le câblage est propre et réalisé en 1 minute montre en main.

Il ne vous reste plus qu’a programmer votre système domotique.

L’interface est simple et efficace une URL permet d’ouvrir le volet 1, une autre de le fermer et une dernière de le stopper en position intermédiaire. Idem pour le volet 2.

Je crois que Mickael vous ferra bientôt un article complet sur ce module ;) !

 

 

Lancement d’EvertyGo nouvelle version d’ImperiHome, en route vers la 2.0

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ImperiHome by Evertygo

Le 24 juillet dernier, la nouvelle est tombée : la sympathique équipe à l’origine de l’application ImperiHome – application mobile qui s’interface avec les systèmes domotiques – annonçait la création de leur entreprise Evertygo.

La philosophie reste inchangée : l’équipe conserve les mêmes objectifs de fournir une appli de qualité qui participe à la démocratisation de la domotique. En créant Evertygo, les créateurs d’ImperiHome montrent que leur but est plus que jamais une solution pérenne. Il y a longtemps qu’une version « Pro » d’ImperiHome (version payante offrant d’avantages de fonctionnalités) était envisagée, et l’entreprise n’est qu’une étape logique sur ce chemin. En tous cas nous leur souhaitons bonne chance pour la suite de cette aventure !

Si nous en parlons aujourd’hui, c’est tout d’abord parce que la version 1.9 viens d’être annoncée, mais aussi parce que la version 2.0 d’ImperiHome s’est dévoilée il y a peu avec de nombreuses fonctions très très intéressante.

Parlons tout d’abord de la nouvelle version 1.9.

Au menu, l’ajout de la compatibilité avec le module Eco-Devices de GCE Electronics et l’amélioration du support des produits NetAtmo.

Grâce à l’Eco Devices, Imperihome devient compatible avec la téléinformation. L’affichage permet ainsi de remonter la consommation électrique, ainsi que vos index compteurs. Plus besoin de vous déplacer pour faire la relève de vos index :)

eco1   eco2   eco3

Vous aurez aussi la possibilité de suivre votre consommation d’eau si vous avez un compteur avec sortie impulsion connecté sur l’Eco-Devices.

Pour l’instant, Imperihome ne supporte pas les graphs pour ce module, mais cette fonctionnalité sera ajouté dans une prochaine évolution mineure (1.9.1 ou 1.9.2), avant d’arriver à la « big » version 2.0 dont nous vous parlons ci-dessous.

La version 1.9 ajoute aussi le support des modules additionnels NetAtmo et la possibilité d’afficher les températures en degré Fahrenheit.

netatmo

Ensuite, passons sur la version 2.0 qui sera disponible dans les semaines à venir. Comme vous le montre la vidéo ci-dessous, cette version ajoute une fonctionnalité importante : la création de dashboards.

Des écrans de contrôle sur mesure, où vous pouvez placer boutons pour actionner des appareils, thermo-hygromètres, caméras, données d’heure, de date ou de méteo… Ainsi qu’une fonction de mise en veille très intéressante, avec une fonction de sortie de veille simplement en passant la main devant l’objectif frontal de la tablette !

Tout s’organise autour de Widget, avec la possibilité de créer plusieurs pages qui peuvent être parcourue simplement en slidant d’une page à l’autre.

Bref, plus que jamais, votre système domotique est à portée de doigt, et les smartphones ou tablette sont au coeur de votre système !

Teasing de l'app ImperiHome 2

Voici la vidéo de présentation / teaser qu’a publié l’équipe d’Imperihome sur Youtube il y a peu :

Cliquer ici pour voir la vidéo.

Passons un peu plus en détail la création de page.

Voici à quoi peut ressembler une page avec des widgets comme des caméras, le pilotage de lumière, l’affichage de température :

Screenshot_2013-08-23-21-27-29

Ou une page un peu plus orienté vers de la vidéo surveillance :

Screenshot_2013-08-23-21-27-39

On peut imaginer mettre sur cette page directement un bouton pour allumer une lumière, ouvrir un portail… Vous construisez directement vos interfaces comme vous le souhaitez.

