La prise connectée Z-Wave Plus de NodOn inclut une fonction très pratique : la détection d’une coupure de courant. Concrètement, cela veut dire qu’à partir du moment où cette prise est incluse dans un réseau Z-Wave, la prise peut avertir le contrôleur principal de l’interruption et du rétablissement du courant électrique dès lors que ces évènements ont lieu. Il est cependant nécessaire, comme vous le verrez dans cet article, que le contrôleur dispose de la modélisation précise de la prise NodOn. Procédons à ce test !

Mise en place et inclusion de la prise NodOn

Comme les autres produits NodOn, la prise connectée Z-Wave est présentée dans une boite esthétique en carton qui protège efficacement la prise. En ouvrant cette boite, nous trouvons bien sûr le périphérique lui-même, mais aussi deux version du manuel, anglais et français.

La prise en elle-même est totalement dans la norme des prises connectées, avec cependant un avantage non négligeable : son branchement est réversible car elle dispose de 2 trous symétriques pour la mise à la terre. Donc concrètement, sur une même prise, vous pourrez la brancher tête en haut ou tête en bas.

Elle dispose également d’un bouton qui tient aussi le rôle de voyant lumineux, permettant à la fois de connaître le statut de la prise, de la commander, et de gérer les opérations d’inclusion et exclusion Z-Wave.

En parlant d’inclusion, celle-ci est très simple : il suffit de mettre le contrôleur en mode inclusion et appuyer plus de deux secondes sur le bouton de la prise. La prise est immédiatement reconnue et incluse.

Contrôle à distance de la prise et utilisation de la fonction de détection de coupure de courant

Après avoir été incluse dans la box domotique, la prise donne son retour d’état « allumée » ou « éteint. Comme tout autre appareil du même type, il suffit de cliquer pour passer la prise de l’état ON à OFF.

La valeur ajoutée de la prise est dans sa détection des coupures de courant. Ainsi, lorsqu’on coupe le courant qui doit alimenter la prise, nous obtenons le retour d’état suivant :

Et lorsque le courant est rétabli, c’est également signalé au niveau du contrôleur :

Notez que dans ce cas de figure, le retour d’état reste sur l’indication « Secteur coupé » ou « Secteur rétabli » jusqu’à la prochaine action, il faudra donc envoyer un ordre d’allumage ou d’extinction sur la prise (manuellement ou par commande Z-Wave) pour avoir à nouveau l’état ON ou OFF de cette prise.

Comme tous les autres états, les informations « secteur coupé » et « secteur rétabli » apparaissent dans l’historique des états, ce qui permet d’avoir l’historique des actions ayant eu lieu sur la prise.

En allant dans la configuration du périphérique, nous avons accès aux différentes valeurs prises par le module. Par défaut, seules les valeurs ON et OFF sont visibles par défaut sur cet écran, mais en cochant « Afficher les actions masquées », il est possible d’accéder aux deux actions « Secteur coupé » et « Secteur rétabli ». Sur cet écran il est possible de les renommer et même de changer leur icônes si vous souhaitez les remplacer par des termes ou des images qui seront plus évocateurs pour votre utilisation.

Et bien sûr, c’est là que la prise a tout son potentiel : l’utilisation dans un scénario. En créant un scénario qui se déclenche dès que la coupure de courant est détectée, il est possible d’enclencher une action en conséquence. L’exemple typique est l’envoi d’une notification, mais ça peut être utilisé pour déclencher par exemple une sirène ayant une alimentation indépendante du secteur.

Voici ci-dessous un exemple qui me notifie par e-mail dès que le secteur est coupé :

À noter : vous n’aurez aucun problème si plusieurs sous-circuits sont protégés par différents disjoncteurs et peuvent être donc coupés de manière individuelles (cas où la prise détecte une coupure sur un sous-circuit et que la box reste alimentée car elle est branchée à un autre sous-circuit). Mais pour que la box puisse rester en fonctionnement même en cas de coupure de courant globale, pensez à utiliser une alimentation secourue ou un onduleur afin de conserver le fonctionnement. Idem pour ce qui est de la box Internet / routeurs éventuels, etc. en cas de notification par Internet.

Si la box n’a elle-même plus de courant, elle ne peut pas enregistrer les éventuelles informations de courant interrompu et courant rétabli (ni agir en conséquence, bien sûr).

La prise NodOn Z-Wave avec les autres box

Testée avec plusieurs box (Orange HomeLive, Zibase, Home Center 2 de Fibaro), la prise fonctionne invariablement pour les commandes on/off, mais la fonction de détection de courant coupé et rétabli n’est pas présente sur ces box : il est nécessaire que la fonction soit modélisée précisément pour être exploitable, et elle ne l’est pas sur les box que nous venons de citer. Cependant, il est tout de même possible de tirer parti de cette fonction avec l’utilisation des groupes d’association (voir section suivante pour plus de détails à ce sujet).

En revanche, bonne nouvelle pour les utilisateurs de Jeedom : la fonction de rapport de coupure de courant est bien présente sur cette box. Il suffit de télécharger le plugin Smartplug sur le Jeedom Store pour obtenir directement un accès complet aux fonctions de cette prise.

Mieux, il y a deux icônes, pour différencier d’une part le retour d’état et d’autre part l’état « courant interrompu / courant fonctionnel » détecté par la prise. À gauche, la paire d’icônes indiquant que le courant est en fonctionnement normal et à droite la paire d’icônes indiquant qu’il a été interrompu.

Vous l’aurez constaté, l’intégration de ce périphérique Z-Wave dans Jeedom est impeccable.

Pour aller plus loin : paramétrage et association

Outre les fonctions vues ci-dessus, la prise inclut tout une gamme de paramètres permettant de personnaliser son fonctionnement.

Paramètres

• Paramètre n°1 : définit l’état de la prise (allumée ou éteinte) lorsque le courant est rétabli après une coupure (ou lorsque la prise est branchée)
• Paramètre n°2 : active ou désactive le fonctionnement des groupes d’association 4 à 8. Ces groupes se déclenchent à la coupure et au rétablissement du courant.
• Paramètre n°3 : active ou désactive le fonctionnement des groupes d’association 2 et 3. Ces groupes se déclenchent lors de l’allumage et de l’extinction de la prise.
• Paramètre n°4 : force l’état de la SmartPlug à « ON » (toujours allumée). Il est alors impossible d’éteindre la prise en local ou en radio. Utile par exemple si vous voulez faire uniquement de la surveillance sur l’état local du courant et utiliser la prise gigogne comme une prise secteur normal, délivrant du courant en permanence

Les paramètres 5 à 20 permettent de définir le fonctionnement de la Smartplug selon 4 alarmes différents. Un formulaire est en ligne sur le site de NodOn : en indiquant le type d’alarme qui est émis dans le réseau Z-Wave et comment doit réagir la prise (au début, à la fin et pendant l’alarme), le formulaire vous indiquera quelle configuration saisir dans les paramètres.

Groupes d’association

Comme vous pouvez le constater, grâce aux groupes d’association de 5 à 8, il est possible d’activer ou désactiver différents appareils Z-Wave associé à la prise NodOn du moment qu’ils sont associés et ajoutés à ces différents groupes.

Et techniquement, pour tout contrôleur domotique où les notifications envoyées sur un groupe peuvent être affichées sur l’interface, il est possible d’exploiter le groupe 4 pour obtenir le statut actuel du courant (coupé ou fonctionnel).

Nous espérons que cette présentation vous aura bien renseigné sur les possibilités de cette prise, que vous pourrez bien sûr retrouver sur la boutique !

Voir sur la boutique : Prise gigogne télécommandée Z-Wave+ – NodOn

Cet article Utilisation de la détection de coupure de courant de la prise NodOn est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

En début d’année, nous avions évoqué le programme d’ambassadeurs proposé par Demooz pour le Foobot, analyseur d’air connecté.

Aujourd’hui, Demooz nous propose deux autres objets connectés qui font l’objet de ce programme de test. Le recrutement d’ambassadeurs a lieu jusqu’à ce week-end compris (jusqu’au 24 avril 2016), donc si cela vous intéresse, ne tardez pas à déposer votre candidature.

Rappel du principe de Demooz :

Un ambassadeur inscrit avec Demooz reçoit gratuitement le produit à tester à son domicile : il se familiarise avec l’appareil et l’utilise au quotidien. En contrepartie, les Ambassadeurs sélectionnés accueillent chez eux les personnes de leur ville ayant demandé un test sur la plateforme Demooz pour leur présenter le produit.

Donc tout le monde y gagne : les ambassadeurs obtiennent gratuitement l’appareil testé, et les personnes intéressées par cet appareil peuvent avoir un avis honnête sur le produit et le voir fonctionner dans des conditions réelles !

Voici les deux produits faisant l’objet de ce nouveau programme ambassadeur Demooz, cette fois en partenariat avec Leroy Merlin Toulouse Balma. Les deux solutions proposées ci-dessous sont vendues dans les magasins Leroy Merlin.

La tondeuse robot WORX WG796E

La Worx WG796E est une tondeuse robot sur batterie.

Entièrement autonome et également contrôlable par smartphone, cette tondeuse entretient votre pelouse même lorsque vous n’êtes pas chez vous. Le robot contourne et dépasse les différents obstables du jardin et atteint les zones les plus compleses. Nul besoin de se soucier du niveau de batterie ni de la météo : la tondeuse rentre toute seule à sa base lorsque la batterie arrive en fin et charge et en cas de pluie.

Je veux devenir ambassadeur de la tondeuse robot Worx !

Le robot de piscine ZODIAC OV3450

Le Zodiac OV3450 est un robot nettoyeur de piscine.

C’est un robot électronique conçu pour nettoyer votre piscine de manière totalement autonome. Il dispose de brosses qui éliminent tous les résidus sur le passage du robot, pour les parois comme pour le fond du bassin. Ainsi, vous n’avez pas à fournir le moindre effort : la piscine est nettoyée entièrement par le robot, il ne vous reste plus qu’à plonger dedans et en profiter !

Je veux devenir ambassadeur du robot de piscine Zodiac !

Encore une fois bonne chance à tous ceux qui seront candidats à ce programme et n’hésitez pas à nous faire vos retours sur ces appareils dans les commentaires !

Cet article Devenez ambassadeur Demooz pour la tondeuse robot WORX et le robot de piscine ZODIAC est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Les Prix EDF Pulse présentent pour leur troisième édition les start-up européennes les plus novatrices en matière d’habitat connecté, de ville bas carbone et de e-santé. Six projets classés en trois catégories viennent d’être sélectionnés parmi les quatorze nominés, et c’est maintenant à vous d’élire le plus ingénieux de sa catégorie !

Trois de ces projets ont retenu notre attention, focus…

Ecoisme ou comment facilement connaître et adapter la consommation énergétique de son foyer #Ecoisme

Catégorie Habitat connecté

Avez-vous bien éteint toutes les lumières ? Quelle est la proportion d’énergie solaire utilisée par vos appareils électriques ? Combien consomme votre lave-vaisselle ? Ecoisme vous donne toutes ces informations et bien plus encore pour optimiser la consommation électrique de vos équipements.

Ce projet ukrainien est basé sur la technologie Arduino. Un seul dispositif de détection est nécessaire. Son design est soigné et son paramétrage prend, selon ses créateurs, une dizaine de minutes. Un mot-clef : simplicité. Il vous suffit de placer une pince sur la ligne d’alimentation principale et d’insérer la fiche d’Ecoisme dans une prise de courant pour qu’il détecte vos appareils et leur consommation via le réseau électrique de votre logement.

Vous pouvez ensuite accéder, directement en ligne ou depuis l’application mobile dédiée (iOS ou Android), aux mesures de consommation de vos équipements, même lorsque la consommation est variable (téléviseur, ordinateur portable…). Ecoisme vous offre de surcroît des conseils personnalisés pour vous aider à réduire votre facture d’électricité en vous avertissant par exemple que votre réfrigérateur se situe trop près de votre cuisinière. Il génère même des alertes lorsqu’un appareil est resté allumé alors que vous êtes absent grâce au suivi de votre position sur votre smartphone.

Vous pouvez ainsi contrôler le temps que consacre votre enfant à sa console de jeu, rapidement débrancher votre fer à lisser encore allumé et votre chargeur de téléphone ou fermer une fenêtre restée ouverte en plein hiver qui aura fait surchauffer les radiateurs ! Ecoisme vous prévient à l’aide d’une interface conviviale et facilement accessible.

De plus, Ecoisme reconnaît la part d’énergie produite par vos panneaux solaires si vous en disposez. Vous connaissez alors le moment idéal pour utiliser un appareil (exemple : votre lave-linge) uniquement alimenté par leur production électrique.

Enfin, Ecoisme est aussi capable d’intégrer d’autres systèmes de gestion de l’habitat comme Nest et WeMo. Vous pourrez donc facilement paramétrer des tâches telles qu’allumer votre cafetière ou éteindre votre climatisation.

Vers un éclairage urbain intelligent grâce au capteur Kara #Kawantech

Catégorie Ville bas-carbone

Kawantech est une entreprise française spécialisée dans les réseaux sans fil pour la surveillance des rues, des parkings ou encore des zones de frêt. Elle présente pour ce concours l’ambitieux projet Kara, un capteur dont la précision permet à l’éclairage public d’adapter sa luminosité au passage des personnes et des véhicules.

Ce capteur, déjà à l’essai dans la ville de Toulouse depuis la fin de l’année 2015, est composé d’un processeur d’analyse de forme et d’une optique pour identifier le mouvement sous le luminaire. Ses champs de vision latéral et vertical lui permettent de détecter la présence comme l’absence de piétons et de véhicules dans un rayon de 35 mètres autour de lui, tout en éliminant les mouvements parasites (branches d’arbres, insectes, reflets…). L’intensité lumineuse peut ainsi être associée aux différents flux : elle sera la plus forte lorsque des piétons seront détectés, moindre lors du passage de véhicules et la plus faible en cas d’absence de mouvement. Son point fort est sa précision. Contrairement aux autres capteurs actuels, il peut reconnaître une personne munie d’un parapluie ou qui se déplace en fauteuil roulant.

Cette optimisation de la luminosité permettrait une économie estimée entre 60 % et 80 % de la dépense actuellement allouée à la consommation électrique de l’éclairage public. Cela fait donc espérer pour le futur une répercussion de cette économie sur l’impôt local dans les villes équipées.

Connecté, le module Kara rend possible une maintenance et un pilotage à distance. Il pourrait même dans l’avenir aider à l’optimisation de la régulation des feux et à la mise en place d’alertes en cas de bouchons ou d’accident.

Leka : un petit robot intelligent pour stimuler et comprendre les enfants « exceptionnels » #Leka

Catégorie e-Santé

Présente au CES de janvier dernier et lauréate du concours Silica « Connected world competition » 2015, la start-up française Leka SAS fait de plus en plus parler d’elle. Elle s’apprête en effet à commercialiser Leka, un condensé d’innovations technologiques, notamment robotiques, pour améliorer la vie d’enfants qui rencontrent des troubles du développement comme l’autisme ou sont atteints d’un polyhandicap.

Leka est un petit robot autonome rond comme un ballon, doté d’un moteur, de LED, d’un haut-parleur et de capteurs. (Notons que le système prototype s’est basé sur des composants open source autour d’une carte Arduino et différents shields qui prennent en charge un module de communication bluetooth et des capteurs infra-rouge et de pression.) Sa mission : interagir avec les enfants exceptionnels dont les centres d’intérêts sont parfois restreints pour susciter chez eux motivation et éveil.

Les sessions de jeu sont individuelles ou multi-joueurs et comprennent par exemple des jeux de couleurs, des vibrations, des déplacements ou encore des discussions. Elles durent environ vingt minutes pendant lesquelles sont enregistrées toutes les données issues des interactions. C’est ensuite grâce à des algorithmes de reconnaissance et d’analyse que les données sont traitées. Les progrès de l’enfant peuvent ainsi être mesurés dans le temps.

Leka se révèle comme un véritable outil ludique pour l’enfant et son entourage. Grâce à toutes ses applications, il relève quatre défis majeurs : il encourage les interactions sociales, stimule à la fois la motricité et l’intellect pour enfin guider l’enfant vers l’autonomie.

Leka SAS présente également les possibilités multiples de Leka qui connaîtra des développements pour s’adapter à d’autres publics comme les personnes âgées, les enfants non exceptionnels ou les personnes atteintes de maladies dégénératives.

EDF Pulse veut « donner de l’impulsion au progrès » et accompagne ainsi les entreprises porteuses d’innovation au service de la transition énergétique et des nouveaux usages électriques.

Avec pour volonté première de mettre en valeur les plus brillantes idées, les prix ont également pour objectif de permettre leur développement et leur aboutissement tout en connectant plus étroitement l’écosystème du progrès européen. Après un parcours de sélection et de coaching, une dotation de 100 000 € récompensera chacune des trois start-up lauréates, sans oublier le soutien d’EDF dans le développement et le lancement de leurs projets. Des atouts qui risquent de pérenniser ce concours et de le rendre incontournable face aux enjeux de demain.

Pour accéder à tous les projets finalistes, suivez ce lien : Les 6 finalistes…

N’oubliez pas de voter ! Une fois vos trois votes validés, vous pourrez participer au tirage au sort pour gagner des objets électriques ou connectés :

– un vélo électrique,
– un hoverboard,
– une caméra Groptic 360°
– une famille de capteurs Mother and the motion cookies !

Pour cela, rien de plus simple : rendez-vous sur Twitter avec le # associé au nom du projet + @EDFPulse

Voici les 6 votes possibles :
Je vote pour #Ecoisme avec @EDFPulse !!
Je vote pour Point #MinutHQ avec @EDFPulse!!
Je vote pour #Biomodex avec @EDFPulse!!
Je vote pour #Leka avec @EDFPulse!!
Je vote pour Kara #Kawantech avec @EDFPulse!!
Je vote pour #Montoitvert avec @EDFPulse!!

Vous pouvez également vous rendre directement sur le site EDF Pulse.

Chez Planète-domotique, on a un petit faible pour « Je vote pour #Ecoisme avec @EDFPulse » !

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont ceux de l’équipe et correspondent à notre retour par rapport à cette excellente initiative.

Cet article EDF Pulse 2016 : trois start-up européennes bientôt récompensées pour leurs projets novateurs est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Chez Planète-domotique, nous aimons particulièrement la carte Raspberry-Pi.

Cette petite carte, de la taille d’une carte de crédit n’est ni plus ni moins qu’un petit ordinateur d’un rapport qualité prix imbattable.

Aujourd’hui, nous allons vous présenter comment installer un système sur une carte SD ou Micro-SD afin de pouvoir démarrer votre Raspberry-Pi facilement.

Nous ferons le guide avec une Raspbian mais la procédure est la même pour n’importe quelle distribution Raspberry-Pi.

Pour ceux qui pourraient trouver cette procédure compliquée, nous vendons sur notre boutique des cartes SD ou Micro-SD avec différents systèmes pré-installé : Nos cartes Micro-sd pré-installées

Tout d’abord, il vous faudra une carte SD. De préférence une version classe 10 qui vous permettra d’avoir les meilleurs performances pour ce type d’utilisation.

Vous pouvez prendre une carte neuve (par exemple Micro SD 4Go ou Micro SD 8Go) ou récupérer une ancienne carte et la formater (nous allons vous expliquer la procédure).

Attention toutefois à bien noter que le nombre d’écriture sur une carte SD n’est pas infini. Pour une utilisation optimum, nous vous conseillons donc de préférence une carte neuve de type classe 10.

Avec Windows :

Pré-requis : 

– Une carte SD ou Micro-SD selon le raspberry
http://www.planete-domotique.com/carte-micro-sd-4gb-classe-10-intenso.html
– La dernière version de la distribution que vous souhaitez installer.
Rasbpian : https://www.raspberrypi.org/downloads/raspbian/
– Le Logiciel Win32DiskManager
https://sourceforge.net/projects/win32diskimager/files/latest/download
– Le logiciel SDFormater
– Un raspberry 1,2,3
http://www.planete-domotique.com/catalogsearch/result/?q=raspberry

Notez qu’au niveau matériel, vous aurez besoin de pouvoir écrire sur la carte SD, ce qui implique soit un ordinateur avec un port adapté, soit de prendre un lecteur de carte SD externe.