La construction d’une page commence par le choix d’un format prédéfini qui donnera le nombre de widget, leur position :

Screenshot_2013-08-23-21-27-58

Ensuite, il suffira pour chaque page de choisir les widgets. Ces widgets peuvent être des outils standards / générique (date et heure, texte…)  :

Screenshot_2013-08-23-21-28-20

Ou bien sûr des widgets pour piloter les périphériques de votre box domotique :

Screenshot_2013-08-23-21-28-33
Les widgets peuvent bien sûr être des caméras (comme sur les exemples ci-dessus), ou un widget pour piloter votre périphérique :

Screenshot_2013-08-23-21-28-48

Rien qu’en voyant ces quelques screenshots, on comprend que c’est du lourd.

Chez Planète-Domotique, on attends avec impatience de pouvoir la tester pour vous faire un petit retour sur le sujet ;)

 

Mise à jour de l’eeDomus : enOcean, écrans de diagnostics, améliorations de l’API…

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Mise à jour eeDomusDans sa mise à jour de septembre 2013, la eeDomus propose comme d’habitude une bonne dose d’améliorations et de nouveautés. Compatibilité avec des nouveaux produits, utilisation de l’API facilitée, ajout de fonctions bien utiles et améliorations au niveau de l’ergonomie…

Découvrons dès maintenant plus en détails ce que cette mise à jour nous réserve !

Périphériques et protocoles

Support de nouveaux périphériques Z-Wave

 On notera notamment le support des produits de Vision Security.

Détecteur de monoxyde de Carbone
Détecteur de Monoxyde de Carbone Vision Security

Vision Security : détecteur de fumée
Détecteur de Fumée Vision Security

Vision Security : sirène
Sirène Z-Wave ZM1601 à piles – Vision Security

Vision Security : détecteur de choc
Détecteur de chocs et vibration Vision Security

Vision Security : détecteur d'ouverture de garage
Détecteur d’ouverture de porte de Garage Vision Security

Vision Security : détecteur de ouverture
Détecteur d’ouverture de porte – Vision Security

Vision Security : détecteur de mouvement
Détecteur de mouvement

Prise QEES avec mesure d'énergie
Prise QEES on/off avec mesure d’énergie

Prise QEES variateur avec mesure d'énergie
Prise QEES variateur avec mesure d’énergie

+ Support préliminaire des fenêtres et volets de toit de marque Fakro.

Protocoles et périphériques

 Nouveau périphérique : actionneur UPnP pour piloter vos lecteurs UPnP

 RFXTRX : support des protocoles Avidsen/Chacon (Détecteurs de fumée Kingdun), Chacon, ARC/Domia

Détecteurs de fumée interconnectable CHACONExemple : le détecteur de fumée interconnectable CHACON devient supporté grâce à cet ajout.

 

 Support BETA du protocole EnOcean - Capteurs (via le dongle EnOcean)

 Support du module téléinformation USBTIC

 Description de l’interopérabilité entre Eedomus et EtherRain-8 (voir instructions) pour le pilotage de l’irrigation

 Gestion des périphériques USB branchés derrière un HUB USB alimenté

 Les changements de valeurs des Dimmer (FGD211) sont désormais repris instantanément par la box eedomus

 Les tags non utilisés des périphériques RFID peuvent maintenant être supprimés

 RFXUSB/RFXLAN: Meilleure gestion des notifications, l’option Au démarrage du drivers est remplacée par Nouveaux périphériques (Dans ce cas une notification n’apparait que si le périphérique n’est pas référencé)

 Contournement d’un bug introduit par les modules Fibaro FGD211 en version 2.2 (nécessite une exclusion puis une réinclusion du périphérique)

Ergonomie et fonctionnalités

Fonctions pour mobiles

 Notifications Push sur les apps iOS (En cours de validation par Apple) et Android (uniquement disponible en Compte Premium)

 Inclusion Z-Wave depuis les apps pour Smartphones (facilite l’installation à distance de son ordinateur)

 Report des SMS restants en fin de mois (jusqu’à 60 SMS cumulables par mois)

Écrans de Diagnostic

 Ecran de Diagnostic sur les apps iOS et Android

Capture d'écran diagnostic iOs

 Ajout d’un onglet Diagnostic pour aider à la configuration de vos caméras IP

eeDomus - Diagnostic Caméra

Utilisation de l’API

 Les identifiants API ne sont plus nécessaires lorsque les appels à l’API locale sont exécutés par la box elle même (Utiliser des URL de type http://localhost/…)

 Ajout d’un paramètre « notes » dans get->periph_list de l’API afin d’afficher les notes utilisateur

 Les valeurs insérées via l’API pour les périphériques de type « Texte » n’étaient pas historisées

Ergonomie générale

 Introduction des « Thèmes » d’icônes (Configuration / Personnaliser l’affichage). Le thème « Moderne » est activé par défaut, vous pouvez revenir à l’ancien à tout moment.