Formater la carte SD 

• Lancez le logiciel SDFormatter.
  La fenêtre suivante apparaît :
  
• Vérifiez soigneusement que c’est bien la bonne carte SD qui a été choisi par le programme pour le formatage (ici G:).
• Cliquez sur le bouton “OPTION”.
  La fenêtre suivant apparaît :
  
• Mettre l’option FORMAT SIZE ADJUSTEMENT sur ON .
• Cliquez sur “OK” pour valider.
• Cliquez Ensuite sur “Format”.
• La fenêtre suivant s’ouvre :
  
• Cliquez sur “OK”
• Attendez la fin du formatage de la carte.
  La fenêtre de confirmation suivante devrait apparaître.
  
• Le formatage de la carte est finie. Cliquer sur “OK” puis “Exit”.

Copie du système sur la carte SD 

• Installez Win32DiskManager sur votre ordinateur.
• Vous avez donc une archive « .zip » de Raspbian, décompressez là et vous devriez obtenir un fichier « .img ».
  https://www.raspberrypi.org/downloads/raspbian/
• Insérez votre carte SD dans le lecteur de votre ordinateur
• Lancez Win32DiskImager et cliquez sur l’icône représentant un dossier à droite du champ « Image File ».
  
• Choisir le fichier .img
• À droite de l’icône en forme de dossier, dans le champ « Device », choisissez le lecteur correspondant à votre carte SD ou MicroSD.
• Choisissez le lecteur correspondant à votre carte MicroSD
• Une fois ceci fait, cliquez sur le bouton « Write »
  Vous verrez alors l’écriture de l’image sur votre carte SD progresser.
• Une fois l’écriture terminée, la fenêtre affiche « Done » sous la barre de progression.
• Quittez Win32DiskImager, et éjectez votre carte SD !
• Insérer votre Carte dans le Raspberry
• Vous pouvez désormais utiliser votre système.

Avec Mac :

– Une carte SD ou Micro-SD selon le raspberry
– La dernière version de la distribution que vous souhaitez installer.
Rasbpian : https://www.raspberrypi.org/downloads/raspbian/
– Le Logiciel ApplePi-Baker
– Un raspberry 1,2,3

Copie du système sur la carte SD 

• Exécutez le programme ApplePi Baker, saisissez le mot de passe Admin quand le système vous le demandera.
  La fenêtre suivante apparaîtra :
  
• Choisissez  votre Carte SD
• Cliquez ensuite sur “IMG to SD-Card”
• Choisissez le fichier image .img de la distribution que vous souhaitez installer.
• Attendre la fin du chargement.
• Le message suivant devrait apparaître quand la carte SD est finie.
  
• Ejecter votre carte SD !
• Insérer ensuite la carte SD dans le Raspberry

Avec Linux :

En ligne de commande : 

Attention toutefois à bien noter que le guide a été réalisé avec une Debian, les commandes pourraient être différente selon la version de linux employé.

Formater votre SD :

Démontez d’abord la clé avec cette commande :

Ne pas oublier de remplacer “votre_disque” par le nom de votre carte

umount /media/votre_disque

Identifiez le périphérique avec la commande :

ls -ltr /dev/*

Supposons que le périphérique concerné est /dev/sda2, nous voulons une carte au format FAT32 avec comme nom “Carte_Raspberry”, il faudra le préciser avec la commande :

sudo mkfs.vfat -F 32 -n Carte_Rapsberry /dev/sda2

Copie du système sur la carte SD 

Pour installer Raspbian sur la carte, nous allons utiliser la commande « dd » :

Ne pas oublier de remplacer “Chemin_vers_le_img_de_rapbian” par le chemin du fichier image de Rapsbian et “votre_carte” par le nom de votre carte.

sudo dd bs=1M if=chemin_vers_le_img_de_raspbian of=/dev/votre_carte

L’écriture de Raspbian sur la carte SD peut être un peu longue. Là encore, c’est tout à fait normal.

Une fois que le terminal vous aura rendu la main, vous pouvez retirer votre carte SD, avec la commande suivante :

umount /media/votre_disque

Et voila, en espérant que cet article vous permettra de démarrer rapidement avec votre Raspberry-Pi.

Cet article Créer une carte système pour Raspberry Pi (version 1,2 ou 3) est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

L’Eco-device est capable de suivre la consommation d’eau, de gaz, et indicateurs d’électricité différents (électricité et production).

Complètement autonome, il n’a pas besoin d’une autre machine qui tourne en permanence pour fonctionner.

Vous pouvez avoir besoin d’une plus grande précision d’affichage des données, de vouloir créer des graphiques, de vouloir vous envoyer des informations par mail, SMS, Tweets …

Notifix, un  service développé par GCE Electronics pour les IPX800 et les Eco-devices, vous permet de le faire.

Nous verrons dans ce guide comment créer un compte et permettre d’afficher les informations sur votre panel notifix.

Nous ferons le guide avec l’éco-devices mais la procédure est la même pour l’IPX-800.

Création du compte Notifix : 

Pour créer votre compte, il suffit d’aller sur sur site de Notifix

La page suivante apparaît :

Cliquer sur “Je m’inscrit maintenant”, en bas de la page pour pouvoir créer votre compte.

Remplissez ensuite tous les champs avec les informations correspondantes.

Quand tous les champs sont remplis, cliquer sur “S’inscrire”.

Vous devriez voir cette fenêtre apparaître qui confirme la création de votre compte.

Cliquez alors sur OK.

Pour utiliser votre compte, il faudra cependant attendre qu’un administrateur l’ai activé.
Il faudra pour cela que vous ayez bien rempli le champs “numéro de série” de l’appareil.

Récupération du code nécessaire à la synchronisation entre Notifix et l’Éco-Devices (ou l’IPX-800): 

Une fois votre compte validé vous obtiendrez votre clé Utilisateur. Elle est à renseigner sur votre Eco-Devices ou IPX800 pour pousser vos données sur le portail Notifix.

Pour récupérer cette clé utilisateur, rendez vous sur le site de Notifix.

Rentrez les identifiants précédemment créés.

Cliquez ensuite sur connexion, pour vous connecter au portail Notifix.

Vous devriez voir apparaître la fenêtre suivante :

Vous êtes sur votre panel Notifix.

Cliquez ensuite sur “Mon compte”.

La fenêtre suivante s’ouvre :

Tous en bas de la fenêtre vous verrez apparaître la fameuse “clé utilisateur” à rentrer dans votre Eco-Devices.

Notez la bien.

Configuration de l’Éco-Devices : 

Pour configurer l’Éco-devices afin de permettre la remontée des informations dans Notifix, rendez vous sur l’interface de votre Éco-Devices.

Cliquer ensuite sur l’onglet M2M pour afficher la page de configuration du serveur M2M et de notifications globales. Vous verrez la page suivante s’afficher :

Regardez la partie “Notifications globales”. C’est celle qui nous intéresse pour Notifix.

Dans le champ “Serveur /IP”, renseignez l’adresse de Notifix c’est à dire “notifix.fr”.

Dans le champ “Port”, renseignez le port 80.

Dans le champ “Intervalle de temps”, renseignez le nombre de secondes

A la place de “N°Serie” écrire le numéro clé Utilisateur que vous deviez noter.

La ligne afficher renseignera la consommation des heures creuses et pleines.

Vous pouvez cependant modifier cette ligne pour afficher la consommation de gaz ou encore beaucoup d’autres informations (voir fenêtre suivant).

Une fois tous les champs bien rempli cliquer sur “Sauver”.

Rendez-vous maintenant sur votre interface Notifix.

Vous pourrez observer un graphique de vos consommations.

Réglages des notifications SMS via l’API Free SMS, mail, tweets : 

SMS via API Free SMS

Si votre opérateur mobile est Free, il vous est possible d’envoyer des message par l’intermédiaire de l’API Free Sms.

Pour ce faire il vous suffit de rentrer votre identifiant et votre mot de passe Free pour pouvoir envoyer des SMS depuis votre produit Éco-devices ou votre IPX-800.

Vous pourrez récupérer les informations d’identifications de Free depuis votre espace abonné Free mobile.

Rendez vous sur votre panel Notifix.

Cliquer sur “Envoyer un sms avec Free API”.
Cette fenêtre s’affiche alors :

Complétez les informations, et rentrer cette URL dans le champs “Push 1” : /sms.php?key=N°Serie&mess=Message

Remplacez “N°Serie” par votre clef utilisateur précédemment notée.
Remplacez “Message” par votre message.
Attention tous les espaces de votre message doivent être remplacés par des +.

Cliquez ensuite sur save pour savegarder les données.

Copier cette URL, dans votre presse-papier. Pour ce faire, sélectionnez l’adresse et copiez la en faisant un CTRL-C et CTRL-V.

Rendez vous Ensuite sur l’interface web de votre Éco-devices ou IPX-800.

Cliquez sur M2M.

Rentrez cette adresse dans la champs URL située dans la partie Notifications globales.

Sauvegardez ensuite l’adresse en cliquant sur “Sauver”.

Notifications par Email : 

Pour recevoir des notifications par email, rendez vous sur votre panel Notifix.

Cliquer sur “Envoyer un email”.

Cette fenêtre s’affiche alors :

Remplissez les champs, et cliquez sur valider.

Vous trouverez alors dans le tableau « Mes Emails » l’URL à insérer dans la page M2M de votre IPX ou votre Éco-device.

Vous recevrez alors par email les informations de votre Éco-device.

Notifications par Tweets : 

Vous pouvez aussi envoyer une alerte sur votre compte Twitter.

Pour ce faire rendez vous sur votre panel Notifix.

Cliquez sur “Envoyer un tweet”. La fenêtre suivante apparaît :

Inscrivez dans le champ « Contenu », le contenu de votre Tweet.
Attention, un tweet ne peut pas dépasser 140 caractères.

Enfin cliquer sur valider.

Si c’est le premier Tweet que vous envoyez, vous serez redirigé sur le site Twitter afin d’autoriser la publication via votre produit GCE.
Vous trouverez alors dans le tableau « Mes Tweets » l’URL à insérer dans la page M2M de votre IPX ou votre Eco-device.

L’URL se présente sous cette forme : « /recepNotif.php?num=111&key=XXXXXXXXXXX »,

111 correspond au numéro du Tweet
xxxxxxxxx est votre clef d’utilisateur

Rentrez alors cette URL modifiée dans votre Éco-devices ou IPX-800

Vous allez désormais pouvoir recevoir des notifications pour tous les événements important de votre domotique et avoir un relevé vraiment précis de vos consommations.

Cet article Notifix : Historique et notification pour Eco-devices est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Aujourd’hui, nous présentons une solution multiroom innovante, le Sonoé iEast. Il s’agit d’un récepteur multiroom pour l’audio qui vous permet de diffuser les sources audio de votre choix dans les salles de votre choix. Concrètement, le principe est d’avoir plusieurs récepteurs comme celui-ci au sein de votre habitation, et de pouvoir diffuser la musique de votre choix, des sources de votre choix, et de la diriger également dans la salle de votre choix parmi celles munies de Sonoé iEast. Ce boitier peut aussi s’utiliser en solo, pour streamer les contenus audio de votre choix vers votre home cinéma par exemple. L’intérêt est alors principalement apporté par la solution est la multitude de sources possibles et le fait de pouvoir commander directement le son diffusé via un Smartsphone ou la télécommande fournie, comme nous allons le voir ci-dessous.

Unboxing et installation de la solution Sonoé iEast

La vidéo ci-dessous vous présente l’unboxing de la solution et la découverte de ses différents éléments livrés dans la boite du produit.

Nous y retrouvons donc le boitier lui-même, une alimentation via un câble USB et un adaptateur USB vers secteur, deux câbles audio (jack 3,5 mâle mâle et jack 3,5mm vers double RCA), ainsi que la télécommande et un guide d’installation.

Au niveau des câble audios, typiquement le câble avec les connecteurs stéreo RCA sera utilisé pour relier le boitier Sonoé iEast au système de son (entrée d’un ampli, d’un kit d’enceintes, etc.), et le câble jack 3,5 mm mâle-mâle servira a relier une source en entrée. Cependant ce type de câble n’a pas de direction imposé, aussi il est possible d’inverser l’utilisation de ces câbles. Les plus exigeants en terme de qualité pourront utiliser la sortie S/PDIF (optique) du Sonoé iEast pour le relier au périphérique de son.

La méthode de mise en marche est assez directe : soit vous optez pour la connexion Ethernet (dans ce cas, attention, le câble Ethernet n’est pas fourni), en branchant tout simplement le Sonoé iEast à un routeur ou un switch puis en l’alimentant, soit vous optez pour la connexion WiFi.

Quelle que soit la solution choisie, l’utilisation d’un Smartphone est indispensable. Le smartphone permet le contrôle du Sonoé iEast, mais également son paramétrage à un réseau WiFi.

L’application est disponible gratuitement pour Apple iOs et pour les téléphones et tablettes Android. Comme souvent les Windows Phone sont malheureusement mis de côté.

Après avoir installé l’application, deux cas de figure : soit vous êtes connecté en Ethernet et dans ce cas il suffit que votre téléphone soit connecté au même réseau local que l’appareil pour commencer immédiatement à le piloter, soit vous avez opté pour une connexion WiFi.

Dans ce cas il suffit de suivre trois étapes :

• Connecter votre Smartphone ou tablette au réseau WiFi local
• Dans l’application iEast Play, cliquer sur “ajouter un nouvel appareil”
• Appuyer sur le bouton “WPS” sur le boitier Sonoé iEast
• Saisir le mot de passe de votre réseau WiFi dans l’application (écran ci-dessus, à droite)
• Et voilà, le Sonoé iEast est maintenant directement connecté à votre réseau WiFi… Et prêt à streamer !

Connectique et performances audio du Sonoé iEast

Le passage obligé pour contrôler le Sonoé iEast est d’utiliser l’application iEast Play pour sélectionner la ou les sources de diffusion de la musique. Techniquement, le Sonoé peut fonctionner en plug and play juste avec un line-in et la télécommande, mais ce n’est pas l’usage le plus intéressant sur ce produit.

Faisons l’inventaire de tout ce qui est disponible en terme de source audio pour le Sonoé.

En sources physiques directement sur le boitier :

• Line-in (entrée ligne) jack 3,5 mm (par exemple la sortie d’un PC, d’un lecteur CD ayant aussi une sortie jack, etc.)
• Port pour carte MicroSD

Sources locales en streaming direct :

• UPnP (NAS, PC, Box domotique…)
• DLNA
• Airplay

Sources disponibles depuis un mobile, via l’application :

• Musiques disponibles sur votre smartphone ou tablette
• Services de musique à la demande comme Spotify ou Pandora
• Services aggrégateurs de radio et de postcasts comme TuneIn et iHeartRadio

L’application propose donc les chansons disponibles sur le périphériques, une recherche sur les lecteurs en local qui peuvent diffuser de la musique (en DLNA notamment), la composition de Playlists personnelles ainsi qu’un historique des chansons récemments jouées (ci-dessous, à gauche). Beaucoup de formats sont pris en charge : mp3 bien sûr, mais également Master Studio & FLAC

Pour ce qui est des sources musicales, l’affichage est personnalisable (ci-dessus, à droite). Ainsi vous pouvez choisir de n’afficher uniquement que les sources de musique à la demande et d’aggrégateurs de radio qui vous intéressent, et cacher tous les autres.

Une fois votre source audio choisie, vous avez les fonctions classiques qui s’affichent à l’écran, directement via la commande tactile du smartphone. Précédent et suivant (disponibles dans le cas où vous êtes dans une playlist de plusieurs morceaux), un bouton de pause et de reprise, le contrôle du volume, et bien sûr la possibilité de choisir dans quelle(s) salle(s) la musique doit être diffusée. En effet, chaque récepteur Sonoé iEast peut être nommé individuellement en fonction de la salle à laquelle il est installé, et peut diffuser une source musicale différente.

Pour chacun des périphériques cible, il est possible de choisir une diffusion stéreo normale, ou de ne diffuser en mono que sur l’une des sorties, droite ou gauche.

Il est à noter que le Sonoé iEast se connecte directement à sa source. Donc pour les musiques stockées sur le Smartphone, c’est bien lui-même qui diffuse la musique, mais pour tout ce qui est radios, service de musiques à la demande, ou source réseau, le Sonoé iEast se connecte directement à la source via la connexion WiFi ou Ethernet. Le smartphone ou la tablette peut aller directement au repos après avoir lancé la musique désirée.

Les deux modes de connexion sont robustes, Ethernet est tout de même conseillé si vous êtes à la recherche de la stabilité maximum en terme de réseau.

Les contrôles présents sur l’application le sont aussi sur la télécomande fournie avec le boitier : il est possible de monter et descendre de volume, de mettre en pause ou relancer la musique, et dans le cas de la lecture d’un morceau d’une playlist ou d’un album, de passer aux éléments suivants et précédents de la playlist. En outre, la télécommande dispose de 6 boutons qui peuvent être assignée à des sources audio favorites. Il n’est pas possible d’assigner une piste sonore à l’un de ces boutons, mais une source audio venant d’un service de streaming (une station de TuneIn Radio par exemple) peut être associée à chacun d’entre eux. Ainsi vous pouvez mettre une radio Jazz en raccourci sur le bouton 1, une radio de variétés sur le bouton 2 et une radio d’informations sur le bouton 3. Le tout est complété par un bouton “Line in” permettant de sélectionner directement cette source en particulier (pour rappel, c’est l’entrée jack 3,5 mm du Sonoé iEast).

Dans les fonctionnalités annexes, vous trouvez la possibilité de renommer l’appareil, de consulter ses informations (notamment son adresse IP sur le réseau et le pourcentage de signal WiFi), et de l’éteindre selon un timer (ci-dessous, à gauche).

Enfin, au niveau de la qualité audio, vous avez le choix entre trois niveaux de qualité, selon que vous préférez favoriser la qualité sonore ou le fait d’avoir un débit fluide, de qualité inférieure mais qui évite les coupures (ci-dessus, à droite). Lors de notre essai, nous n’avons rencontré aucun problème particulier rencontré en optant pour la qualité maximale, 320 kbps / 16 bits.

Globalement, le choix est bien présent et l’appareil propose toutes les fonctions auxquelles nous pourrions nous attendre. Reste un petit point à voir : les applications supplémentaires apportées notamment par la fonction UPnP de l’appareil !

Contrôle de la solution Sonoé iEast par UPnP : exemple de l’eedomus

Le boitier est compatible avec le protocole UPnP, ce qui va lui permettre d’être piloté par différents autres périphériques… Par exemple un PC ou une box domotique ! Ce qui permet d’inclure totalement la lecture de son dans les différentes programmations et scènes de la maison. Nous allons prendre ici l’exemple de l’eedomus.

L’eedomus prend directement en charge les appareils UPnP. Ainsi il nous suffit d’aller dans “Autres types de périphériques”, “Actionneur UPnP” et d’ajouter directement le Sonoé iEast depuis son adresse IP locale (récupérable dans l’interface de gestion de la box Internet ou tout simplement dans la configuration du récepteur sur l’appli).

Une fois le module créé, on y retrouve les commandes habituelles de l’application (et à ce stade elles peuvent directement être utilisées comme actions dans des scénarios par exemple).

Le volume peut être contrôlé, et la musique également avec jouer/pause et précédent/suivant (toujours dans le cas où c’est une playlist qui est diffusée dans le Sonoé iEast).

L’action “Charger piste” charge un son de démonstration par défaut proposé par l’eedomus à titre d’illustration. Il est bien sûr possible d’aller dans la liste des valeurs et de personnaliser le son qui est joué. Voire, pourquoi pas, plusieurs alertes de votre choix, en utilisant des sons adaptés à tout ce que vous pourriez avoir à signaler.

Ci-dessous, le “Charger piste” par défaut dans la liste des valeurs, et un exemple d’utilisation pour déclencher deux sons d’alertes différents.

Comme son nom l’indique, le fait de charger la piste ne fait que la charger, elle doit être suivie par l’action “Play” pour pouvoir être jouée sur le Sonoé iEast. Pour son déclenchement, le mieux est de faire une macro qui charge la piste, attend 2 ou 3 secondes puis lance l’action “Play”, et d’utiliser cette macro dans les scénarios pour lancer le signal.

De même, si l’appel au radio via l’applications ne vous suffit pas ou si vous voulez inclure le choix d’une radio directement dans un scénario de la box, vous pouvez utiliser une adresse de flux audio après la commande &track. Il vous faudra tout simplement trouver un flux au bon format (les flux au format playlist du style .m3u ne sont pas acceptés, mais les flux dont l’adresse finit par .mp3 ou par aucune extension fonctionnent généralement directement), et l’ajouter de la même manière qu’un fichier mp3.

Ce principe correspond à la marche à suivre pour l’eedomus, mais ceci est dans les faits réalisable avec n’importe quel appareil pouvant contrôler des lecteurs UPnP.

Petit bonus en ce qui concerne l’eedomus+ : la version actuelle de cette box, eedomus+, dispose d’un système de synthèse vocale. Il est possible, dans la configuration de l’eedomus, de faire jouer la synthèse vocale sur le lecteur UPnP de votre choix. Ainsi, il suffit d’aller dans la configuration de l’eedomus et de copier l’adresse IP du Sonoé dans la configuration de l’eedomus, à la section “Jouer les sons en UPnP”.

Avec ceci, tous les sons normalement émis par le haut-parleur de l’eedomus seront envoyées sur le Sonoe à la place. Vous entendrez donc les indications vocales telles que “Vous pouvez inclure votre périphérique”, et également simplement créer un périphérique de type “Synthèse vocale” dans l’eedomus et lui faire dire les phrases informatives de votre choix. Une solution encore plus simple et modulable que d’utiliser des mp3 d’alerte !

Et ces phrases peuvent servir à donner des notifications particulières, et même parfois en reprenant le nom des valeurs des périphériques inclus dans la box.

Juste une chose à noter : lors de l’envoi d’un son ou d’une ligne de synthèse vocale en UPnP, ce son remplace dans l’appli ce qui est actuellement joué, sans indiquer pour autant le remplacement. Ainsi, si vous lancez une radio et que vous lancez immédiatement après un son en UPnP, ça sera toujours le nom de la radio qui s’affichera, mais les contrôles permettront de jouer le son qui vient d’être chargé par UPnP.

Nous avons ici abordé les fonctionnalités et l’intégration la plus simple de l’appareil, mais l’appareil dispose également d’une API complète permettant un pilotage précis de l’appareil et la récupération de données diverses. C’est un sujet bien vaste que nous n’aborderons pas en détail dans cet article, mais cela ouvre l’appareil à de nombreuses possibilités supplémentaires !

Extrait de l’API de Sonoe

L’API est disponible au format PDF : API Sonoé iEast 05/2016

Conclusion

Le Sonoé iEast est une solution satisfaisante qui remplit parfaitement les fonctions attendues. La mise en place est diablement simple et rapide, et l’utilisation est tout aussi aisée. Lors de nos divers tests, nous avons constaté que le DAC Sabre (convertisseur du signal numérique au format analogique) présent sur l’appareil remplissait pleinement son office, offrant un son de bonne qualité. Cette puce DAC est totalement adaptée au type d’utilisation musicale qu’on s’attend à faire sur l’appareil.

Un gros avantage de l’application proposée avec cet appareil, c’est qu’elle propose directement de nombreuses sources audio courantes, et il est très simple de démarrer directement une musique sur l’appareil, que ça soit avec une musique présente sur votre smartphone, en chargeant l’une des nombreuses radio proposée par TuneIn ou éventuellement en chargeant votre compte Spotify.

La présence de la télécommande est également un gros plus, permettant le lancement direct de musique depuis ses favoris sans avoir à ouvrir l’application. Il peut être très pratique de pouvoir mettre en pause la musique rapidement, ou adapter son volume à la situation. Elle se montrera vite indispensable.

Les seules petites critiques qu’on pourrait faire à cet appareil, c’est qu’il ne dispose pas de port USB qui permettrait de jouer du contenu depuis une clé ou un disque dur (il y a un port carte microSD pour cet usage), et qu’il n’a pas d’appli Windows Phone (mais c’est quelque chose qui est très courant sur les appareils de notre époque). Les non anglophones pourront être un peu rebutés par le fait que l’application et le manuel sont en anglais, mais ils sont suffisament explicite pour que ça ne constitue aucunement un frein à l’utilisation du produit.

Au niveau connectique, il y a tout ce qu’il faut pour pouvoir la brancher, que ce soit en analogique ou en numérique via le port optique. Mais les possesseurs de sono ou d’ampli ayant des câbles RCA de haute qualité regretteront peut-être l’absence de ports RCA directement sur le boitier. Mais comme vous le voyez, ce sont des petits détails qui n’affectent en rien l’intérêt global que présente le produit.

Au final, voilà ici une solution multiroom audio totalement cohérente avec ce qui se fait aujourd’hui (en terme de technologies audio et de commandes à distance) et proposée à un bon rapport qualité/prix, totalement en phase avec les usages de notre époque (services de musique à le demande). C’est à la fois une bonne idée pour les audiophiles et une bonne idée cadeau de manière générale  (qui a dit que c’était bientôt la fête des pères ?). L’utilisation dans une seule salle apporte déjà elle-même beaucoup de possibilités, sans compter tous les apports de l’utilisation du protocole UPnP, par exemple avec une box domotique.

Cet article Le Sonoé iEast, solution multiroom via Smartphone et télécommande est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Aujourd’hui, nous vous présentons la station météo Z-Wave de Qubino. Cette station, communicante en Z-Wave, vous permet de recevoir directement des données météorologiques sur votre box domotique compatible.

C’est une nouvelle innovation du constructeur Qubino, qui a réussi à se faire un nom dans la domotique, notamment avec ses modules encastrables et ses modules rail DIN proposant de diverses fonctions (et que nous avons présenté sur le blog à plusieurs reprises). La station météo présentée dans cet article se distingue un peu des modèles proposées par le fabricant.

Découvrons dès maintenant tout ce que propose cette station météo !

Une station météo Z-Wave, 10 mesures différentes

La livraison est composée de 5 éléments : deux sondes ayant toutes deux la double fonction thermomètre et hygromètre, un pluviomètre, un anémomètre et la station météo en elle-même, sous la forme d’une petite clé USB faisant le lien entre la station et les différents appareils de mesure.

Voici comment sont réparties les dix mesures évoquées plus haut :

• Les deux sondes mesurent toutes les deux la température et l’hygrométrie (ou humidité relative). Elles disposent toutes deux d’un affichage local de ces deux données. Cela fait un total de 4 données différentes.
• L’anémomètre mesure de la force, la direction du vent, les rafales, le refroidissement éolien (froid ressenti), et dispose lui-même d’une sonde de température interne. Cela fait un total de 5 mesures supplémentaires.
• Enfin le pluviomètre mesure les précipitations en mm/h.

Et pour bien découvrir tous ces éléments, nous vous proposons dès maintenant la présentation de cette station météo Z-Wave en vidéo !

Fonctionnement de la station météo Z-Wave

Pour pouvoir faire fonctionner la station, il vous faut une box domotique qui saura lire les différentes données, et au mieux les afficher avec les libellés corrects, ou sinon au moins vous présenter les données pour que vous puissiez leur attribuer le libellé correct.

De manière totalement pratique, la communication se passe comme ça : la clé USB communique d’une part avec le contrôleur Z-Wave en technologie Z-Wave (ou bien sûr Z-Wave Plus si celui-ci est présent sur le contrôleur) et reçoit les données des quatre appareils de mesure, qui eux, communiquent tous en 433 MHz. La clé incorpore donc un émetteur/récepteur Z-Wave et un récepteur 433 MHz pour recevoir les données des sondes.

Pour l’installation, il faut d’abord mettre en service les différents éléments :

• les deux sondes fonctionnent avec deux piles AA, elles doivent être chacune sur un canal différent, CH1 et CH2.
• l’anémomètre fonctionne avec des piles et une cellule solaire relirée à une batterie
• le pluviomètre fonctionne avec des piles, placées bien sûr dans un compartiment étanche.

Une fois les quatre sondes en service, il n’y a plus qu’à brancher la clé sur un port USB pouvant l’alimenter. Pour cela, il va s’avérer très pratique d’avoir une box eedomus par exemple, qui a des ports USB destinés à cela. Les box basées sur un Raspberry Pi ou d’autres microcartes (comme Jeedom Mini) et disposant donc de port USB seront aussi particulièrement indiquées.

Dès le branchement de la clé, celle ci reçoit les données des quatre sondes et mémorise leur identifiant radio. Puis la clé se met en mode d’auto inclusion, et il suffit donc de mettre le contrôleur Z-Wave en mode inclusion également afin que la station météo y apparaisse.

Suite à cela, les données apparaissent directement dans la box domotique et sont donc prêtes à être utilisées !

En cas de problème pour l’inclusion ou l’exclusion Z-Wave, ces deux fonctions sont accessibles via un bouton présent sur la station météo dongle USB.

Dès que l’inclusion est réussie, l’appareil présente plusieurs canaux. Les données remontées dépendent bien sûr de la box domotique utilisée. Voici ci-dessous, à titre d’exemple, le résultat obtenu dans l’eedomus.

Le listing des canaux à l’inclusion de l’appareil :

Et les différentes données présentées dans l’interface de la box (le nom choisi à l’inclusion de l’appareil correspond à température de la sonde thermo-hygro sur le canal 1, les autres canaux ont des noms éloquents) :

Paramétrages et fonctions supplémentaires

En plus des données qui sont récupérables dans les solutions domotiques et donc exploitables dans les différentes scénarisation, le module dispose de quelques fonctiones de paramétrage. Il dispose notamment de deux fonctions utiles : déclenchement d’autres modules Z-Wave selon un seuil de rafale et selon un seuil de précipitations.

Seuil de rafales

L’appareil dispose d’un groupe d’association “Groupe 1” pour déclencher les appareils Z-Wave associés lorsqu’une rafale est détectée par l’anémomètre.

• Le paramètre n° 1 permet de configurer le seuil de rafale. Par défaut : 10 m/s, seuil réglable de 0 à 88 m/s avec précision au centième de m/s.
• Le paramètre n° 3 permet de définir si c’est une commande 0x00 (équivalente à OFF / fermer) ou 0xFF (équivalente à ON / ouvrir) est envoyée lors du dépassement de ce seuil.

Exemple typique : lorsqu’une rafale de vent fort est détectée, on ferme le volet ainsi que le store-banne pour éviter qu’il ne se déchire.

Seuil de précipitations

La station météo dispose d’un groupe d’association “Groupe 2” pour déclencher des appareils Z-Wave associés lorsqu’un seuil de précipitations est dépassé (détection par le pluviomètre).

• Le paramètre n° 2 permet de configurer le seuil de précipitations. Par défaut : 2 mm/h, seuil réglable de 0 à 300 mm/h avec précision au centième de mm/h.
• Le paramètre n° 4 permet de définir si c’est une commande 0x00 (équivalente à OFF / fermer) ou 0xFF (équivalente à ON / ouvrir) est envoyée lors du dépassement de ce seuil.

Exemple typique : interrompre automatiquement l’arrosage automatique quand il pleut.

Conclusion

Qubino a eu la bonne idée de proposer une station météo directement clés-en-main, où tous les éléments sont directement présents et n’ont plus qu’à être alimentés pour pouvoir être synchronisés avec le dongle USB et donc avec un contrôleur domotique. Cela évite de devoir acheter plusieurs éléments différents et les synchroniser l’un après l’autre, la mise en place est donc très simple.

Cela permet au final d’avoir un produit directement compatible avec les box ne disposant pas nativement de communication 433 MHz (box Z-Wave, solutions sur-mesures où on n’a pas rajouter de RFXCom) et qui procure largement assez de données à la box domotique pour faire des scénarisation intéressantes, et avec l’ensemble des appareils de mesure directement présents.

Nous vous recommandons de bien vérifier en amont l’implémentation de la station sur votre box domotique, car les possibilités d’exploitation de la station météo vont dépendre de sa bonne modélisation. Autre point à prendre en compte : le stockage de l’historique des données relevées par la sonde, directement dans le serveur domotique ou via un export.

Comme vous avez pu le constater plus haut dans cet article, lorsqu’elle est intégralement modélisée sur le contrôleur Z-Wave (comme c’est le cas avec l’eedomus+), cette station Météo Z-Wave permet très rapidement de faire une exploitation complète de toutes les données disponibles. Elle constitue donc une solution idéale pour ajouter des relevés météo à son installation domotique !

Découvrez la Station Météo Z-Wave+ Qubino sur notre boutique !

Cet article Présentation de la station météo Z-Wave de Qubino est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Aujourd’hui, nous vous présentons, un système qui permet de transmettre l’état de détection d’un tag ou d’un code à la box domotique ainsi que la détection du sabotage et d’activer un contact sec.

Pré-requis / présentation

• un module Fibaro FGBS-001
• un digicode ORNO
• une box domotique compatible avec le module Fibaro FGBS-001

Nous allons comme exemple utiliser une gâche électrique que l’on voudrait ouvrir avec un digicode ou puce RFID et avoir un historique de ce qui se passe sur cette gâche électrique.

En deuxième contact, nous connecterons une sirène extérieure pour avertir en cas de mauvais code ou en cas d’arrachement du digicode.

Schéma électrique

Schéma du Fibaro FGBS :

Le module va permettre d’envoyer un ordre à la box domotique dès qu’un code juste est saisie ou lors du déclenchement d’une alarme (tentative de sabotage du clavier ou 10 fois le mauvais code).

On peut ainsi utiliser ces ordres avec des scénarios pour la mise en route d’une alarme ou la détection d’une tentative d’ouverture du clavier.

Schéma câblage complet : 

Inclusion des modules sur un Raspberry Pi 3 JEEDOM

Pour installer JEEDOM (ou une autre distribution) sur un Raspberry Pi, je vous conseille d’aller lire notre guide : installer une distribution sur Raspberry Pi 

Nous avons pris l’exemple avec un Raspberry Pi 3 sous JEEDOM mais cela fonctionne sous Domoticz et avec la plupart des box domotiques d’aujourd’hui (Eedomus, Zibase, Fibaro Home center…).

Pour inclure les modules dans JEEDOM, il vous suffit d’installer le plugin Z-Wave et de passer le serveur domotique en mode inclusion. Appuyer ensuite 3 fois sur le bouton d’appairage du module Fibaro.

Une fois le module Fibaro inclus, il ne vous reste plus qu’à intégrer ce module dans votre interface.

Si vous ouvrez avec le digicode ou la puce RFID, le contact se ferme. La Fibaro FGBS-001 envoie donc l’information à la box domotique.

Si vous essayez d’arracher le Digicode, que vous vous trompez de code 10 fois, ou que vous passez 10 fois une mauvaise puce RFID devant le lecteur, l’information est envoyée au serveur domotique et l’alarme sonne.

Utilisation particulière : Domotiser l’allumage d’un ordinateur

Suite à un projet de bureau informatique, Gameinfotech a décidé de contourner un peu l’utilisation habituelle d’un digicode avec lecteur de puce RFID et d’un module Fibaro pour faire démarrer un ordinateur, grâce à ce système.

De plus, il y aura un historique des démarrages de l’ordinateur, ou des violation du digicode envoyé par le Fibaro FGBS-001 au serveur domotique.

Enfin Gameinfotech a branché trois sondes de température au module FGBS-001. Si il fait plus de 45° dans le bureau, il vous serra alors impossible de démarrer l’ordinateur pour des questions de sécurité.

Le schéma des branchements électriques  :

Modifier les paramètres du digicode ORNO : 

Comparé à un système de gâche électrique, pour démarrer un ordinateur, il faut un contact très bref moins de 5 secondes. Sinon, l’ordinateur s’allume puis s’éteint, comme le principe du bouton “Power” de votre ordinateur.

Il faut donc modifier le paramétrage par défaut du Digicode ORNO pour qu’il envoie une information plus courte au Fibaro FGBS-001.

Pour ce faire :

Code maître = au code administrateur que vous avez paramétré.

Il faut régler le paramètre normalement ouvert et normalement fermé.

Entrez d’abord en mode programmation : *Code maître#

Appuyer sur les touches du digicode : *Code maître#41#*

Appuyer ensuite sur les touches du digicode : * Code maître # 5 1 # *

Sortir du mode programmation : *

Intégration à JEEDOM : 

Attention si vous devez intégrer le module Fibaro FGBS-001 avec des sondes, il faut absolument que le module Fibaro soit inclus avec les sondes branchées.

Une fois le module Fibaro inclus, il ne vous reste plus qu’à intégrer ce module dans votre interface.

Vidéo de démonstration du système :

Le bureau de GameInfoTech intègre d’autres solutions domotiques en partenariat avec Planète-domotique, n’hésitez pas à suivre le blog, le Facebook ou notre Twitter pour avoir plus d’information très bientôt.

Cet article Digicode avec lecteur de puces RFID avec retour d’état est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Nous vous présentions fin avril trois des six start-up finalistes de la troisième édition des Prix EDF Pulse.

Les projets en lice, en rapport avec l’électricité, se devaient avant tout de porter au plus haut l’innovation. L’objectif d’EDF Pulse : révéler et encourager le progrès à travers toute l’Europe.

Nous sommes heureux de découvrir que deux des projets qui ont retenu notre attention comptent parmi les lauréats qui remportent une dotation financière et une campagne de communication. EDF Pulse porte ainsi la lumière sur leurs projets novateurs tout en les soutenant sur du long terme. Car c’est bien dans une action pérenne qu’EDF Pulse se place, pour être au cœur de l’environnement européen de l’innovation.

La remise des prix a eu lieu lors de la soirée « EDF Pulse @ VivaTechnology » le 30 juin.

Vous pouvez retrouver l’ensemble des 6 finalistes avec une présentation sous forme de BD : ICI

Et en particulier les 3 lauréats :

Nous avions déjà évoqué :

• ECOISME – catégorie Habitat connecté #Ecoisme #smarthome

Ecoisme se branche simplement sur votre réseau électrique domestique pour vous en apporter le détail de consommation et vous permettre d’optimiser la consommation électrique de tous vos équipements. Il est capable de vous avertir en cas de situation énergivore et de vous donner des conseils d’installation. Vous accédez facilement à toutes ces données à l’aide d’une application mobile ou depuis votre PC via une interface simple et pratique.

• KARA – catégorie Ville bas-carbone #Kawantech #smartcity

Ce capteur, ajouté aux éclairages urbains, permet d’en adapter la luminosité. Un piéton, un cycliste, une voiture… chaque usager a des besoins différents d’éclairage, sans compter l’économie d’énergie réalisée en l’absence de toute présence autour du luminaire. Le capteur est précis et distinguera le mouvement d’un enfant de celui d’une branche d’arbre. De plus, comme il s’agit d’un capteur connecté, sa prise en charge peut s’effectuer à distance.

Déjà en place dans la ville de Toulouse depuis la fin 2015, Kara permettrait une économie de la dépense publique pour l’éclairage public jusqu’à 70%. Voilà un projet innovant qui devrait connaître un fort succès face aux enjeux environnementaux et économiques.

(Plus d’infos dans notre précédent article)

Voici le troisième lauréat :

• BIOMODEX – catégorie E-santé #Biomodex #esante

Biomodex, deuxième entreprise lauréate française du concours, rend possible la formation des chirurgiens et la planification d’opération chirurgicales spécifiques à des patients grâce à l’impression 3D de maquettes d’entraînement.

Ces maquettes bio-mécaniques simulent l’environnement complet d’une procédure chirurgicale (forage des os, sutures de tissus…) grâce à l’association de différents plastiques. Elles sont fabriquées dans des versions standard mais aussi à partir de l’imagerie médicale d’un patient particulier. Elles s’approchent au plus près de l’anatomie du corps humain. Un chirurgien peut ainsi s’exercer la veille d’une opération complexe sur une reproduction fidèle des organes de son patient.

Réglées les questions d’éthique ! Et parmi les autres enjeux de ce projet, il faut noter que ces conditions réalistes permettraient de réduire significativement les complications opératoires pour les patients et les erreurs médicales. De quoi apporter plus de confort à la formation chirurgicale, à la préparation des chirurgiens avant leurs opérations, et aux patients opérés. Diminuer les erreurs médicales, cela signifie également limiter les coûts que cela sous-entend : aux États-Unis, ce serait en effet la troisième cause de décès.