Thèmes de l'eeDomus

Extrait des trois jeux d’icones proposés :

jeu d'icones initiales
Initial

miniIcones_moderne
Moderne

miniIcones_clair
Clair

 Les règles « Automatiques » sont masquées par défaut pour davantage de clarté (une case à cocher permet de les afficher)

 Les notifications peuvent désormais être supprimées

 Le bouton de verrouillage n’est plus affiché si le code PIN n’a pas été changé

La centrale MyFox et ses périphériques : la sécurité clés-en-mains

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Pack Sécurité MyFoxAujourd’hui nous vous présentons le PackSécurité de MyFox, composé d’une centrale HomeControl 2 de MyFox et de plusieurs périphériques dédiés à la sécurité.

Découvrons ce que propose ce pack et comment se présente l’interface de la HomeControl 2. Attention à ne pas la confondre avec la Home Center 2 de Fibaro, les deux sont quand même très différentes !

Déballage et mise en route de la centrale

C’est parti pour l’ouverture du Pack Sécurité !

Pack MyFox Security

Ce pack contient :

  1. La centrale MyFox
  2. Une sirène d’intérieur, son alimentation et ses piles
  3. Un détecteur de mouvements compatible animaux
  4. Un capteur TAG, qui est un capteur anti-effractions
  5. Une télécommande 4 boutons

Unboxing de la HC2

La boite de la centrale, elle-même, contient :

  • La centrale Home Control 2
  • Un câble Ethernet
  • Un bloc d’alimentation
  • Deux autocollants vous permettant d’indiquer la protection du site par système alarme et vidéosurveillance.

Procédons au démarrage de la Home Control 2. Avant même de brancher cette box, il faut aller à l’adresse http://myfox.me/start et créer un compte.

Login sur le site de MyFox

Puis le site nous demande d’indiquer les numéros de série indiqués sous la boite.

Saisie du SN

Enfin, le site demande de brancher l’alimentation et le câble Ethernet sous la box. Un voyant bleu s’affiche alors sur le côte de la centrale et vous pouvez tester la connectivité.

La centrale émet alors un bip, le site vous indique que la connectivité est établie, et si nécessaire, une mise à jour de la box démarre. Je n’ai attendu qu’une dizaine de minutes avant que le message « Votre centrale est à jour » s’affiche.

 

Et voilà qui est fait, vous pouvez dorénavant accéder à l’interface de votre centrale !

Vous accédez à votre tableau de bord. Par défaut, il est vide, mais on y retrouvera, après ajout des appareils concernés :

  • Un cadre « ma protection » pour définir un niveau de protection
  • Le visionnage d’une caméra en direct
  • La possibilité de déclencher certains types de scénarios
  • Une commande des équipements et des groupes d’équipements (on/off pour un interrupteur commandé à distance)

Tableau de bord HomeControl 2

Le haut du tableau de bord vous indique à tout moment l’état de la centrale : connexion, branchée au secteur ou non, état de la batterie…

L’ajout et la gestion des appareils

En cliquant sur « Mon système », et « Ajouter un appareil », vous pouvez enregistrer sur la centrale les différents appareils de la gamme MyFox. Ils sont triés par catégorie, chaque catégorie sur plusieurs pages.

Home Control 2 : ajouter un périphérique

Si vous cliquez sur le produit à ajouter, la procédure d’ajout propre à ce produit est expliquée en détail. Exemple avec la télécommande :

Home Control 2 : explication de l'ajout

Vous pouvez ensuite saisir un nom d’identification pour votre appareil.

Dans le pack, nous avions aussi la sirène d’intérieur, alimentée à la fois par le secteur et par des piles.

Sirene d'interieur MyFox

Là, si la méthode d’association est un peu plus compliquée (il faut d’abord insérer les piles, puis brancher l’appareil sur le secteur), la centrale explique bien les différentes étapes et rend donc son ajout simple.

La centrale est compatible avec tous les éléments de la gamme MyFox, mais également des prises télécommandées et actionneurs de volets ou de charge de marque DIO.

Pour ce qui est des prises télécommandées, outre le fait de les commander à distance, on peut aussi, les relier à des lampes pour simuler une présence (par exemple, allumer la lumière pendant un certain temps lors d’une soirée où vous n’êtes pas chez vous), ce qui peut dissuader d’éventuels cambrioleurs.

Toutes les caméras IP ne seront pas compatibles, il vous faudra choisir parmi les caméras estampillées MyFox (dont 3 de marque Panasonic).

Une fois un appareil ajouté, il apparaît dans la rubrique qui le concerne. Vous pouvez alors effectuer un paramétrage : renommer l’appareil, et d’autres options (par exemple, pour la télécommande, on peut choisir l’effet du bouton personnalisable ; pour la sirène d’intérieur, on peut choisir quelle(s) alerte(s) on souhaite activer, parmi Alerte E-mail, Alerte SMS, Alerte sonore).

La création de scénarios

Il est possible de créer un scénario  très facilement, que l’on pourra lancer soit sur simple demande, soit en fonction d’évènements et de critères tels que l’heure, le changement du niveau d’alarme, la détection d’un risque en particulier… On peut choisir de ne déclencher le scénario que dans certaines tranches horaires ou certains niveaux d’alarme (idéal pour ne pas avoir un détecteur de mouvements qui fait retentir la sirène quand on est chez soi).

Home Control 2 : éditeur de scénarios

L’interface est très simplifiée et donc très accessible, créer un scénario est aussi simple que de répondre à une série de questions à propos de ce qu’on souhaite faire.

Home Control 2 : éditeur de scénarios, suite

En revanche petite nuance cependant par rapport à la plupart des box domotiques classiques, on ne pourra pas directement faire de scénario aussi précis que « une télécommande déclenche une lampe ».

Pour allumer une lampe avec un bouton de la télécommande, il faut créer un scénario « Sur demande » où on actionne cette lampe, puis assigner ce scénario au bouton de la télécommande (en allant dans la rubrique « Mon Système » où on gère les différents appareils).

Home Control 2 : déclencher lampe par télécommande

De toutes façons, cette centrale étant résolument tournée vers de la sécurité, donc cette façon de fonctionner n’est pas étonnante. De plus, comme vous le verrez ci-après, les fonctions pour actionner des appareils sont destinées à être sur le smartphone, pas sur la télécommande.

Enfin, cette rubrique permet également de créer des groupes : groupes d’actionneurs ou de caméras, qui permettront par exemple d’ouvrir tous les volets d’une même pièce d’un coup, toutes les lampes d’une salle, etc.

Les onglets Alertes, Services et Applications

Parcourons les trois derniers onglets que nous propose la centrale Home Control 2

L’onglet alertes vous permet de créer jusqu’à 4 différents « contacts » (personnes avec leurs coordonnées) et de demander à la centrale de les contacter, selon le type de problème et le moyen de communication : e-mail, sms ou appel vocal. Une façon très simple de gérer qui est prévenu  selon le type de problème, qui évite de faire ces réglages en faisant de nombreux scénarios et qui vous permet d’un coup d’œil de voir comment ces alertes sont définies.

Home Control 2 : gestion des alertes

L’onglet services vous permet de vérifier l’état de votre service en cours et éventuellement de souscrire à un service plus étendu si nécessaire (par exemple si vous voulez principalement être alerté par SMS, il sera utile de souscrire le forfait qui proposes des SMS illimités).

Home Control 2 : onglet des services

Enfin, l’onglet applications répertorie les différentes applications existantes, qui ont vocation à faire de votre smartphone (iPhone ou Android) une véritable télécommande tactile.

Home Control 2 : applications mobiles

Avec les applications, vous pourrez armer ou désarmer la protection, voir les images de vos caméras IP reliées à la box, mais également actionner les équipements tels que les volets automatiques, les portails, les thermostat.

Conclusion

La sécurité fait partie des besoins les plus recherchés dans les équipements domotiques. Avec sa centrale, MyFox propose une solution clé-en-main qui permet une mise en place rapide d’un système de sécurité, même pour ceux qui s’équipent pour la première fois.