L’entreprise a par ailleurs le vent en poupe. Déjà bien implantée auprès de l’industrie médicale française, lauréate du prix FAEA (French-American Entrepreneurship Award), elle conquiert également le marché américain. Ses maquettes pourraient enfin devenir certifiantes pour le chirurgien qui s’est entraîné sur elles. Un bel avenir se dessine pour Biomodex !

Bravo aux trois start-up lauréates !

Espérons que cette visibilité leur permette de faire aboutir toutes leurs idées et de trouver des partenaires et des financiers. Car c’est bien l’objectif des Prix EDF Pulse : nous prouver combien la recherche et l’innovation sont présentes en Europe en plaçant sur le devant de la scène des entreprises novatrices et révolutionnaires.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site : https://pulse.edf.com/fr/et-les-laureats-de-la-3eme-edition-des-prix-edf-pulse-sont

Cet article a été écrit en collaboration avec la marque, cependant tous les mots présents dans l’article sont les miens.

Cet article EDF Pulse 2016 : l’innovation récompensée ! est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Nous avons ajouté récemment de nouveaux produits ORNO à notre boutique.

Nous avons donc décidé de les tester avec le RFXCOM pour voir si celui-ci recevait bien les trames et si nous pouvions bien intéragir avec ces nouveaux produits.

Nous avons testé en même temps la compatibilité avec les box les plus utilisées.

Enfin tous ces produits ORNO, sont 100% compatible Chacon.

Compatibilité des produits ORNO avec le RFXCOM

Procédure de test

Le RFXCOM est branché à un ordinateur sous Windows 10 sur un des ports USB.

Ensuite nous lançons le logiciel  RFXmngr.

Nous appairons le produit grâce au deuxième onglet Lighting 2 et le protocole AC.

Ensuite nous regardons si la trame est interceptée par le RFXCOM.

Prenons l’exemple d’une télécommande voici la trame reçue quand on appuie sur le bouton On puis OFF: 

Tableau des compatibilités

Désignation	Référence	Compatible RFXCOM	Validation
Télécommande 16 canaux Smart Living	ORN_SH1709	Compatible RFXCOM
Module sans fil on/off avec variateur à encastrer Smart Living	ORN_SH1705	Compatible RFXCOM
Module sans fil on/off à encastrer Smart Living	ORN_SH1704	Compatible RFXCOM
Module sans fil on/off à encastrer Smart Living	ORN_SH1708	Pas compatible RFXCOM
Prise connectée avec fonction variateur Smart Living	ORN_SH1702	Compatible RFXCOM
Interrupteur double sans fil Smart Living	ORN_SH1711	Compatible RFXCOM
Interrupteur simple sans fil Smart Living	ORN_SH1710	Compatible RFXCOM
Prise contrôleur connectée Smart Living Wifi	ORN_SH1701	Compatible RFXCOM
Télécommande 3 canaux Smart Living	ORN_SH1707	Compatible RFXCOM
Prise connectée d’extérieure avec fonction variateur Smart Living	ORN_SH1703	Compatible RFXCOM
Prise connectée avec fonction variateur Smart Living	ORN_SH1702	Compatible RFXCOM
Module ON / OFF 3 canaux avec télécommande	ORN_GB406	Pas compatible RFXCOM

Compatibilité des produits ORNO avec les box domotiques

Procédure de test

Si besoin pour la box, selon ces caractéristiques, nous brancherons le RFXCOM dessus pour avoir la fréquence de transmission 433.92 Mhz et pouvoir contrôler si les produits ORNO fonctionnent.

Nous testerons pour les télécommandes, si la trame est bien envoyée au contrôleur domotique.

Eedomus

Avec la Eedomus aucun problème de compatibilité.

Il nous a juste fallu rajouter le Rfxcom et le configurer pour pouvoir interagir avec les produits ORNO.

Pour ce faire, il faut activer dans les paramètres du RFXCOM, le protocole Chacon.

Pour appairer les modules, il faut les appairer de la même façon que les produits Chacon.

La fonction ON / OFF des prises ou des autres produits ORNO fonctionne parfaitement.

Les trames des télécommandes ORNO sont bien comprises par la Eedomus.

Zibase

Avec la Zibase aucun problème de compatibilité. Nous avons pu interagir directement avec les produits ORNO sans RFXCOM. La Zibase étant multiprotocole et comprend la fréquence Chacon 433.92 Mhz nativement.

Pour appairer les modules, il faut les appairer de la même façon que les produits Chacon.

La fonction ON / OFF des prises ou des autres produits ORNO fonctionne parfaitement.

Les trames des télécommandes sont bien comprises par la Zibase.

Raspberry Pi 1,2,3 JEEDOM

Malheureusement avec le Raspberry Pi sous JEEDOM le plugin pour le RFXCOM est payant 4€.

Cela est tout de même un bon investissement car vu le prix des produits ORNO ou chacon cela compense largement  l’investissement des ces 4€.

Avec JEEDOM aucun problème de compatibilité.

Il nous a juste fallu rajouter le Rfxcom et le configurer pour pouvoir interagir avec les produits ORNO.

La fonction ON / OFF des prises ou des autres produits ORNO fonctionne parfaitement.

Ensuite pour configurer la prises, il faut le faire à la main aussi, de la même façon que les produits Chacon, à la main.

Les trames des télécommandes ORNO sont bien comprises par JEEDOM.

Pour ajouter une télécommande il faudra utiliser le bouton d’inclusion du plugin RFXCOM.

Raspberry Pi 1,2,3 Domoticz

Avec Domoticz aucun problème de compatibilité.

Il nous a juste fallu rajouter le Rfxcom et le configurer pour pouvoir interagir avec les produits ORNO.

Pour appairer les modules, il faut les appairer de la même façon que les produits Chacon.

La fonction ON / OFF des prises ou des autres produits ORNO fonctionne parfaitement.

Les trames des télécommandes ORNO sont bien envoyées à la box par Domoticz mais ne sont pas comprises correctement.

Fibaro Home Center 2

Aucun doute, le module RFXCOM n’est pas compatible avec la Fibaro Home Center 2.

Conclusion

Ces produits, de la marque Orno sont compatibles avec le RFXCOM et avec les produits de la marque Chacon tout en étant dans une gamme de tarif bien moins élevée et tout aussi fiable. Pourquoi ne pas en profiter !

Retrouvez les produits ORNO sur notre boutique

Cet article Compatibilité RFXCom / ORNO est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Aujourd’hui, nous vous présentons un module contact sec, le Qubino ZMNHND1.

Ce module vous permettra de piloter vos appareils via un contact sec comme un four, une machine à laver, un radiateur électrique, vos automatismes de portail et garage, par exemple et d’avoir un historique. La plupart des autres modules Qubino ont une sortie directement dépendante de l’alimentation du module, 230VAC ou 24VDC. Le gros avantage du module contact sec, c’est qu’il vous permet de commuter le type de charge de votre choix.

Le module reste alimenté, au choix en 230VAC ou en 24VDC.

Pré-requis / présentation

• Un module Qubino contact sec 1 relais 
• Une box domotique compatible avec le Module Qubino ZMNHND1

Schéma de branchement du Qubino contact sec

Vous pouvez alimenter le module en 24 Volts ou 230 Volts. Plusieurs schémas de câblage sont possibles, soit avec une charge libre de potentiel ou soit en récupérant l’alimentation du module.

Ce module nécessite le neutre pour fonctionner.

Sur les deux schémas du haut, il y a un pont entre la borne d’alimentation et l’entrée du contact sec, ce qui fait que le module fonctionne comme un module Qubino 1 relais.

Sur les deux schémas du bas, le relais utilisé est complètement libre de potentiel et permet donc de commuter un circuit ayant une tension différente de celle qui alimente le module.

Schéma de câblage pour une motorisation de portail

Le module contact sec peut directement être relié aux contacts d’un portail destinés à accueillir un bouton poussoir. Sur la notice du portail, vous verrez deux entrées destinées à accueillir un bouton poussoir ou un module de commande Normalement Ouvert. Les entrées sont généralement nommées dans la notice “Commande portail” et “GND” (ou “commun”).

Le bouton poussoir peut être placé en parallèle du module, mais le mieux est de le brancher sur l’entrée I1 du module, cela permet d’obtenir le même effet et d’avoir en plus un retour d’état au niveau du contrôleur domotique (vous saurez ainsi quand le portail est ouvert).

Pour un article très complet sur l’utilisation d’un module Qubino pour le pilotage d’un portail, nous vous conseillons de notre précédent guide à ce sujet : Piloter son portail et savoir s’il est ouvert.

Cet article fait référence à un module 1 relais et propose l’utilisation d’un détecteur d’ouverture, mais il est tout à fait adaptable avec ce module contact sec en suivant le schéma ci-dessus (l’entrée I2 est aussi présente sur le module contact sec et permet donc la lecture d’un capteur d’ouverture par exemple).

Inclusion des modules sur un Raspberry Pi 3 JEEDOM

Si Jeedom peut s’installer sur une Raspberry Pi 3, vous pouvez aussi commander directement la box officielle Jeedom Mini sur notre boutique.

Pour installer JEEDOM (ou une autre distribution) sur un Raspberry Pi, je vous conseille d’aller lire notre guide : installer une distribution sur Raspberry Pi 

Nous avons pris l’exemple avec un Raspberry Pi 3 sous JEEDOM mais cela fonctionne sous Domoticz et avec la plupart des box domotiques d’aujourd’hui (Eedomus, Zibase, Fibaro Home center…).

Pour inclure le module dans JEEDOM, il vous suffit d’installer le plugin Z-Wave et de passer le serveur domotique en mode inclusion.

Appuyez ensuite 3 fois sur le bouton S d’appairage du module Qubino.

Une fois le module Qubino inclus, il ne vous reste plus qu’à intégrer ce module dans votre interface.

Utilisation particulière : L’allumage et l’extinction d’un ordinateur à distance

Dans le cadre du projet de bureau informatique de Gameinfotech, une utilisation un peu particulière de ce module Contact sec a été faite pour faire démarrer ou éteindre un ordinateur à distance, grâce à ce module.

Nous vous suggérons de regarder l’article “Digicode avec lecteur de puces RFID avec retour d’état“, où est évoqué le démarrage d’un ordinateur avec un digicode ou une puce RFID avec retour d’état du tag.

Gameinfotech a couplé dans son projet bureau, ces deux articles pour faire démarrer ou éteindre le bureau informatique soit à distance,  soit à l’aide un ordinateur avec un digicode ou une puce RFID avec retour d’état du tag.

Pourquoi ce module Qubino contact sec

Comme nous l’avons évoqué précédemment, ce module est alimenté en 24 Volts ou 230 Volts alors que la carte mère de l’ordinateur, demande un contact sec sur du 12 Volts. Cependant ce module permet un branchement libre de potentiel et donc permettra d’alimenter le module en 230 Volts et de faire le contact sec en 12 Volts.

Le schéma des branchements électriques

Modifier les paramètres du module Qubino contact sec

Comparé à un système de gâche électrique, pour démarrer un ordinateur, il faut un contact très bref moins de 5 secondes. Sinon, l’ordinateur s’allume puis s’éteint, comme le principe du bouton “Power” de votre ordinateur.

Il faut donc modifier le paramétrage par défaut du module Qubino pour qu’il envoie une information plus courte à la carte mère.

Pour ce faire :

Inclure le module Qubino à votre box domotique.

Une fois cela effectué, il faut modifier le paramètre N°11 “extinction automatique après un temps défini.”:

Quand le relai est allumé (ON) il s’éteint automatiquement (OFF) après le temps défini pour ce paramètre. La temporisation est réinitialisée à chaque fois qu’une commande ON est envoyée au module, quelle qu’en soit l’origine (poussoir, module associé, contrôleur…).

Valeurs possibles (type de valeur : 2 Octets DEC) :

• Valeur par défaut : 0
• 0 – Auto OFF désactivé
• 1 – 32535 = 1 seconde (0,01s) – 32535 secondes (325,35s) Auto OFF activé, avec le délai défini, le pas est de 1ms ou 10ms selon le réglage du paramètre n°15.

Pour l’activation du contact sec de la carte mère, nous mettrons ce paramètre sur 1 seconde.

Pour modifier le paramètre dans JEEDOM, aller dans les paramètres du module Qubino.

Intégration à JEEDOM

Voici l’interface domotique du desk de Gameinfotech qui est toujours en cours d’amélioration :

Vidéo de démonstration du système

Le bureau de GameInfoTech intègre d’autres solutions domotiques en partenariat avec Planète Domotique, n’hésitez pas à suivre le blog, le Facebook ou notre Twitter pour avoir plus d’information très bientôt.

Cet article Utilisation d’un module Qubino contact sec est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Aujourd’hui, nous allons vous présenter un guide permettant d’avoir un relevé de la télé-information sur Domoticz grâce à un Eco-devices.

Cela permettra de pouvoir suivre votre consommation sur l’interface domotique et de faire des scénarios en rapport avec ces consommations.

Vous pourrez alors grâce à un minimum de configuration économiser de l’énergie grâce à la remonté d’information sur votre serveur Domoticz.

Pré-requis / présentation :

• Un Eco-devices (version testée 1.05.12)
• Un serveur domotique Domoticz sur Raspberry Pi (version testé 3.4834)
  Pour l’installation d’une distribution Domoticz, vous pouvez aller consulter notre guide pour faire une carte Rapsberry ou commander une carte Domoticz.
• Un compteur électrique

Pour les besoins du test, nous avons utilisé du câble électrique 1.5mm², mais afin d’éviter les perturbations, nous vous conseillons sur de longue distance, d’utiliser du câble de téléphone, ou du câble réseau avec paire torsadée

Schéma électrique :

Intégration de l’Eco-devices à Domoticz :

Il faut impérativement que la télé-information soit activée par EDF. Si ce n’est pas le cas, il faudra les appeler pour avoir accès à la télé-information.

Il faut aussi que le compteur EDF soit branché à l’Eco-Devices sur le même réseau que le Raspberry, avant d’attaquer le guide.

Pour intégrer l’Eco-Devices à Domoticz, c’est très simple.

Il suffit d’aller sur le dashboard de Domoticz.

Pour ce faire :

• Ouvrez une page internet
• Dans la barre d’adresse tapez : http://IPdomoticz:8080 (remplacer bien sûr IPdomoticz par l’ip de votre serveur Domoticz)

• Cliquez sur le lien “Hardware”.

Cette page s’affiche alors :

• Rentrez un nom à votre Eco-devices
• Dans le menu déroulant Type, choisissez “Eco Devices via LAN interface”
• Dans le champ Remote address, rentez l’adresse IP de votre Eco-Devices
• Dans le champ Port, rentez “80”.
• Cliquer enfin sur “Add”

L’Eco-devices devrait alors s’afficher dans le tableau au dessus.

Bien vérifier que dans les logs de domoticz, il n’y ai pas de message d’erreur Eco-devices.

Si vous avez des messages d’erreur, vérifiez la version de Domoticz et de votre Eco-devices et au besoin faite les mises à jour.

Intégration des compteurs virtuels sur Domoticz:

Pour intégrer les compteurs, il vous faut ajouter un matériel pour les compteurs virtuels.

Pour ce faire : 

• Allez dans le dashboard de Domoticz :

• Cliquer alors sur “Hardware”.
• Entrez dans le champs Name : “COMPTEURVIRTUEL” par exemple
• Choisir dans la liste déroulante pour le champ type : “Dummy (Does nothing use for virtual switches only)”
• Cliquez ensuite sur le bouton “Add”
• Dans le tableau au dessus “Dummy” devrait apparaître comme sur la copie d’écran ci-dessous :

• Cliquez alors sur le bouton “Dashboard” en haut pour revenir au premier écran.

• Cliquez alors sur “Devices”.

La page suivante apparaîtra :

• Cliquez alors sur Not Used en haut à droite du tableau (il se peut que le compteur virtuel n’apparaisse que 5 minutes après la synchronisation entre les deux périphériques étant par défaut défini comme cela. N’hésitez pas à rafraîchir la page, si ce n’est pas le cas).
• Vous devriez alors voir le périphérique ECODEVICE dans le tableau apparaître, comme sur la copie d’écran ci-dessous :

• Pour activer ce compteur, cliquez sur le bouton vert avec une flèche blanche

• Une fenêtre avec le nom Add Device devrait apparaître :

• Indiquez le nom que vous souhaitez pour ce compteur.
• Cliquez ensuite sur Add Device. Le compteur ECODEVICES devrait alors apparaître dans les compteurs Used et AllDevices
• Pour voir votre compteur maintenant cliquer sur le bouton “Utility” en haut à droite de la fenêtre :

• Vous aurez accès au graphique grâce au bouton “Log”

La synchronisation par défaut se fait toutes les 5 minutes.

Vous pourrez alors le vérifier dans les Logs de Domoticz.

Conclusion

Vous pourrez maintenant avoir un relevé et des graphiques de votre consommation électrique grâce à l’Eco-devices sur Domoticz.

Cet article Relevé de la télé-information sur Domoticz grâce à un Eco-devices est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Aujourd’hui nous vous présentons une fonction vraiment intéressante de JEEDOM, l’envoie de sms gratuit par l’intermédiaire de votre abonnement Free Mobile.

Cela vous permettra de recevoir des notifications de votre serveur JEEDOM directement par SMS.

Pré-requis / présentation

• un serveur domotique JEEDOM ( soit un Raspberry avec une carte pré-installé JEEDOM soit un serveur domotique JEEDOM)
• un forfait Free mobile

Activation de l’option sur votre compte Free

Pour que votre téléphone reçoive des notifications de JEEDOM, il faut activer une option dans votre compte Free.

Pour ce faire :

– Rendez vous sur la page de votre compte mobile (https://mobile.free.fr)

– Identifiez-vous

– Cliquez ensuite sur “Gérer mon compte”

– Cliquez sur “Mes Options”

Tout en bas de cette page, vous avez l’option “Notifications par SMS”.

– Cliquer sur le bouton activer pour activer l’option.

Une fois activée, vous verrez votre clé d’identification s’affichée. Notez là bien vous en aurez besoin pour configurer le plugin.

Installation et configuration du plugin Free Mobile SMS

Installation

Pour installer le plugin, rendez vous dans le market de jeedom et installer la version stable du plugin Free Mobile SMS

Configuration

Pour configurer le plugin, il suffit de

– L’activer et se rendre à la page du plugin “Free Mobile Sms” dans le Menu Plugin => Communication.

– De cliquer ensuite sur la croix bleu pour ajouter une configuration.

Une nouvelle fenêtre s’ouvre :

En bas de cette page dans le tableau, il faut entrer les informations suivantes : 

Nom : Nom de l’utilisateur

User : Identifiant du compte mobile free

Key : clef d’’identification Free que l’on vous a demandé de noter précédemment.

– Cliquez ensuite sur sauvegarder

Vous pourrez maintenant configurer vos scénarios pour envoyer un sms selon une action, un état, …. d’un module connecté.

Exemple concret : le Projet de bureau informatique de Gameinfotech

Présentation

Exemple de scénario : 

Exemple sur un téléphone : (à gauche l’application officielle JEEDOM, à droite JEEDOM sur un navigateur mobile)

Gameinfotech a voulu utiliser ce plugin pour recevoir des notifications par sms de son bureau informatique qui va rester quelques mois dans un showroom pour pouvoir contrôler ce qui est fait dessus :

– une notification tous les jours pour les températures du bureau

– une notification tous les jours pour l’état, la consommation, et la puissance de chaque alimentation

– une notification tous les jours pour l’état, et la consommation des bandes de LED

– une notification pour le démarrage ou l’extinction de l’ordinateur par le digicode ou la puce RFID

– une notification pour le démarrage ou l’extinction à distance

– une notification quand l’alarme, pour un mauvais code ou mauvais RFID, se déclenche

– une notification pour envoyer les informations du Rapsberry une fois par jour

– une notification si les températures à l’intérieur du bureau dépassent 35°.

– une notification pour le changement d’état des alimentations

Conclusion

Vous pourrez grâce à ce plugin avoir un suivi par sms complet de votre installation domotique.

Le bureau de GameInfoTech intègre d’autres solutions domotiques en partenariat avec Planète-domotique, n’hésitez pas à suivre le blog, le Facebook ou notre Twitter pour avoir plus d’information très bientôt.

Cet article Envoi de sms avec le plugin Free Mobile SMS de JEEDOM est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Aujourd’hui nous vous présentons la Zipatile, une tablette tactile ayant pour vocation d’être un contrôleur domotique à l’utilisation très intuitive.

Zipato fait partie de ces noms qui sont présents depuis un bon nombre d’années dans la domotique grand public. Concepteur de la fameuse Zipato box communément appellé Zipabox, une solution domotique sous forme de box disposant de ports pour diverses extensions, et proposée à un des prix les plus avantageux, Zipato a fait ses preuves et s’est déjà attiré de nombreux fans.

Zipato ne s’arrête pas aux contrôleurs domotique, c’est l’une des rares sociétés à proposer à la fois le serveur domotique et les périphériques qui peuvent être utilisés avec celui-ci.

Concernant la Zipatile, c’est une nouvelle solution domotique qui consiste en un contrôleur mural présentant directement une tablette. Zipato avait déjà proposé une tablette murale incluant une Zipabox, mais pour la Zipatile ce constructeur va encore plus loin en proposant une tablette qui inclut de base un certain nombre de périphériques, comme nous allons le découvrir.

Présentation de la solution

La Zipatile est une tablette très réactive, avec un écran 8 pouces tactiles et intégrant le système d’exploitation Android 5 Lollipop.

Le logiciel domotique embarqué est basé sur le système des box  Zipato. Outre les fonctionnalités typiques qu’on retrouve sur une tablette (micro, caméra, haut-parleur, batterie…), la tablette comporte différents autres types d’entrées par le biais de sondes et de capteurs.

Il y a donc 6 boutons situés de part et d’autre de l’écran, des sondes de température et d’humidité, un capteur de luminosité, un capteur de choc et un détecteur de mouvement. De plus, la tablette comporte de la connectique via des entrées et sorties contact sec.

Déballage de la solution et aspect matériel

Dans la boite, nous trouvons la tablette en elle-même bien sûr, un film de protection pour l’écran (cela a le mérite d’être souligné car il n’est pas systématiquement présent dans les livraisons de tablettes), divers élements d’installation murale (chevilles, vis, connecteur H7, terminaux pour câbles électriques) ainsi que l’alimentation en elle-même, qui peut se brancher à une prise française type C (prises sans terre).

La présence d’une alimentation avec adaptateur permet deux type de branchements différents :

• soit fixer la tablette au mur et la relier au 230V via le biais de l’alimentation,
• soit utiliser la tablette posée sur une table en mode “présentoir”, en la branchant à une prise murale proche. La plaque de montage au dos de la tablette permet tout autant un montage mural avec des vis qu’une utilisation en mode présentoir (une partie de la plaque se déplit et permet à la tablette de tenir debout de manière stable).

La conception de la tablette est de très bonne facture. L’écran mesure 11 cm de largeur et 17,3 cm de hauteur.

Au dos de la tablette, nous trouvons le connecteur pour brancher l’alimentation 5 VDC, un connecteur micro USB (permettant notamment l’échange de données entre la Zipatile et par exemple un ordinateur), et quatre connecteurs.

Les connecteurs en question sont :

• deux sorties pouvant commuter un courant jusqu’à 230 VAC et 1 A , en contact sec (libres de potentiel), destinées par exemple, à accueillir un sous-circuit de la maison pour le commuter ;
• une entrée contact sec acceptant une tension de 12 à 24 VDC, pour brancher par exemple le contact d’une alarme ou directement un détecteur filaire ;
• un connecteur pour une sonde de température extérieure.

Bien sûr, les éléments branchés sur ces contacts sont directement exploitables depuis la tablette : les deux sorties contact sec peuvent être commutées, l’état du contact “entrée” et de la sonde de température peuvent être récupérés, et le tout est directement utilisable dans les scénarios de la Zipatile.

Utilisation de la Zipatile

Les utilisateurs de tablette ou smartphone Android ne seront pas dépaysés car le système tourne sous un Android. C’est donc une tablette complète avec les applications multimédia, la possibilité de l’utiliser pour la musique, la radio, comme cadre photo, pour regarder ses e-mails, etc.

Aucun problème par exemple pour afficher votre site préféré sur le navigateur de la tablette

Cependant, le Play Store n’est pas présent sur la Zipatile, une limitation mise en place par Zipato pour éviter que la tablette perde en performance sur son aspect domotique si de trop nombreuses applications y étaient installées.

Outre ces fonctions classiques, passons à ce qui fait le cœur de l’intérêt de la Zipatile : le logiciel intégré. Zipato a créé une distribution de son application spécialement dédiée à l’utilisation avec la Zipatile. Ceux qui connaissent la version web de l’interface Zipato ne seront pas dépaysés, l’interface est proche.

Pour utiliser la tablette, il suffit de la brancher au secteur. Ci-dessous, l’utilisation en mode “tablette posée”, mais le principe est le même si la tablette est fixée sur un mur.

Au premier allumage, il vous sera demandé de rentrer vos identifiants Zipato ainsi que votre mot de passe Wi-Fi (et éventuellement de créer un compte Zipato si vous n’en avez pas).

L’écran d’accueil est ensuite directement configuré pour indiquer l’heure, l’état du tableau “système d’alarme” (armé désarmé), la température, et quelques raccourcis, dont un raccourci qui mène directement sur l’application Zipatile et un qui mène sur la vue “par pièces” de cette même application. Si vous voulez directement éteindre la lumière de la chambre sans passer par tous les menus par exemple !

La tablette est paramétrable pour que l’interface soit en Français (et le clavier peut être paramétré en Azerty voire remplacé par un autre clavier logiciel Android). Attention, vous le verrez dans certaines captures d’écran ci-dessous : une partie des éléments n’a pas été traduit en français par Zipato. Cela n’est pas génant pour la compréhension et l’utilisation, mais peut être un peu surprenant. Cependant, cet aspect pourra totalement être résolu par de simples mises à jour futures de l’appareil et des applications embarquées.

Là où la tablette apporte un gros bonus, c’est que les différents éléments intégrés matériellement sont directement utilisables. Donc dans un premier temps, vous aurez un grand nombre d’éléments à votre disposition sans même avoir à les ajouter ou les paramétrer. Quelques exemples :

Capteurs de bruit (par le micro intégré) de choc (par un détecteur interne à la tablette) et de luminosité :

L’ensemble des détecteurs inclus dans la tablette : température, humidité, luminosité, mouvement, choc et bruit.

Voici également un écran montrant la prise d’image via la caméra frontale de la tablette, l’état du contact sec binaire vu plus haut, et l’alimentation secteur actuelle de la tablette (comme toute tablette, elle dispose d’une batterie intégrée, et peut donc fonctionner si le courant est coupé, tout en disposant de cette information, ce qui permet de faire des scénarios et alertes sur coupure de courant) :

Et bien sûr, il est possible d’ajouter ses propres appareils en Z-Wave. Leur contrôle et leur retour d’état apparaît sur l’interface (ci-dessous, une prise télécommandée avec retour d’état sur la consommation).

Et la tablette n’est pas bridée côté connectivité, puisqu’elle prend en charge les protocoles et marques Z-Wave, ZigBee, Nest, Philips Hue, Sonos, Bluetooth… Bref, de nombreux éléments de domotique courants pourront directement être ajoutés sur la tablette et pilotés par celle-ci.

Sortons maintenant du logiciel Zipato pour voir les autres applications proposées sur la tablette.

Cela va des applications très classiques (Calculatrice, navigateur, musique, horloges…) à des applications spécialement pensées pour cette tablette :

• OTA Upgrade, la mise à jour “Over The Air” (sans connexion filaire nécessaire)
• L’application Zipato, proposée directement par un raccourci sur l’écran d’accueil et qui gère l’aspect domotique et les capteurs inclus sur la tablette
• Et le “Touch Manager” qui va permettre une personnalisation pousée de la tablette comme nous allons le voir tout de suite.

Zoom sur la personnalisation de la Zipatile

Car outre la personnalisation qui peut être faite par les modules domotiques, les contacts fournis au dos de l’appareil, les scénarios et scènes domotiques et les applications, la tablette dispose aussi de la possibilité de personnaliser son fonctionnement tactile. Cela se passe dans l’application “Touch Manager” et permet principalement deux fonctions :

• Associer des actions lors de gestes spécifique du/des doigt(s) sur l’écran tactile
• Associer des actions aux 6 boutons situés de part et d’autres et de l’écran

Pour ce qui est des actions sur les gestes, il est possible de paramétrer différentes actions (appui bref, appui continu, doigt relaché, mouvement du doigt dans une direction haut/bas/droite/gauche sur l’écran tactile, et doigt enlevé de la tablette après un de ces mouvement). Chacune des ces actions peut être paramétrée pour un, deux ou trois doigts.

Quant aux actions en elles-mêmes, elles peuvent être l’allumage ou l’extinction de l’écran, ou le démarrage d’une application.

Une mise à jour a également apporté la possibilité d’accéder à une scène, au

L’interface permet de gérer les six boutons situés de part et d’autre de l’écran (trois à gauche, trois à droite) sachatn qu’il est possible d’allumer le centre des boutons avec une LED de couleur (couleur unique pour les 6 boutons, à choisir sur un nuancier de couleurs très complet).

Là encore, il est possible de sélectionner une action différente pour le clic simple, le double clic et le clic prolongé.

Ces boutons permettent aussi de démarrer les scènes présentes sur la Zipatile, pour ainsi allumer ou éteindre d’un coup certaines lumières, lancer l’ouverture ou la fermeture générale de volets roulants, et ainsi de suite.

Une autre fonction très sympatique pour le bidouilleur que je suis, c’est l’écran qui récapitule toutes les fonctions intégrées à la Zipabox : leur état et leur contrôle. Pour les capteurs, tout est remonté en temps réel (autant les capteurs de mouvement, luminosité, etc., que le dernier évènement pris en compte sur l’écran tactile), et pour les actionneurs (relais, déclenchement de la sirène intégrée), il est possible de les déclencher directement.

Avec un détail appréciable : quand un capteur change d’état, il est sougligné par un fond vert qui disparaît au bout de quelques secondes, permettant de voir assez vite quelles valeurs viennent d’être modifiées. Un très bon outil de diagnostic et très agréable au déballage de l’appareil pour faire un tour de toutes les fonctions qu’il comporte.

Conclusion

Auprès d’un grand public, une tablette c’est souvent ce qui symbolise le plus la domotique : un retour simple d’information et la possibilité de contrôler des appareils avec une interface unifié. Cela fait des années que les idées de frigo connectés sont systématiquement montrés avec une tablette sur la façade permettant d’en contrôler le contenu, bref, c’est réellement tout un symbole.

Avec une tablette, l’effet “waouh” est directement perceptible, cela rend les fonctions aussi accessibles que possible, et c’est également pour ça que la majorité des box mettent un point d’honneur à proposer de bonnes applications tablettes et smartphones, et que des solutions comme l’application ImperiHome ou la Zibase Multi, solution embarquée sur tablette Android, ont une certaine popularité. L’aspect “double emploi”, à savoir centrale domotique et tablette tactile (avec tout ce qu’elle permet de faire) est un plus non négligeable pour un appareil amené à visible dans la maison à tout moment. Même s’il y a deux écueils : le fait quel la tablette ne dispose pas de Google Play et donc de l’installation d’applis via cette boutique, et le fait qu’il y a quelques zones non traduites sur la tablette.

Avec ce produit très complet qu’est la Zipatile, Zipato a réussi à proposer un produit bien pensée sur les aspects essentiels. La Zipatile est a tout juste sur l’aspect “tablette” (la version d’Android est très fluide et fonctionnelle), elle est efficace sur l’aspect domotique (profitant de toute la connaissance que Zipato a acquis au fil des années avec la Zipabox), et complète pour les entrées, sorties et capteurs intégrées. C’est simple, en plaçant stratégiquement la tablette, elle peut vous permettre de faire l’économie de quelques périphériques Z-Wave coûtant une soixantaine d’euros chacun !

Bref, un produit que j’aurais plutôt tendance à recommander et qui saura sans nul doute trouver sa place dans certains foyers !

Découvrez la Zipatile (modèle blanc) sur notre boutique !

Cet article Zipatile, une solution domotique à base de tablette tactile par Zipato est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Les modules IQsocket et IQconbox sont des appareils commandés par GSM et Bluetooth qui ont acquis une certaine popularité.

Nous vous présentions cette gamme IQtronic commandée par SMS et Bluetooth dans un précédent article. Cet article concerne deux des modules IQtronic commandables par GSM :

• La prise IQsocket pilotable par SMS / appel / Bluetooth
• Le module Rain DIN IQconbox pilotable par SMS / appel / Bluetooth

Aujourd’hui nous abordons cette gamme un peu plus en profondeur avec des fonctions avancées : se connecter à l’appareil en Bluetooth pour mettre à jour des éléments internes de l’appareil.

Se connecter en Bluetooth à IQsocket et IQconbox

Dans la grande majorité des cas, un téléphone avec GSM sera amplement suffisant pour contrôler un IQsocket ou un IQconbox.

Les commandes SMS et les appels vocaux permettent de configurer la prise, de communiquer avec elle (contrôle de interrogation sur l’état) et de recevoir des alertes.

La connexion Bluetooth donne accès au contrôle en direct par SMS (sauf que contrairement au contrôle par GSM, le Bluetooth exige une proximité physique avec l’appareil), et offre en plus des fonctions de mise à jour que nous allons voir plus loin dans cet article.

Prérequis pour la connexion Bluetooth

Attention : l’IQsocket et l’IQconbox ont besoin d’avoir une carte SIM pour fonctionner, même pour tout ce qui est contrôle et configuration par Bluetooth. Donc dans tous les cas, un des prérequis est d’avoir une carte SIM active et avec son code pin désactivé insérée dans l’appareil.

Un autre prérequis est de disposer de connectivité Bluetooth sur le PC ou sur le Smartphone/la tablette.

Sur les smartphones et tablettes, la connectivité Bluetooth est quasiment devenur standard. Sur PC, c’est moins répandu. Certains PC ont le Bluetooth intégré (notamment les PC portables), mais si le Bluetooth est absent il vous faudra brancher un dongle USB Bluetooth sur le PC et l’installer convenablement.

Nous proposons par exemple ce type de dongle Bluetooth USB sur notre boutique :

Enfin, vous allez avoir besoin du logiciel IQcontrol suite proposé par le fabricant. IQcontrol suite fonctionne sur les téléphone disposant d’Android et sur les PC disposant de Windows XP, 7, 8, 8.1 et Windows 10. Les liens de téléchargement sont indiqués ci-dessous dans chacune des sections.

Dans le cas où vous avez plusieurs appareils IQsocket et IQconbox en fonctionnement, regardez sur l’étiquette de l’appareil quel est son BTMAC. C’est le code Mac Bluetooth, une adresse unique à l’appareil, qui vous permettra de le reconnaître dans la liste. Ici, MAC signifie “Media Access Control”, rien à voir avec Macintosh.

Connexion via un PC

Le logiciel IQcontrol suite est téléchargeable depuis notre page dédiée aux appareils IQtronic.

Démarrez le logiciel et cliquez sur le premier bouton, “IQControl”.

Je vous recommande d’ouvrir aussi l’utilitaire de périphérique de Windows à la rubrique Bluetooth, de la manière suivante :

• Double-clic sur le logo Bluetooth dans la zone de notifications (en bas à droite par défaut)
• Ou alors : raccourci clavier [Windows + i], “Périphériques” puis “Bluetooth”.

Votre écran devrait alors ressembler à ceci :

Cliquez sur “Connect” dans IQcontrol, et sélectionnez l’appareil Bluetooth dans votre liste. Notez que vous pouvez voir apparaître plusieurs appareils qui ont le Bluetooth activé et qui sont visibles.

Vous pourrez reconnaître le bon appareil grâce à son code Mac Bluetooth (voir plus haut dans les prérequis pour voir où trouver ce code).

Lors du premier appairage Bluetooth, l’appareil peut vous demander un code PIN. Il ne s’agit pas d’un mot de passe prééexistant, c’est en fait le code d’appairage qui doit être validé sur deux appareils quand ils sont connectés en Bluetooth pour la première fois. Mettez le code par défaut (0000) et validez.

Soit la connexion fonctionne directement, soit il vous faudra faire le jumelage manuellement. Si vous voyez apparaître le message “Can not connect to Bluetooth device“, cela signifie que la connexion a échoué (probablement lié au fait que vous aviez saisi un code pin différent précédemment).

Accédez alors à la fenêtre “Périphériques” de Windows et la section “Gérer les périphériques Bluetooth”, puis cliquez sur l’appareil en question (qui doit être marqué “Prêt pour le jumelage”), et enfin cliquez sur Jumeler.

Selon votre configuration Windows, vous pouvez avoir deux types d’écran :

• Windows peut vous donner un code à saisir dans l’appareil à associer, ce qui est impossible vu qu’il n’y a pas d’écran sur l’IQsocket et l’IQconbox pour saisir cela. Il vous faut donc cliquer sur “annuler” quand Windows vous présente cet écran.
• Soit vous avez un écran comme-ci dessous, vous indiquant que l’appareil à associé vous a indiqué à code pin et qu’il faut saisir ce code pin. Dans ce cas, laissez la case vide et cliquez juste sur “Suivant“.

Après avoir suivi ces étapes, vous pouvez vous connecter à l’appareil dans IQcontrol.

Que vous ayez réussi directement via IQControl ou que vous ayez du faire des manoeuvres dans la fenêtre “Périphériques”, vous obtiendrez alors l’écran suivant vous permettant de contrôler directement l’appareil :

Résolution des problèmes avec le Bluetooth – PC

Si l’appareil n’est pas marqué comme “prêt pour le jumelage”, et qu’il est tout de même inaccessible via IQcontrol, l’association Bluetooth a peut être raté (ce qui peut par exemple arriver si les deux appareils ne sont pas suffisamment proches pour l’appairage).

Dans ce cas :

1. Fermez le logiciel IQcontrol
2. Débranchez l’IQsocket ou l’IQconbox
3. Dans les périphériques Windows, cliquez sur l’appareil IQconbox ou IQsocket puis cliquez sur “Supprimer le périphérique” pour supprimer son association.

N.B. : ces étapes sont également à faire si après une connexion à l’appareil, vous voyez le message “Set correct pin !“. Ce message d’erreur signifie que l’appairage est toujours en mémoire du côté du PC, mais qu’il n’est plus en mémoire du côté de l’IQsocket ou l’IQconbox.

Connexion via un smartphone ou une tablette

Tout d’abord, il vous faudra télécharger et installer IQcontrol suite, disponible gratuitement sur Google Play, en tapant IQControl dans la recherche ou en cliquant directement ci-dessous.

Activez le bluetooth sur l’appareil mobile, puis démarrez l’application IQcontrol.

Il vous est demandé le choix entre contrôle GSM et Bluetooth, cliquez alors sur le logo Bluetooth.

Une liste des appareils IQtronic va s’afficher. Sur cet écran, cliquez sur l’IQconbox ou l’IQsocket correspondant puis cliquez en bas sur le bouton “Connect to device”.

Lors du premier appairage Bluetooth, l’appareil peut vous demander un code PIN. Il ne s’agit pas d’un mot de passe prééexistant, c’est en fait le code d’appairage qui doit être validé sur deux appareils quand ils sont connectés en Bluetooth pour la première fois. Mettez n’importe quel code, par exemple 0000 et validez (cela devrait occasioner une ou deux tentatives infructueuses de connexion). Au bout d’un moment, c’est l’appareil IQtronic lui-même qui enverra un code d’appairage pour que le téléphone le valide. À ce stade il vous suffit juste de cliquer sur “OK” à cette demande d’appairage Bluetooth pour que la connexion soit établie.

Si la connexion est réussie, vous devriez voir un écran tel que celui-ci :

Résolution des problèmes avec le Bluetooth – Smartphone

Le message “Set correct pin !” peut parfois apparaître et vous indiquer un message d’erreur.