Pas de problème de compatibilité, puisque qu’il n’a pas vocation à être compatible avec absolument tous les modules existant, mais tous les modules MyFox (qui couvrent quasiment tous les besoins possibles en terme de sécurité) ainsi que quelques modules DIO.

Pour vraiment créer des scénarios complexes avec utilisation de sources extérieures, d’API, etc., et pour utiliser des modules avec retour d’état, on optera pour une box plus classique. Mais la Home Control 2 de MyFox, avec ses produits compatibles, sera un bon choix dans tous les cas où vos besoins sont orientés vers la sécurité, en proposant en bonus du pilotage domotique sur certains modules DIO.

Je retiendrai surtout la facilité des instructions pour la mise en route, l’association des modules à la centrale et la création de scénarios. Cette box est un modèle en terme de facilité d’utilisation, qui en fait un bon choix, particulièrement pour les néophytes qui vont avoir besoin d’une solution fiable, simple et rapide à mettre en place.

L’inclusion/l’exclusion Z-wave via l’application eedomus sur Androïd et iOS

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Jusqu’à dernièrement, pour inclure ou exclure un périphérique Zwave de sa box eedomus, il fallait toujours passer via le portail https://secure.eedomus.com, menu Configuration.

Il est désormais possible de faire cette opération grâce à l’application Androïd dédiée (que vous pouvez retrouver sur Google Play) en version 1.1.5 minimum. Nous allons voir comment.

Processus d’inclusion :

Comme toute inclusion Z-wave (l’exclusion est moins soumise à cette contrainte) il faut placer le périphérique à ajouter au plus près du contrôleur Z-wave, la box eedomus dans notre cas. Pour faciliter cela, l’inclusion est désormais possible à partir d’appareils portables sous Androïd (et bientôt sous iOS) tels que tablettes et smartphones. Vous permettant ainsi d’être au plus près de votre box eedomus lors du processus d’inclusion.

Fonctionnement via l’app eedomus :

Rendez-vous ensuite sur l’application eedomus de votre appareil Androïd, et cliquez sur le bouton de veille en haut à droite de l’écran.

Inclusion App Android Eedomus 1

Une nouvelle page s’affiche, sélectionnez le menu « Inclusion / exclusion Z-wave ».

Inclusion App Android Eedomus 2

Puis le menu « Inclusion Z-wave Eedomus ».

Inclusion App Android Eedomus 3

Un rappel des prérequis s’affiche, cliquez sur « Démarrer l’inclusion Z-wave » pour démarrer le processus d’inclusion.

Inclusion App Android Eedomus 4

Les différentes phases d’initialisation défilent, jusqu’à la page vous demandant d’effectuer la procédure d’inclusion (simple clic, triple clic, appui long…) sur votre périphérique.

Inclusion App Android Eedomus 5

Le périphérique est alors détecté (nomalement :-) ).

Inclusion App Android Eedomus 6

Puis inclus. La procédure d’inclusion s’étant bien déroulée, il vous suffit alors de terminer la configuration de votre périphérique sur le portail eedomus.

Inclusion App Android Eedomus 7

Pour terminer cette configuration, il vous faut alors votre rendre dans la page des notifications. Une ligne vous indique qu’un périphérique a été inclus et qu’il vous reste à le configurer en cliquant sur « configurer ».

La procédure d'inclusion s'étant bien déroulée, il vous suffit alors de terminer la configuration de votre périphérique sur le portail eedomus 8

 La procédure est alors la même que lors d’une inclusion depuis le portail.

La procédure d'inclusion s'étant bien déroulée, il vous suffit alors de terminer la configuration de votre périphérique sur le portail eedomus.9

Et voilà, votre périphérique est inclus et configuré.

Lors de l’inclusion, même si l’application vous permet de vous déplacer ou vous le souhaitez, il faut toujours que le périphérique soit au plus près de votre box domotique. Si possible, installez le à l’endroit final ou il sera positionné afin de permettre à celui ci de détecter ses périphériques voisins au moment de l’inclusion.

Cette méthode d’inclusion/exclusion depuis une application Androïd (et bientôt iOS) est très pratique si votre eedomus (et donc le périphérique à inclure) n’est pas à proximité immédiate d’un ordinateur. Il vous suffit alors d’utiliser un périphérique Androïd pour faire l’inclusion et de terminer la configuration toujours depuis votre appareil portable ou alors devant un ordinateur classique.

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