Il ne s’agit pas du code PIN de la carte SIM, mais du code d’appairage Bluetooth interne à Android pour l’IQSocket. Ce message signifie généralement que l’appairage est mémorisée du côté de l’appareil Android, mais qu’elle a été oubliée du côté de l’IQsocket ou de l’IQconbox (ce qui peut arriver suite à une extinction).

Il est très simple de résoudre ce problème : il vous faut aller dans les paramètres de vos périphériques Bluetooth (pas l’icone d’interrupteur qui permet d’activer et désactiver le Bluetooth ; cliquez simplement sur le mot “Bluetooth”). Cliquez sur le périphérique IQtronic, et choisissez l’option “Dissocier”

Opérations réalisables en Bluetooth sur IQsocket et IQconbox

Les prérequis pour l’ensemble des opérations ci-dessous sont les suivants :

• Avoir réussi à joindre votre appareil en Bluetooth.
• Avoir récupéré le fichier que vous souhaitez mettre à jour sur l’appareil
• Avoir le niveau de licence correspondant à la fonction à activer

Le logiciel interne peut être mis à jour avec n’importe quel niveau de licence. La mise à jour d’un serveur vocal (IVR) ou d’un fichier de commandes nécessite d’avoir une licence MEDIUM ou FULL installée sur l’appareil.

Récupérez les fichiers voulus et qui correspondent à votre appareil. Les fichiers que nous vous proposons sont tous disponibles sur notre page dédiée aux téléchargements pour appareils IQtronic.

Il vous faudra ensuite décompresser ces fichiers sur l’appareil comportant l’application IQControl. Les fichiers doivent être vraiment hors du fichier .zip sinon ils ne seront pas trouvés.

• Fichier .bin pour un firmware (Exemple : IQTS_GS300_FWv104.bin)
• Fichier .ivr pour un serveur vocal (Exemple : IQT_IVRFR.ivr)
• Fichier .cmd pour un fichier contentenant les commandes et les textes de reponses (Exemple : IQTD_GS400_FR_FREE_v2.cmd)

Sur PC, vous pouvez les placer dans le répertoire de votre choix pour les trouver facilement. L’application vous permettra d’accéder au répertoire où vous les aurez sauvegardé.

Par exemple si vous voulez envoyer un fichier .ivr, vous pourrez aller le récupérer dans n’importe quel répertoire de votre machine :

Sur smartphone / tablette Android, l’application IQcontrol peut ne pas trouver directement le fichier au moment où vous voulez l’installer. Si c’est le cas, voir plus bas sur la méthode pour déplacer un fichier sur votre appareil Android. Le répertoire recommandé pour les fichiers : Mes fichiers > Device storage > Download (stockage interne du téléphone).

Après vous être assuré d’avoir le(s) fichier(s) à installer à disposition sur votre appareil, il vous suffit de cliquer sur Devices Settings dans IQControl. Plusieurs boutos sont alors présentés.

Mise à jour du logiciel interne

Cliquez sur “Upgrade firmware“.

• Sur smartphone/tablette Android, le logiciel scanne alors tous les fichiers .bin présent dans la mémoire de votre appareil mobile et vous les présente.
• Sur PC, atteignez le répertoire où vous avez décompressé le fichier .bin de mise à jour.

Cliquez alors sur le fichier à télécharger puis validez avec le bouton en bas, devenu orange.

Les écrans ci-dessus sont ceux de l’application mobile. IQControl suite sur PC a un déroulement identique, sauf pour la sélection du fichier bin qui peut se faire sur l’intégralité de l’ordinateur.

Une barre de progression s’affiche jusqu’à ce que le logiciel soit déployé sur l’appareil.

Notez

Ajouter et activer un serveur vocal interactif en français

Notez que pour pouvoir envoyer un nouvel IVR, il faut d’abord que l’appareil ait une licence MEDIUM ou FULL préalablement activé, sinon cette fonction n’est pas disponible.

Comme pour la mise à jour du firmware, en cliquant sur “Upload new IVR“, l’appareil vous proposera tous les fichier .ivr présent dans la mémoire de votre appareil mobile.

Les écrans ci-dessus sont ceux de l’application mobile. IQControl suite sur PC a un déroulement identique, sauf pour la sélection du fichier ivr qui peut se faire sur l’intégralité de l’ordinateur.

Vous aurez alors le serveur vocal en français.

Il faut ensuite activer le serveur vocal comme réponse lors d’un appel d’un Administrateur (numero unique configuré avec la commande AddAdmin) ou d’un Utilisateur (liste de plusieurs numéros enregistrés avec la commande AddUser).

Les commandes, présentées dans la notice, sont les suivantes :

RingActionAdmin=IVR
(active le serveur vocal lorsque le numéro de la carte SIM est contacté par le numéro défini comme administrateur)

et
RingActionUser=IVR
(active le serveur vocal lorsque le numéro de la carte SIM est contacté par un autre numéro).

Un autre réglage : UserTypeIVR définit le type d’accueil sur le serveur vocal : simple ou complet.

UserTypeIVR=Short
Avec cette commande, la réponse du serveur vocal est simple : la prise change d’état et l’appel est terminé

UserTypeIVR=Long
C’est le réglage par défaut : le serveur vocal propose de presser une touche pour connaître l’état de l’appareil, une touche pour changer cet état, etc.

À la fin des manuels de l’IQsocket et l’IQconbox, une section explique le fonctionnement du serveur vocal. La lecture de cette section indique les réponses du serveurs et comment naviguer dans les différentes rubriques.

Mettre à jour le fichier de commandes et de réponses

De la même manière que pour l’envoi d’un firmware ou d’un fichier IVR contenant le serveur vocal interactif, vous pouvez envoyer sur l’IQsocket ou l’IQconbox un fichier contenant des commandes traduites. Il suffit de cliquer sur “Upload commands” et de sélectionner le fichier .cmd à envoyer afin de mettre à jour ce fichier de commandes.

Après avoir envoyé le fichier sur l’appareil, un redémarrage de la prise est nécessaire pour que le nouveau fichier soit bien pris en compte. Aucun réglage ou commande supplémentaire n’est nécessaire.

Notez qu’il existe un bouton “Download commands” qui permet de récupérer le fichier présent sur l’IQsocket ou l’IQconbox afin de pouvoir l’éditer par la suite.

L’éditeur est disponible sur IQcontrol suite sur PC, il vous suffit de cliquer sur “Commands Editor” au démarrage du logiciel (au lieu de IQcontrol) puis de charger votre fichier .cmd pour pouvoir éditer son contenu.

Dépannage : fichiers de mise à jour introuvables dans l’application IQcontrol

Si à cette étape les fichiers ne sont pas présents, cela peut vouloir dire deux choses :

• Ils sont présents mais ne sont pas décompressés : ils sont encore au format du style ivrFR.ivr.zip et ne sont pas détectés par le logiciel. Veillez à ce que vos fichiers soient bien décompressés pour que le logiciel puisse les reconnaître.
• Ils sont à un endroit auquel le logiciel ne peut pas accéder. Il ne parvient pas à voir les fichiers, donc il ne les affiche pas sur cet écran. Dans ce cas déplacez les fichier de la manière suivante :

Dépannage : déplacer un fichier

Accédez au gestionnaire de fichiers via l’application “Mes fichiers”. Naviguez dans les répertoire jusqu’à trouver le fichier .bin, .ivr et/ou .cmd.

Cocher le fichier, et cliquer sur l’icone en haut à droite, et sélectionnez la flèche avec l’intitulé “Déplacer”(alternativement, vous pouvez appuyer sur un de ces fichiers et laissez le doigt enfoncé dessus jusqu’à ce qu’un menu s’affiche, puis sélectionner “Déplacez” dans le menu qui s’ouvre).

L’application va alors vous proposer de naviguer dans les différents répertoire et indiquer où placer le fichier. Il est recommandé de le placer dans le répertoire “Download”, mais vous pouvez utiliser d’autres destinations.

Vous pouvez donc reprendre la suite des étapes proposées dans un des paragraphes précédent pour faire l’opération voulue.

Nous espérons que ces étapes vous auront permis d’utiliser votre appareil IQtronic de la manière souhaitée et de profiter des nombreuses possibilités offertes par ces produits Bluetooth et GSM !

Cet article Aller plus loin avec IQsocket et IQconbox : mise à jour, serveur vocal… est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Somfy a lancé il y a quelques mois une gamme de caméras de surveillance, les caméras VisiDom.

Il s’agit de trois caméras différentes, deux intérieures et une extérieures, dont le principe est d’être directement connectées à un smartphone ou à une tablettes. Les caméras sont ainsi consultables et pilotables directement depuis l’application VisiDom sur iOS (donc depuis un iPhone ou iPad) et systèmes Android.

Elles sont résolument axées sur la création d’un système anti-intrusion, disposant d’un système de détection de mouvement et d’une mémoire interne (sur carte SD) pour stocker les vidéos détectées en cas d’intrusion.

Avant de passer au déballage et au test, voici la vidéo de présentation de Somfy en guise d’introduction :

Déballage et mise en place des caméras VisiDom

Même si ce qui nous intéresse est plus le contenu des boites que les boites en elles-même, nous pouvons tout de même préciser que celles-ci sont de bonne facture et ont une bonne présentation. Les boites sont légères tout en restant suffisament solides. Mais venons-en plutôt au déballage des caméras en elles-mêmes.

VisiDom IC100 : caméra intérieure avec capteur de mouvement

Découvrons la première des trois caméras : la caméra IC100 de VisiDom. C’est une caméra prévue pour un usage intérieur uniquement. La boite contient un manuel de mise en marche multilingue, un câble Ethernet de 2 mètres, une alimentation, le support de la caméra et ses éléments de fixation, et une carte micro SD de 8 Go.

Si nous examinons de plus près la caméra en elle-même, nous pouvons voir sur sa façade les LEDs LNK (indiquant la connexion au réseau) et PWR (indiquant que la caméra est sous tension).

L’objectif de la caméra lui-même, un capteur 1/4″ CMOS, pouvant aller jusqu’à une résolution HD 1280 x 720. Le capteur est entouré de 5 LED IR pour une vision nocturne à 5 mètres, ainsi qu’un capteur de luminosité (le petit cercle visible en bas de l’anneau du capteur) pour le déclenchement automatique de ces LED. Au-dessus du capteur se trouve un capteur de mouvement PIR (infrarouge passif), qui aura un rôle prépondérant pour l’envoi d’alerte et le déclenchement des enregistrements pour la caméra.

La petite encoche en dessous des voyants LNK et PWR, c’est un micro qui permet d’avoir le son en plus de l’image.

Enfin, au dos de la caméra, nous trouvons une entrée pour le jack d’alimentation et pour le câble Ethernet, ainsi qu’un pas de vis (standard) pour placer la caméra sur son pied, et un haut parleur qui permet de s’adresser directement aux personnes de l’autre côté de la caméra.

Le pied, quand à lui, est une vis pour pas de vis standard. Il peut être orienté et incliné dans toutes les directions et dispose sur sa base d’encoches, ce qui fait que vous pouvez au choix le poser sur un support plat, ou directement le fixer au mur avec les vis fournies (2 vis et 2 chevilles sont présentes dans la boite de la caméra).

Cela permet une multitude de positions possibles pour cette caméra. Posée sur un meuble bas et orientée vers le haut pour capter un maximum d’images dans la pièce, à l’inverse posée sur un meuble haut et penchée vers le bas, ou même fixée au mur et orientée dans la position de votre choix.

Notez que pour les exemples de placement ci-dessus, nous n’avons pas branché l’alimentation sur la caméra, c’est un point à prévoir. Comme vous pouvez le voir sur la photo montrant le dos de la caméra, l’alimentation se branche directement sur celle-ci et ne passe pas par le support de la caméra. En revanche, nul besoin de câble Ethernet sauf éventuellement pour la configuration initiale, car la caméra peut ensuite être relié à votre réseau via WiFi. L’alimentation est donc le seul câble à prévoir pour l’installation de cette caméra.

Voici à quoi ressemble la caméra une fois que celle-ci est câblée avec l’alimentation et le câble Ethernet. Notez aussi sur le côté la présence d’un port pour carte micro SD. Une carte Micro SD de 8 Go est fournie avec l’appareil (avec un adaptateur pour format SD classique), et la capacité maximale acceptée pour la carte Micro SD est 32 Go. Le rôle de la carte est de stocker les vidéos enregistrées par la caméra (enregistrement manuel, ou automatique depuis une détection).

Nous nous intéresserons plus au fonctionnement en lui-même dans la seconde partie de cet article.

VisiDom ICM100 : caméra intérieure motorisée

Passons maintenant à l’ICM, une caméra dont la forme se rapproche plus d’une petite sphère. La particularité de cette caméra est qu’elle est motorisée.

En ouvrant la boite, nous trouvons le contenu suivant :

• La caméra ;
• Une notice multilingue ;
• L’alimentation de la caméra ;
• Un câble Ethernet ;
• Une antenne ;
• Une carte MicroSD de 8 Go et son adaptateur.

Le support n’est pas séparé de la caméra et il n’y a pas non plus de vis et chevilles fournies sur cette caméra, et cela pour une raison simple : cete caméra est uniquement conçue pour être posée. Cependant, sa motorisation lui permet de couvrir un angle de vue assez important en la plaçant stratégiquement. La motorisation permet à la caméra de couvrir un angle de en 270° en panoramique (pan) et 90° en inclinaison (tilt).

La caméra a une forme très moderne : blanche, arrondie et avec son look assez épuré, c’est peut être celle de la gamme Visidom qui peut s’intégrer le plus facilement à un intérieur en étant simplement posée sur un meuble. Ce qui est cohérent avec le fait que ça soit le seul mode d’installation possible de cette caméra.

Tout comme la IC100, elle dispose d’une caméra à résolution HD, de 5 LED IR et d’un détecteur de luminosité qui déclenchera les LEDs, d’un microphone et d’un haut parleur pour entendre ce qui se passe et s’adresser aux personnes présentes (le microphone étant situé à l’avant, dans la partie basse de la base). En outre, la base et morotisée. Notez également que cette caméra ne dispose pas de détecteur de mouvement PIR contrairemenet aux deux autres caméras, elle peut cependant tout de même détecter un mouvement par analyse de l’image.

Sur la base de la caméra, au dos, sont présent les éléments suivants : le port RJ45 pour brancher le câble Ethernet, un bouton de réinitialisation, un port micro SD, un port d’antenne pour l’antenne WiFi fournie, le connecteur pour l’alimentation électrique et un voyant indiquant que la caméra est sous tension

L’installation est assez simple, et comme pour les autres caméras VisiDom, la connectivité WiFi permet de se passer du câble Ethernet. La caméra et les câbles étant à l’arrière, pas de complication particulière pour l’installation : il suffit de poser la caméra sur un meuble proche d’un mur et d’une prise électrique murale, de brancher le tout, et elle est prête à l’emploi.

Là encore, nous reviendrons plus en détail sur le fonctionnement dans la deuxième partie de cet article.

VisiDom OC100 : caméra de surveillance extérieure avec capteur de mouvement

Dernière caméra de notre test, mais pas des moindres : la caméra extérieur de la gamme VisiDom. Elle se rapproche plus de l’IC100, car elle dispose aussi d’un pied permettant de nombreuses possibilités de positionnement, ainsi qu’un capteur de mouvement PIR intégré, et ne dispose pas de motorisation comme l’ICM100.

Et bien sûr, comme c’est l’objectif de cette caméra, elle peut être installée en extérieur grâce à son indice de protection IP66.

Nous retrouvons dans la boite les éléments habituels, dont voici le détail :

La caméra VisiDom et son support, orientable et inclinable dans toutes les directions. La caméra en elle-même dispose directement d’un câble d’alimentation soudé à la base et suffisament protégé pour l’utilisation extérieure.

Le support est fourni avec 3 vis et 3 chevilles pour une fixation murale ou au plafond.

Et les accessoires fournis avec la caméra :

• L’antenne pour le WiFi ;
• Une carte SD 8 Go avec son adaptateur
• Un câble Ethernet, qui se relie au dos de la caméra avec MicroUSB. Le câble est assez court car c’est clairement l’utilisation WiFi qui est préconisée pour cette caméra.
• L’adaptateur pour l’alimentation ainsi que son câble. Il se branche directement au bout du câble d’alimentation protégé soudé à la caméra.

Première chose à noter pour l’installation de la caméra : deux pas de vis sont présents pour la caméra, l’un au-dessus et l’autre en dessous. Avec le support qui peut permettre jusqu’à un angle de 90° pour la caméra (ce qu’on utilisera par exemple pour une fixation murale), cela donne une grande possibilités de fixation. Que la caméra soit fixée au plafond, au mur ou même posée, elle conservera le détecteur PIR à la position optimale et le logo à l’endroit (oui, c’est un détail, mais cela reste plus esthétique !)

La caméra dispose, comme des deux autres, d’un micro et d’un bandeau de LED pour la vision nocturne, qui se déclenchent lorsque la luminosité est trop basse.

Petite différence par rapport aux caméras intérieures : elle ne comporte pas de haut parleur permettant de s’adresser aux personnes en face de la caméra.

Au dos de la caméra, nous retrouvons la connectique. Le capuchon en caoutchouc protège le port pour placer la carte micro SD fournie ainsi que le port micro USB pour brancher l’adaptateur USB/RJ45 mâle. Il y a également le connecteur d’antenne et le câble d’alimentation, directement soudé à la caméra et évoqué précédemment.

Le capuchon permet de fermer hermétiquement la caméra. Il ne peut être refermé lorsque le câble micro USB / RJ45 est branché, mais ce câble n’est prévu pour être utilisé que pour la configuration initiale. Une fois la caméra configurée en WiFi, le câble peut être débranché et le capuchon en caoutchouc refermé pour protéger la carte microSD.

Notons que cette caméra est de taille plutôt compacte pour une caméra extérieure : environ une longueur de 13 cm pour un diamètre de 6 cm (sans compter le support).

Nous allons à présent mettre les trois caméras à l’essai en les ajoutant toutes trois dans l’application dédiée proposée par Somfy.

Fonctionnalités et essai des caméras VisiDom

Récaptitulatif des fonctions propres à chaque caméra

Commençons par un comparatif sur les fonctionnalités propres à chacune des caméras VisiDom.

Utilisation des caméras VisiDom avec l’application mobile dédiée

Les caméras sont conçues pour être directement configurées et utilisées depuis un smartphone ou une tablette (sous Android ou iOs). Il suffit donc de chercher Visidom sur le Play Store ou sur l’App Store pour accéder à l’application dédiée :

Une fois l’application démarrée, il est demandé à l’utilisateur d’ajouter les caméras en leur donnant un nom et en indiquant le code à 12 chiffres (code “DID”) indiqué au dos de la caméra à ajouter.

Selon votre choix, le nom peut être celui de la caméra, le lieu où elle est située, etc. Pour le code à 12 chiffres, il est possible de chercher sur le réseau pour ne pas avoir à retaper manuellement le code (dans l’exemple ci-dessous, il suffit de regarder le code des caméras et d’appuyer sur la ligne qui correspond). Enfin, le code d’administrateur est demandé, 123456 par défaut.

Une fois les caméras ajoutée, la vue principale de l’application montre des images fixes des caméras. Chaque caméra est accessible individuellement en cliquant dessus. Une autre possibilité de cet écran est de cliquer sur l’icône de configuration, ce qui fait apparaître 3 icônes sur chaque image de caméra : un dossier qui permet de consulter les archives, une clé anglaise qui permet de configurer la caméra, et une poubelle qui permet de supprimer l’association à la caméra.

Les images fixes peuvent être mises à jour en cliquant sur l’icône de rafraichissement (à droite du rouage). L’icône en forme de plus permet d’ajouter une caméra, jusqu’à un total de 8 caméras maximum. La dernière icône située tout à droite donne accès à une fonction qui permet de verrouiller l’accès à l’application par un mot de passe, une version électronique de la notice, et l’écran donnant des informations sur la version actuelle de l’application.

Un clic sur la clé permet d’accéder à la configuration de base de la caméra (nom, code DID à 12 chiffres, clé de sécurité) ainsi que d’activer ou désactiver les notifications. Mais le principal intérêt de cet écran est de donner accès au paramétrage avancé de chaque caméra.

L’écran de paramétrage avancé (ci-dessus, avec la configuration par défaut) donne accès à plusieurs options de la caméra, et notamment la possibilité de la connecter directement au Wi-Fi. C’est dans la section “Paramètres Wi-Fi” de cette caméra qu’il est possible de choisir un réseau WiFi et son mot de passe.

Par la suite, l’application indique l’écran suivant pendant que la caméra redémarre. Il suffit alors de débrancher son câble Ethernet, et la caméra est désormais accessible sans devoir brancher un câble RJ45 sur celle-ci.

D’autres options sont disponibles pour affiner la qualité de l’image et l’orientation de la caméra.

Deux options qui doivent être retenues sont le mode de détection : il est possible de désactiver complètement les détection, ou de faire en sorte qu’elle se déclenchent. Pour les caméras munies de PIR, vous avez même le choix entre détection de mouvement par capteur IR ou par analyse de l’image.

De même, le choix est proposé entre plusieurs qualité d’image. Par défaut, la résolution est en 640 x 480 avec une image assez compressée pour optimiser sa fluidité. Ainsi, l’utilisation peut s’adapter à de nombreux usages.

Le fait de regarder la caméra en définition standard (VGA) peut notamment être utile si vous êtes amené à beaucoup regarder le flux en direct de la caméra et que votre smartphone ne sera pas en WiFi à ce moment-là. En effet, la consultation régulière des images en HD peut occasionner une certaines consommation de données du côté du smartphone (ou de la tablette) connectée à l’application. C’est notamment une des raisons pour laquelle l’écran d’accueil de l’application présente des images fixes et non pas les flux vidéo en direct.

Donc, le choix ici dépendra du forfait data dont vous disposez lorsque vous n’êtes pas chez vous et qu’il n’y a pas de réseau mobile à portée.

En parlant du flux vidéo, le visionnage en direct d’une caméra est accessible donc en appuyant sur l’image de celle-ci sur l’écran d’accueil (sans avoir cliqué sur le rouage, donc sans avoir les icônes). Lors de la première connexion à la caméra, il vous est demandé de saisir une clé de sécurité (ci-dessous, à gauche). Vous avez ensuite accès à la vidéo en direct et aux options de la caméra.

L’image ci-dessus est celle de l’ICM 100.

L’interface offre 5 fonctions :

• Le haut parleur permet d’entendre (et de rendre muet) le son capté par le micro intégré à la caméra
• La touche d’enregistrement lance un enregistrement de la vidéo, qui doit être stoppé manuellement, et qui est stocké ensuite sur la carte SD.
• L’appareil photo permet de capturer l’image fixe de la caméra et la sauvegarder sur la carte SD.
• Le micro est un “push-to-talk” : tant que cette icône est enfoncée, ce que vous dites dans le micro du smartphone ou de la tablette est transmis dans le haut-parleur de la caméra
• La dernière icône permet d’enregistrer et de restituer jusqu’à 3 positions pour la caméra (inclinaison + panoramique). Il faut donc d’abord personnaliser les positions de son choix, et il est ensuite simple de les récupérer dans ce menu.

Effectivement, cette caméra est celle qui est munie d’une motorisation. Pour contrôler la motorisation de la caméra, il suffit de faire glisser sur son doigt sur l’image de la caméra dans le sens où l’objectif doit tourner.

Cette courte vidéo vous montre différentes positions de la caméra obtenues avec sa motorisation intégrée.

Les icônes disponibles dépendent bien sûr de la caméra consultée.

Ainsi, sur la caméra IC100 qui n’est pas motorisée, il n’y a pas la touche de choix de la motorisation :

Et sur la caméra extérieure OC 100 qui n’est pas motorisée et ne dispose pas d’un haut parleur pour transmettre la voix, l’icône du micro “push-to-talk” n’est pas présente.

Abordons enfin l’une des fonctions les plus intéressantes de ces caméras : le détecteur de mouvement. Dans le menu “Avancé” que nous avons vu plus haut, il est possible de paramétrer le type de détection (par algorithme d’analyse d’image, ou par infrarouge pour les modèles qui en disposent), et le type de réaction à une détection de mouvement :

• Enregistrer 1 minute de vidéo sur la carte SD de la caméra ;
• Envoyer une notification sur l’appareil disposant de l’application mobile avec la caméra associée ;
• Envoyer un e-mail à une adresse spécifique (il est nécessaire de fournir un compte SMTP).

En configurant la notification, l’application enverra une notification sur le smartphone ou la tablette en cas de mouvement détecté et elle n’a pas besoin d’être en cours d’exécution plein écran pour remonter la notification, il suffit qu’elle ait été démarrée et qu’elle soit en arrière-plan.

Cependant, deux petits bémols sur cette notification : au lieu de remonter le nom perso, il remonte le code d’identification DID de la caméra, ce qui ne rend pas leur identification très simple. De plus le message est en anglais, même s’il reste compréhensible.

Autre écueil rencontré lors de nos tests : sur Android, la configuration d’une notification sur e-mail ne fonctionne pas. Lorsqu’on clique sur “Enregistrer”, la fenêtre permettant de saisir les identifiants e-mails se ferme sans que les éléments saisis soient enregistrés. Une anomalie qui n’est visiblement pas présente sur la version iOs et qui sera probablement corrigée lors d’une mise à jour future.

Enfin, il y a l’icône que nous avons vu plus haut (le dossier) qui permet de consulter les archives vidéos des cartes SD de chacune des caméras.

Enfin, dernière fonction testée sur la caméra : la vision nocturne. Celle-ci se déclenche dès que la luminosité est insuffisante et fait très bien le travail d’une vision nocturne.

Ci-dessous, un enregistrement pendant que la caméra est plongé dans l’obscurité totale :

Quid d’une intégration dans la domotique ?

La caméra est conçue pour être directement ajoutée dans les box de Somfy (Tahoma et Somfy Box), simplement en ajoutant le numéro DID à 12 chiffres de la caméra. Lors de nos tests, nous ne sommes pas parvenus à atteindre le flux vidéo de la caméra depuis un accès externe, la caméra peut être donc utilisée des deux façons suivantes : “autonome” avec l’application Visidom, ou avec les solutions domotiques de Somfy.

Cela reste dans l’optique de la marque Somfy de proposer tout une gamme de produits compatible entre eux, et le fonctionnement en caméra autonome n’est pas un fonctionnement à demi-mesure, ces caméras restent entièrement utilisable en dehors de l’utilisation d’une box, pour les personnes qui voudraient simplement ajouter de la surveillance vidéo chez eux.

En conclusion, la gamme de caméra Somfy remplit très bien son office de caméras anti intrusion, et avec les prix publics indicatifs de Somfy, elle constitue une solution assez simple à déployer et qui a le gros avantage d’avoir un stockage de donnée en local au niveau des caméras. Pour une utilisation en autonome, les caméras remplissent complètement leur office, avec le savoir faire de Somfy pour proposer des produits vraiment grand public.

En effet, le seul bricolage à effectuer consiste éventuellement à percer des trous pour fixer le support, mais après, il n’y a aucune configuration réseau compliquée à effectuer. C’est généralement la configuration réseau qui peut faire paraître les caméras IP classiques moins simples à utiliser, et l’outil permet complétement de s’affranchir de cette partie de configuration du réseau.

Cet article Trois caméras Somfy VisiDom au banc d’essai est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Découvrons ensemble NIU : un bouton qui s’associe en Bluetooth avec un Smartphone pour déclencher des fonctions variées.

NodOn est une société qui a plein d’idées pour des périphériques domotiques et objets connectés, et qui n’hésite pas à mettre ces idées en pratique !

Côte domotique, nous avions évoqué précédemment la prise connectée NodOn et vous avez peut-être déjà croisé les différentes télécommandes proposées par NodOn en Z-Wave et enOcean.

Voir les périphériques et objets connectés de NodOn sur notre boutique

Aujourd’hui, c’est sur un objet connecté que nous réalisons un test. Il n’a donc pas besoin de box domotique pour être utilisé (même si ce n’est pas impossible comme nous allons le voir), il est conçu principalement pour être directement associé à un Smartphone et lui ajouter des fonctionnalités.

Comme vous le verrez, il cible principalement les jeunes (design, fonctionnalités, et tutoiement dans l’application), mais après tout il n’y a pas d’âge pour arrêter d’être jeune

Déballage : le bouton NIU et le support à selfie

Le bouton NIU est fourni dans un joli packaging (le téléphone Samsung montré sur la photo n’est pas inclus !).

Dans la boite, vous trouverez le bouton en lui-même, ainsi qu’un support à selfie et une notice (brève, mais le fonctionnement est de toutes façons très explicite dans l’application comme nous le verrons ci-après).

Le support à selfie en question se place au dos de votre smartphone à l’aide d’un ventouse et permet de faire tenir le téléphone droit pour prendre des selfies (une des fonctions que permet le bouton).

Ce support est rigide, mais peut être mis à plat simplement en appuyant sur les côtés, et il tient alors dans cette position à plat et de manière stable, ce qui permet éventuellement de le laisser fixer au téléphone en permanence.

Concernant le bouton NIU en lui-même, il est très compact, il tient dans la main et peut tout à fait être mis dans une poche, un sac, ou même dans un portefeuille un peu épais. De plus, il est magnétisé, ce qui permet de le placer sans utiliser d’agent fixant, sur la porte d’un frigo, sur une lampe, sur le côté d’un boitier de PC…

Concernant le boitier de PC, assurez-vous que celui-ci est bien stable avant d’essayer de placer le bouton dessus, il serait facheux de faire basculer le PC en voulant utiliser le bouton. Attention aussi à ce qu’un aimant peut faire sur un PC, il faut notamment éviter les aimants à proximité des disques dur magnétiques (même s’il y a peu de chance de réussir à effacer un disque dur avec un magnet comme ça, la prudence est de rigueur).

Concernant l’alimentation, le bouton utilise une simple pile bouton, fournie. Pas besoin de sortir les tournevis de précision, une simple pièce permet d’ouvrir et fermer solidement le boitier pour atteindre la pile et la remplacer.

Nous avons testé la version bleue ciel, mais sachez qu’il existe aussi en 5 autres coloris : blanc, bleu marine, gris, vert wasabi et rose framboise.

Application NIU sur iOs : plein de possibilités à portée de main

Commençons par une petite présentation en vidéo.

Pour cet article, nous avons fait l’intégralité de nos tests sur iOs (avec un iPhone), car l’application Android n’est pas encore disponible. Cependant, sa sortie est prévue assez prochainement et nous l’attendons impatiemment !

L’installation initiale du NIU est très simple : il suffit de télécharger l’application sur l’AppStore et de suivre les indications.

À la première utilisation, l’application vous demandera de créer votre compte associé au bouton NIU (ou de vous connecter si le compte existe déjà).

Vous avez ensuite le choix entre créer un bouton virtuel sur l’écran de votre téléphone (ce qui permet par exemple de tester les fonctions de l’application même si vous n’avez pas encore de bouton), ou bien associer un bouton existant.

Après avoir activé le Bluetooth s’il n’est pas actif, l’application se met en mode association et il suffit alors de laisser le NIU pressé jusqu’à ce que l’association soit confirmée.

L’application indique alors que le NIU est associé et demande d’indiquer son nom ainsi que sa localisation. Pour nous, le bouton s’appelera Planète.

Est alors présenté un écran qui donne accès au bouton. L’état de la pile du bouton est indiqué dessus, l’icône en forme de rouage permet de paramétrer les actions en cas d’appui. Quand à l’image représentant le bouton, elle fonctionne directement comme un bouton virtuel. C’est à dire que si vous effectué un appui simple, double ou prolongé sur l’image du bouton sur l’écran du téléphone, l’action associée à chaque type d’appui se déclenchera.

Justement, passons au paramétrage des actions. Un clic sur le rouage nous permet de sélectionner une action pour chaque type d’appui (un appui court, deux appui courts, ou un appui prolongé).

Parmi les actions disponibles, on trouve la connexion avec IFTTT, et six actions proposées par l’application.

• Photo : permet de déclencher la pirse de vue d’une photo
• Vidéo : permet de déclencher l’enregistrement du vidéo
• Dictaphone : met le téléphone en mode “dictaphone”. Dans ce mode, les fonctions des appuis sur les touches permette de démarrer et interrompre l’enregistrement (voir plus bas).
• Appel fictif : déclenche un appel fictif sur le téléphone pour se sortir d’une situation délicate
• Jouer un son : permet de jouer le son de votre choix parmi une banque de son proposée
• Trouver mon téléphone : fait retentir une alarme sur le téléphone pour le localiser en cas de perte.

Vous connaissez peut-être la solution IFTTT, un système de cloud pour faire travailler ensemble les objets connectés. Nous n’aborderons pas l’utilisation du NIU avec IFTTT dans cet article, mais bien évidemment c’est cette fonction qui permettra éventuellement de faire fonctionner le bouton NIU avec d’autres objets connectés, ou même une centrale domotique si elle peut elle-même communiquer avc IFTTT.

Passons en revue les fonctionnalités proposées :

Pour l’application dictaphone, l’application passe dans un mode spécial. Après avoir demandé l’autorisation d’accéder au micro, l’écran décrit le fonctionnement de la fonction.

Le fait que les 3 types d’appui sur le bouton aient des rôles différents permet de faire plusieurs enregistrement d’affillée et de les sauvegarder séparément sans devoir reprendre le téléphone en main : tout se fait depuis le bouton, et un appui prolongé permet de sortir du mode dictaphone.

Pour la prise de photo et de vidéo, l’application demande également l’autorisation d’accédder à l’appareil photo. Après, l’utilisation est toute simple, le bouton NIU sert de déclencheur. Pour ces modes, le support à selfie fournie avec l’appareil trouve toute son utilité !

En ce qui concerne l’Appel fictif, il fonctionne sur un système de crédits d’appel. Un appel venant d’un numéro précis est émis, ce numéro peut être enregistré dans les contacts (avec photo et sonnerie à la clé par exemple) pour rendre l’appel fictif le plus convaiquant possible.

Concernant la fonction “Trouver mon téléphone”, elle est simple et efficace, le type d’appui sur lequel cette application est définie déclenchera une alerte sonore pour retrouver le téléphone.

Quand à la fonction “jouer un son”, elle donne accès à une catégorie de son très varier, des bruits d’ambiance aux cris d’animaux. Les bruitages sont classés par catégorie, il est possible de cocher un seul effet sonore (“miaulement” par exemple), ou de cocher une sélection d’effets sonores au choix, et même de cocher une catégorie entière. Dans le cas où plusieurs sons sont cochés, un son sera choisi au hasard parmi tous ceux cochés. Notez que “jouer un son” peut faire aussi office de fonction “trouver mon téléphone”, ce qui peut économiser un emplacement d’action.

Après avoir configuré les actions sur les différents types d’appui, ils apparaissent en clair sur l’application, avec les appuis indiqués explicitement.

Et bien sûr, comme indiqué plus haut, l’image représentant le bouton dans l’application agit elle-même comme une simulation de l’appui sur le bouton. Ainsi vous pouvez tester les actions choisies, soit directement en utilisant le bouton, soit dans l’application.

Bref, le NIU fait partie de ces petits accessoires objets connectés qui peuvent vite s’avérer indispensables pour les fanas de smartphones et de gadgets pratiques et ludiques. Nous attendons bien sûr l’application Android avec impatience, et ça sera l’occasion de tester ce que peut faire le bouton NIU une fois connecté avec IFTTT.

En tous cas, si vous avez un téléphone ou une tablette Apple tournant sur iOs, n’hésitez pas à télécharger l’application gratuite proposée par NodOn pour le NIU : elle permet, juste en créant un compte, d’esssayer les différentes fonctions proposées par l’application en utilisant un bouton virtuel. Si vous êtes conquis par les fonctions de l’appli, il ne vous restera plus qu’à faire l’acquisition d’un NIU et à l’associer à votre appareil, que ça soit pour faire des selfies réussis, pour prendre des notes vocales importantes, ou simplement pour vous amuser !

Découvrez toute la gamme NIU sur Planète Domotique !

Cet article NIU, le bouton Bluetooth compagnon de votre Smartphone est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Les modules Z-Wave de la gamme Qubino ont la capacité d’accueillir une sonde de température optionnelle. La sonde de température envoie la température mesurée au contrôleur principal via le réseau Z-Wave.

Le gros avantage d’une telle sonde, c’est que les modules Qubino étant alimentés en permanence (généralement sur le 230 V, et pour certains modules sur une alimentation 24 V voire 12 V), il n’y a pas à de soucier de devoir réveiller un module pour avoir ses données ou changer ses piles. Et il est possible de monter la sonde dans un boitier en saillie ou dans une boite d’encastrement recouverte par un cadre pour une intégration parfaite dans votre intérieur.

Sur la plupart des box domotiques, la température est directement remontée dans l’interface de la box domotique.

Température Qubino remontée dans la HC2

Température Qubino remontée dans l’eedomus

Sur la ZiBase, la présentation de la donnée dans l’interface est assez simple à obtenir mais demande deux petites manipulations : un scénario qui récupère la donnée, et la création d’un périphérique sonde pour présenter cette donnée dans l’interface. C’est le but de ce tutorial, obtenir la température d’une sonde Qubino sur la ZiBase.

Inclure le module et interroger sa température

Commençons par l’inclusion du module. Créez un nouveau périphérique Actionneur de type Z-Wave dans le gestionnaire de périphériques de la Zibase.

Cliquez sur ASSOC. Là, les LED de la ZiBase. Vous avez alors le choix entre brancher l’alimentation du module (auto inclusion pendant les secondes qui suivent la mise sous tension), ou appuyez 3 fois rapidement sur l’interrupteur relié sur sa première entrée (3 changements de position si c’est un interrupteur bi-stable). Sur les modules branchées en basse tension, il est aussi possible d’appuyer sur le bouton S situé sur le module lui-même.

Les diodes de la Zibase devraient s’éteindre et le module Z-Wave va alors renseigner son code radio et signaler sa présence dans le suivi d’activité en haut de l’écran :

L’identifiant radio est automatiquement reporté dans la section correspondante sur le périphérique en cours de création. Il ne reste alors plus qu’à enregistrer cette définition de périphérique.

Deuxième étape : direction les scénarios. Créez un nouveau scénario et donnez-lui un nom reconnaissable, comme “Température Qubino”.

Pour le stimuli, optez pour un évènement temporel de type timer, pour déclencher le scénario par exemple toutes les 5 minutes (300 secondes). Ça sera donc la Zibase qui sera à l’origine des interrogations de la valeur de température mesurée, selon un délai que vous aurez choisi. Je vous recommande cependant d’éviter un intervalle de temps trop court : même si le module Qubino n’a pas de batterie interne, le fait d’être continuellement en train de transmettre des données pourrait troubler d’autres échanges radio du réseau Z-Wave.

Dans la case “Actions“, ajoutez une nouvelle action. Pointez dans le menu sur “Fonctions ZWave” puis  sur “Lire une sonde”.

Paramétrez cette action en sélectionnant le périphérique Qubino que vous avez créé à l’étape précédente, puis choisissez la donnée “Air Temperature” qui correspond bien à la température aérienne.

Pensez à bien sauvegarder ce scénario et à laisser le temps à la ZiBase de redémarrer (le suivi d’activité en haut de l’écran vous indiquera lorsque le redémarrage aura été effectué).

Récupérer la valeur de température dans un périphérique sonde

Vous pouvez d’ores et déjà cliquer sur “Tester le scénario” pour constater que la température est bien récupérée au niveau de la ZiBase. Cela va aussi nous permettre de récupérer un identifiant radio indispensable.

Si vous accédez ensuite au suivi d’activité, vous voyez alors le scénario se lancer et se compléter.

La mention “trigged by SCHEDULER” signifie que le scénario a été déclenché par le calendrier, mais en l’occurrence le clic sur “Tester le scénario” ne fait que créer un nouvel évènement immédiat dans le calendrier. Par la suite, le scénario sera indiqué comme “trigged by TIMER”, le fameux intervalle que nous avons spécifié plus haut.

Sur la ligne obtenue après le scénario, nous retrouvons l’identifiant Z-Wave qui permet de reconnaître le périphérique Z-Wave sans aucun doute possible. Puis la donnée de température apparaît (soulignée en rouge). À la fin de la ligne, nous avons un identifiant commençant par “OS…” qui est typique aux sondes Oregon Scientific. C’est un code radio virtuel que la ZiBase créée pour pouvoir gérer en interne cette valeur de température.

Il vous suffit alors de cliquer sur la ligne de texte (le fait de cliquer sur une ligne fait apparaître le contenu de cette ligne dans un champ au-dessus du suivi d’activité) et de copier le numéro commençant par OS dans le presse-papiers.

Allez ensuite dans le Gestionnaire de Périphériques et créez un nouveau périphérique dans la catégorie “Sondes de mesures”, et de type “General”. Choisissez le logo “Température/Hygrométrie” (qui convient très bien pour une sonde de température seule), et enfin, copiez l’identifiant radio “OSxxxx” récupéré dans le suivi d’activité dans la case appropriée.

Il ne vous reste alors plus qu’à enregistrer ce périphérique.

Dorénavant, lorsque le scénario s’exécute et que la température mesurée par le module est restituée, le nom que vous aurez choisi pour le périphérique apparaît :

Et bien sûr, si vous accédez au PC Pad, vous avez désormais un périphérique de sonde qui trône aux côtés du périphérique permettant de piloter le module.

Et la température est également utilisable dans vos divers scénarios de la Zibase !

Quelques éléments supplémentaires

Plusieurs sondes sur des modules Qubino dans une seule installation

Il est possible de relever l’information venant de plusieurs sondes. Dans ce cas, le scénario peut être utiliser pour lui-même interroger plusieurs sondes. Vous pouvez ajouter autant d’actions “Lire un sonde” que nécessaire dans le scénario, chaque sonde sera ensuite identifiée individuellement. Il vous faudra cependant, bien sûr, créer une sonde dans le Gestionnaire de Périphériques pour chaque sonde distincte.

Néanmoins, si vous avez un grand nombre de sondes dans votre installation, je vous recommande de faire plusieurs scénarios qui se déclenche en décalé. Il vaut mieux avoir l’interrogation de 5 sondes d’un premier groupe, puis trois minute après, l’interrogation de 5 sondes d’un second groupe, plutôt que d’interroger toutes les 10 sondes en une seule fois.

Cas des modules Z-Wave fonctionnant sur piles

Le scénario vu ci-dessus fonctionne directement, car le module Qubino est branché en permanence et répond à chaque interrogation de la part de la Zibase, et la température est donc envoyée à chaque fois que notre scénario interroge le ou les modules. Pour les modules Z-Wave émetteurs fonctionnant sur piles, tels que les sondes multifonctions, les capteurs d’ouvertures, etc., l’échange d’informations sur le réseau Z-Wave est un peu plus limitée afin de sauvegarder la batterie interne à l’appareil et optimiser sa durée de vie (car les communications radio sont par nature assez gourmandes en énergie).

De ce fait, la marche à suivre est un peu différente lorsque c’est un périphérique Z-Wave à piles qui est interrogé. Pour voir comment procéder dans ce tel cas, nous vous invitons à lire notre article Lecture des données de la sonde Everspring ST814 dans la ZiBase qui détaille ce cas de figure.

Cet article Tutorial : température d’une sonde Qubino sur la Zibase est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

Blaupunkt est une centrale de sécurité DIY (Do It Yourself) qui a pour but d’être simple à mettre en place, y compris pour les non techniciens. Nous avons testé la solution pour vous afin de voir ce qu’elle propose. Nous testons aujourd’hui le Q3200, Kit Alarme maison intelligente Blaupunkt.

Présentation et déballage de la centrale Blaupunkt

Le pack d’alarme Q3200 contient quatre éléments distincts, permettant de mettre en place directement la centrale d’alarme de manière très simple.

On y trouve :

• La centrale d’alarme, sous forme de haut-parleur car elle fait aussi office de sirène et indique oralement l’état de l’armement
• Un détecteur de mouvement avec un petit objectif et un flash, capable de prendre une photographie sur demande ou lorsqu’un mouvement est détecté et que l’alarme est armée
• Un détecteur d’ouverture fonctionnant avec un aimant et un ILS
• Une télécommande disposant de 4 boutons

La centrale d’alarme est bien sûr accompagnée de son alimentation secteur et d’un câble Ethernet permettant de la relier au réseau.

Chose appréciable pour ceux qui veulent installer leur système avec le minimum d’étapes, les accessoires fournis sont directement préinscrits dans la centrale. Il n’y a donc qu’à tirer sur la languette situé au dos de ceux-ci pour libérer la pile et mettre les périphériques en fonctionnement.

La centrale en elle-même se présente sous la forme d’un cylindre assez compact, mesurant 15 cm de hauteur pour 7 cm de diamètre. Trois voyants sont présents sur sa façade : fonctionnement, défaut, et communication avec le réseau. Comme dit plus haut, le reste est un haut-parleur utilisé pour la fonction “sirène”.

Au dos de la centrale, nous trouvons la connectique pour le câble Ethernet branché au réseau local, l’alimentation, un bouton à deux position on/off et un bouton rouge pour faire l’appairage du matériel quand c’est nécessaire (mais encore une fois, les éléments sont inclus d’office dans la centrale).

Il y a également l’étiquette avec l’adresse MAC qui permettra de faire l’appairage sur le site.

Le détecteur d’ouverture est en deux parties puisqu’il fonctionne sur un principe d’ILS (interrupteur à lames souple), il est déclenché magnétiquement lorsque la partie principale et le petit aimant sont en face l’un de l’autre. La partie principale contient un bouton avec un voyant. L’appareil est fourni avec du scotch double face de fixation pour les deux parties, et également des vis pour ceux qui optent plutôt pour ce type de fixation.

En outre, le petit magnet à poser sur la partie mobile est fourni avec deux rectangles de caoutchouc avec la bonne forme et les découpes pour les vis, afin de pouvoir l’installer bien en face de la partie fixe s’il y a un décalage par rapport à la porte ou la fenêtre.

Au dos de ce détecteur, il y a la fameuse languette (déjà enlevée sur la photo ci-dessous), et il y a également un bouton “tamper” (entouré en rouge) qui permet de vérifier si le détecteur n’est pas enlevé du mur et envoyer une alerte le cas échéant. Le module est alimenté par une seule pile CR2, facilement accessible en le dévissant.

Il y a ensuite le détecteur de mouvements infrarouge capable de prendre des photos.

Ci-dessous, il est posé à l’envers pour vous permettre de voir son épaisseur, mais normalement la partie arrondie est en-dessous et la cellule infrarouge est vers le haut.

De haut en bas, nous retrouvons un bouton d’association, la cellule infrarouge passif, le flash et l’objectif pour prendre la photo. Là aussi, il suffit de dévisser le détecteur lorsqu’il faut changer ses piles. Il s’agit ici de deux piles AA.

Enfin, la télécommande fournie avec la centrale d’alarme. Comme la plupart des télécommandes de centrales d’alarme, elle dispose de trois boutons qui permettent de régler l’alarme en armement complet, armement partiel, ou de la passer en mode désarmé. Le bouton “+” est un bouton panique personnalisable : il peut être utilisé pour déclencher directement la sirène, ou pour déclencher une alarme silencieuse (afin par exemple d’envoyer une notification). Le fond se dévisse avec une simple pièce de monnaie, permettant de changer la pile bouton CR2032 qui alimente la télécommande.

Nous avons donc passé en revue les différents éléments de l’alarme, il ne nous reste plus qu’à l’essayer.

Utilisation de la centrale d’alarme Blaupunkt

Sur un ordinateur muni d’un navigateur et d’Internet, nous accédons au site de Blaupunkt dédié à l’utilisation de la centrale (l’adresse est fournie dans la boite de la centrale), et nous cliquons sur “Nouvel utilisateur“.

Ce site est proposé dans 8 langues différentes dont bien évidemment le français :

Là, le site indique très clairement les étapes de l’installation pour s’assurer de ne rien avoir oublié.

Il ne reste donc plus qu’à relier la centrale à Ethernet et au secteur. Les voyants s’allument témoignant de son bon fonctionnement, et deux bips se font entendre.

Dans les étapes suivantes, le site vous demande d’indiquer des infos sur votre compte (utile pour accéder au site et recevoir les notifications par e-mail ou téléphone).

Il propose aussi la saisie d’informations personnelles qui sont facultatives, mais il est recommandé à minima d’indiquer le fuseau horaire.

Dans l’étape suivante, il nous suffit de saisir l’adresse MAC (située au dos de la centrale comme vu plus haut) et la langue souhaitée pour l’interface. Il ne reste plus qu’à valider cet écran, et ça y est, la centrale est synchronisée à un compte sur le site de Blaupunkt !

Une dernière étape consiste à choisir l’option de tarification. De base, l’utilisation de la centrale de sécurité se fait entièrement sans abonnement. Cependant, il est possible d’opter pour une offre payante qui ajoute quelques capacités complémentaires comme précisé ci-dessous :

Il ne nous reste donc plus qu’à s’identifier sur la page d’accueil du site, avec l’identifiant et le mot de passe choisis à l’étape précédente.

Et nous pouvons accéder à l’interface principale de la centrale :

• En haut de l’écran : une icone d’accès au support technique de Blaupunkt et un menu déroulant avec l’identifiant (et un avatar personnalisable) de l’utilisateur, pour les options de compte, de paiement (pour les abonnements évoqués plus haut) et pour se déconnecter de l’interface
• Au milieu, en haut : l’état actuel d’armement du système d’alarme, avec la possibilité de passer à tout moment en armement partiel, complet, ou en arrêt de l’armement.
• Au milieu de l’écran : la liste des accessoires connectés à la centrale et leur état. Nous y retrouvons bien nos trois périphériques. En-dessous, une zone dédiée à la vidéo en temps réel lorsque des caméras IP sont associées à la centrale.
• Enfin, à gauche de l’écran : l’accès aux différents éléments de paramétrage et de configuration.

Élément très appréciable du retour d’état, en cas d’anomalie, les colonnes indiquent clairement quel est le type d’anomalie rencontrée. Ainsi, si le contact d’ouverture est déclenché parce qu’il est ouvert, c’est ce qui sera indiqué.

Mais si l’autoprotection est déclenchée (contact détaché de son support) ou si le niveau de piles est faible, le motif est indiqué clairement, aux côté de l’Etat actuel “ouvert” ou “fermé” du contact.

La précision de cette information permet de vite diagnostiquer le problème et d’y remédier.

Comme il s’agit d’un système de sécurité, la centrale émet des bips de manière très régulière dès l’instant où il y a une anomalie sur l’un des périphériques. Il est possible de rendre ces signaux silencieux, mais il est conseillé de ne pas les désactiver. Il vaut mieux être prévenu et pouvoir remédier immédiatement à la situation.

Outre l’identifiant et le mot de passe d’accès, deux codes cohabitent dans cette interface de gestion : un code utilisateur et un code administrateur.

Le code utilisateur à 4 chiffres est demandé pour la modification de l’armement du système d’alarme. Il peut donc être donné à toute personne ayant à activer ou désactiver l’alarme.

Le code maître à 4 chiffres est demandé pour aller dans la configuration générale des périphériques, il sera typiquement uniquement donné à la personne gérant l’alarme.

En allant dans la configuration, il est possible de configurer les accessoires un à un.

Parmi les éléments configurable : le nom de l’accessoire, la zone (il est possible de gérer jusqu’à 40 zones d’alarmes), le fait de lancer un scénario lorsque l’accessoire est déclenché et l’Attribut.

L’Attribut permet de sélectionner sur l’accessoire s’il se déclenche lors d’un armement quel qu’il soit, uniquement lors d’un armement complet, ou même uniquement lors d’un armement partiel. Il est possible de sélectionner l’attribut “Entrée 1” ou “Entrée 2”, ce qui est notamment utile pour effectuer de la temporisation lorsqu’on active l’alarme depuis l’intérieur (nous le verrons ci-dessous).

Les différents périphériques ont ensuite des options qui leur sont propres :

• Pour le contact d’ouverture, il est possible d’activer une fonction de carillon, c’est à dire faire retentir un carillon dès que la porte est franchie
• Pour la télécommande, comme évoqué plus haut, le choix est donné pour le bouton “+” entre faire retentir directement la sirène (Agression / bouton d’urgence) ou juste déclencher une alerte sans faire retentir la sirène (Alarme silencieuse).

Le détecteur de mouvement, quant à lui, n’a pas de paramétrage particulier, cependant il peut être à tout moment déclenché manuellement (l’icône bleue d’appareil photo vue sur le tableau de bord, plus haut).

Les photos prises sont ensuite accessibles dans la rubrique “Evénements“.

Au sujet du journal d’évènements, celui-ci est très complet. Pour chaque évènement enregistré par le système, il indique précisément quel est le type d’évènement enregistré, à quelle heure (à la seconde près) et pour quel périphérique.

La section “domotique” permet de gérer les différents accessoires pilotables à distance. Nous n’en avions pas lors de ce test, mais Blaupunkt a sélectionné plusieurs périphériques qui peuvent directement être associés à la centrale : détecteur de fumée, prise commandée, détecteur d’inondation, etc. Bien évidemment il est également possible de rajouter d’autres détecteurs d’ouvertures et détecteurs de mouvement.

Nous avons tout de même pu tester la fonction de scénarisation domotique. Il est possible de nommer le scénario et de lui attribuer une icône.

Par la suite, plusieurs périphériques et actions peuvent être sélectionnés, puis la condition de déclenchement du scénario.

Par exemple, ci-dessous, le détecteur de mouvement prend une image dès lors que l’alarme passe en mode Arrêt. Par exemple pour montrer qui est à l’origine de l’arrêt de l’alarme.

Le volets “Groupes” de la section domotique permet de faire directement des groupes, qui peuvent notamment être utilisés dans les scénarios. Chaque groupe peut être défini par un nom et une image personnalisés.

Pour la section Caméra IP, Blaupunkt a également prévu tout une gamme de caméra qui seront directement intégrées dans la centrale de manière simple. Les caméras IP compatibles avec la centrale sont prévues pour 2017.

Retournons dans la section configuration, plus précisément dans la configuration de la centrale (accessible avec un code maître à 4 chiffres, comme vu précédemment). Comme il a été déjà évoqué, cette partie permet de régler le fonctionnement de la centrale sur mesure. Le type de bip à émettre selon le type d’armement et selon l’entrée (1 ou 2) qui est sollicité.

Il est même possible de gérer des alertes qui se déclencheront en cas de coupure de courant ou de brouillage radio.

Enfin, la configuration dispose aussi d’un volet de configuration des alertes, qui permet d’ajouter plusieurs numéros de téléphone et adresses e-mails, qui peuvent être alertés pour tous les évènements ou uniquement pour les évènements de type “Alarmes”.

L’envoi d’alertes SMS fonctionne par le biais de crédits (50 crédits par mois inclus avec le pack premium. Les notifications par e-mail et push restent illimités quelle que soit la formule choisie.

Les alertes reçues par e-mail sont rédigées de manière intelligible, indiquant exactement de quel type d’alerte il s’agit :

Un dernier point concernant l’utilisation avec un téléphone. L’interface web n’est pas optimisée pour les téléphones, donc même si elle est accessible sur un téléphone, il est conseillé d’utiliser un navigateur web sur un ordinateur pour la configuration initiale, et tout ce qui est configuration avancée (ajout de périphériques, configuration de la centrale, scénarios…)

Cela dit, pour l’utilisation au quotidien, il y a une application dédiée. Il suffit de s’identifier pour avoir accès à toutes les options d’armement/désarmement, de contrôle des éléments de sécurité et domotique, et de consultation des évènements.

Avis général

L’avis final est plutôt positif sur cette centrale et les accessoires : ils disposent de toutes les fonctions qu’on pourrait leur demander. Le site est très réactif et facile d’utilisation, et une application mobile est proposée.

Le système a un double avantage : il propose à la fois un système prêt à utiliser dès la sortie de la boite, mais également un système évolutif où il est possible d’ajouter des accessoires de sécurité, des éléments domotiques, et de la scénarisation.

En somme, Blaupunkt s’est fixé comme objectif d’avoir une très bonne réputation, et difficile de trouver une fausse note dans la proposition qui est faite par ce pack. Une chose est sûre, la solution a un certain avenir devant elle en terme de centrale d’alarme autonome et évolutive !

On regrettera quand même de ne pas pouvoir s’interfacer de manière externe avec une API par exemple pour pouvoir la connecter avec une box domotique. C’est un choix sécuritaire de fermer complétement l’interaction avec d’autres systèmes.

Retrouvez bientôt les alarmes Blaupunkt sur notre boutique, en attendant n’hésitez pas à mettre un commentaire si vous avez des questions.

Cet article Découverte de la centrale d’alarme Blaupunkt est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...

À l’occasion de la sortie de la carte Z-Uno, carte de développement permettant de créer son propre périphérique Z-Wave sur mesure, nous vous proposons un concours pour réaliser votre propre périphérique Z-Wave.

À la clé : les deux candidats dont les projets seront sélectionnés gagneront une carte de Z-UNO pour effectuer le développement de leur projet.

Et à l’issue du développement de ces projets, un vote sera organisé entre ces deux lauréats et le gagnant recevra 100 € de bons d’achats sur toute notre boutique !

Les détails sont dans la suite de cet article

Le Z-Uno, qu’est-ce que c’est ?

Z-Uno est une carte de développement Z-Wave lancée par Z-wave.me, qui a une grande expérience dans le développement de périphérique Z-Wave. Ils sont notamment à l’origine de l’extension Z-Wave pour Raspberry Pi, le célèbre RaZberry.

Conçue autour de la simplicité des développements de système Arduino et compatibles avec ce type de carte, le Z-Uno permet aux amateurs de solutions DIY de créer eux-mêmes un périphérique Z-Wave sur-mesure par rapport à leurs besoins.

Certifié Z-Wave Plus, Le Z-uno vous permettra de connecter de nombreux composants Arduino (LED, boutons, interrupteurs, moteurs, capteurs basse tension…) à votre contrôleur Z-Wave existant, permettant ainsi de domotiser sur mesure le matériel de votre choix !

Déroulement du concours Z-Uno

Tout personne majeure résidant en France métropolitaine peut participer au concours sans obligation d’achat. Les prérequis sont d’avoir une idée originale d’un projet à développer, ainsi que des connaissances suffisantes en Arduino pour la réalisation de ce projet, avec de préférence des réalisations Arduino à son actif.

Il s’agit ensuite pour les participants de remplir notre formulaire de participation situé au bas de cet article. Si vous participez, plusieurs informations vous seront demandées, notamment :

• Vos coordonnées ;
• Vos réalisations à base de carte Arduino ;
• Quel est le projet que vous souhaitez développer, et quels sont selon vous les avantages de ce projet.

Parmi ces premières candidatures (recueillies pendant deux semaines), deux lauréats seront choisis par un jury composé de l’équipe de Planète Domotique. Ces deux lauréats recevront tous deux un Z-Uno pour réaliser leur projet.

Après réception de la carte, ces deux lauréat ont alors 3 semaines pour développer leur projet, tout  en réalisant un article de blog pour Planète Domotique détaillant le projet (avec descriptif, photos et éventuellement vidéos montrant le projet).

Après la publication des articles présentant ces deux projets, un vote sera lancé, et cette fois, toute la communauté domotique pourra voter pour le projet de son choix parmi les deux en lice.

Le lot pour le gagnant est un bon d’achat de 100 € sur notre boutique !

Quant à l’autre lauréat, il aura tout de même le bénéfice de conserver lui aussi la carte Z-UNO et d’avoir pu également réaliser son projet !

Voici la chronologie globale de ce concours :

Prêt à participer ?

Le formulaire de participation est disponible ci-dessous. Munissez-vous de votre plus belle plume (ou plutôt de votre plus beau clavier !) et lancez-vous !

Participer au concours Planète Domotique Z-Uno !

Cet article Concours carte Z-UNO : développez votre propre périphérique Z-Wave ! est apparu en premier sur ..:: Planète-Domotique : Le Blog ::...